l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


La liberté est le pouvoir de choisir nos propres chaînes - Jean-Jacques Rousseau
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> voitures volées

Classé dans : autres

(...) Des voleurs high-tech

          Si certains "puristes" continuent de crocheter les serrures et de bidouiller les fils du démarreur pour dérober leurs proies, l'immense majorité des malfrats sont aujourd'hui passés à l'ère du piratage électronique, comme le montrent les chiffres du ministère de l'Intérieur. La règle d'or de ces voleurs 2.0 ? Jamais plus de trois minutes pour s'emparer d'une voiture. Un jeu d'enfant pour certains modèles qu'ils démarrent en à peine 40 secondes (voirp. 8). Et nul besoin d'être un hacker pour pratiquer le "mouse jacking" (vol à la souris) ou le "home jacking" (vol à domicile), les méthodes les plus répandues.
         Le piratage électronique, qui représente plus de 70% des vols, ne requiert aucune compétence particulière ! Car, pour quelques dizaines d'euros seulement, n'importe qui peut se procurer sur la Toile le matériel de base.
          A commencer par le brouilleur d'ondes, un boîtier qui capte les signaux émis par la clé et bloque à distance la fermeture automatique des portières. Pensant avoir verrouillé votre voiture (ou fermé le garage), vous quittez les lieux, sans vous douter qu'un voyou à proximité s'apprête à filer avec votre auto.
          L'amplificateur de signal est utilisé dans une autre méthode en vogue : l'attaque relais, dites aussi vol à l'antenne, pour braquer votre voiture jusque devant chez vous. La technique ? Un voyou, qui l’aura repérée au préalable (via un drone, un complice...), approche cet amplificateur de signal près de votre porte d'entrée pour capter les ondes radio émises par votre clé ou votre carte sans contact. Le signal est alors transmis à un autre boîtier tenu près de votre auto qui déverrouille la portière. Ne reste plus qu'à appuyer sur le bouton marche/arrêt, avant de gagner une planque pour finir le boulot. (...)

Les constructeurs sont en-dessous de tout ! Incapables de sécuriser l'accès à un véhicule ou empêcher son vol si facile de nos jours !!! Bref on est obligé de revenir au système 2ch des années 60 : le bloque-volant ! Tu parles d'une évolution des techniques !

 

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> y-a bon les carottes aux pesticides

Classé dans : santé

Les carottes sont archi-cuites

          Voilà une affaire qui met au court-bouillon la rate des producteurs de carottes de France. Huit maraîchers du Cotentin se sont fait taper sur les doigts par la cour d'appel de Caen pour avoir aspergé leurs champs avec 107 tonnes de dichloropropène, un pesticide interdit en France car cancérigène possible pour l'homme.

          Ça la fiche d'autant plus mal que les légumiers en question, qui ont écopé de peines salées, allant jusqu'à 80 000 euros d'amende, produisent la Rolls de la carotte, celle qui pousse dans le bassin de Créances, en Normandie. Une carotte des sables délicatement cueillie à la main et arborant toutes les estampilles de qualité : indication géographique protégée, AOC française, AOP européenne, Label rouge. Ce qui a poussé un syndicat agricole, la Confédération paysanne, à se porter partie civile, pour défendre l'image des carottes tricolores. La carotte (au dichloropropène) ou le bâton !

          Tout a commencé par une lettre anonyme récupérée en 2018 par la brigade nationale d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires.  Laquelle a vite découvert qu'un négociant en produits chimiques proposait sous le manteau aux maraîchers du Cotentin du dichloropropène, pour se débarrasser du nématode à kystes, un petit ver qui pond ses larves notamment dans les carottes. L'achat de cette cochonnerie possiblement cancérigène, importée d'Espagne, était maquillé par de fausses factures. Là où il y a un ver dans la carotte, c'est que les industriels ont obtenu des dérogations pour que le dichloropropène, interdit par  l'Union européenne en 2007, continue d'être utilisé « en cas de menace grave sur la récolte ». En France, il a fallu attendre octobre 2017 pour que le ministère de l'Agriculture mette fin à ces passe-droits (« Conflit», 7/10/20). Ce qui n'est toujours pas le cas en Espagne, au Portugal et en Italie. Trois pays qui nous fourguent quand même, chaque année, 50 000 tonnes de carottes, alors qu'il n'est prévu aucun plan annuel européen de surveillance de cette sympathique substance...

          Rappelons que la carotte, dont la France produit peu ou prou 500 000 tonnes par an, pour moitié destinées à ('industrie agro-alimentaire, est, derrière la tomate, la deuxième culture légumière la plus pesticidée, avec en moyenne 13,6 traitements par an. Qu'en pensent les lapins ?

Ce sont de véritables mafias ou associations de malfaiteurs qui sont finalement que très peu condamnés : pas un seul mois de prison ferme !!! D'un autre côté, l'Europe de merde semble en avoir rien à cirer. Alors, pourquoi se gêneraient-ils ? Perso, j'ai arrêté d'acheter des carottes depuis pas mal de temps,...

 

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💩 vers un Internet régulé, modéré et censuré par les États.

Classé dans : europe de merde

          Le gouvernement indien veut disposer d'un contrôle total d'Internet, l'UE pour sa part entend scanner toutes les conversations privées pour lutter contre la pédopornographie

          Vers un Internet piloté à l’échelle globale sur le modèle chinois ? L’Inde a bloqué TikTok ainsi que 58 applications chinoises à mi-parcours de l’année 2020. Le pays fait partie de ceux qui poursuivent les efforts pour briser le chiffrement de bout en bout proposé par les géants technologiques. L’Inde a même ordonné aux sociétés de VPN de collecter et transmettre les données des utilisateurs. C’est dire que le pays veut disposer d’un contrôle total d’Internet. Les tentatives dans le genre se multiplient à l’échelle mondiale. En effet, même l’Union européenne entend scanner toutes les conversations privées. Le motif : lutter contre la pédopornographie.

          La Commission européenne propose d'obliger les fournisseurs de services de courrier électronique, de chat et de messagerie à rechercher automatiquement des contenus suspects dans tous les chats, messages et courriels privés, de manière générale et sans distinction. L'objectif : lutter contre les abus sexuels des enfants en ligne. Le résultat : Une surveillance de masse par le biais d'une surveillance en temps réel entièrement automatisée des messageries et des chats et la fin de la confidentialité de la correspondance numérique. Un vote en plénière est prévu pour le mois d’octobre de l’année en cours.

De façon plus détaillée, les conséquences de l’entrée en vigueur de ce projet de loi sont :

- toutes les conversations en ligne et tous les courriels seront automatiquement fouillés pour détecter tout contenu suspect. Rien ne reste confidentiel ou secret. Il ne sera pas nécessaire d'obtenir une ordonnance du tribunal ou d'avoir un soupçon initial pour effectuer une recherche dans les messages ;
- si un algorithme classe le contenu d'un message comme suspect, les photos privées ou intimes pourront être consultées par le personnel et les sous-traitants de sociétés internationales et les autorités policières. Ces mêmes contenus pourront être consultés par des personnes inconnues ou se retrouver entre les mains d’individus mal intentionnés ;
- les conversations intimes pourront être lues par le personnel et les sous-traitants de sociétés internationales et les autorités policières, car les filtres de reconnaissance de texte qui ciblent la "sollicitation d'enfants" signalent souvent à tort les conversations intimes ;
- des tiers pourront être faussement signalés et faire l'objet d'enquêtes pour diffusion présumée de matériel d'exploitation sexuelle d'enfants. Les algorithmes de contrôle des messages et des chats sont connus pour signaler des photos de vacances tout à fait légales d'enfants sur une plage, par exemple. Selon les autorités de la police fédérale suisse, 86 % de tous les signalements générés par des machines s'avèrent sans fondement ;
- lors d’un voyage à l'étranger, l’on peut se retrouver face à de gros problèmes. Les rapports générés par les machines sur les communications pourront être transmis à d'autres pays, comme les États-Unis, où la confidentialité des données demeure très mal encadrée, ce, avec des résultats incalculables ;ce serait la porte ouverte pour les services de renseignement et les pirates sur les conversations et courriels.

          À mi-parcours de l’année 2021, le gouvernement australien a annoncé son intention de lever l’anonymat sur Internet en requérant des internautes de fournir une pièce d’identité (passeport, permis de conduire, etc.) pour l’accès à leurs comptes de réseaux sociaux. La nouvelle disposition s’inscrivait en droite ligne avec l’adoption d’une loi qui autorise les forces de l'ordre à prendre le contrôle de comptes de médias sociaux lorsque des tiers sont soupçonnés dans le cadre d'une enquête. C’est la plus osée de toutes celles en gestation dans l’alliance Five Eyes. Elle permet à la police de pirater les appareils de tiers et de collecter ou de supprimer leurs données.

          La manœuvre est destinée à protéger les citoyens contre les abus en ligne (pédophilie, discours haineux, propagande terroriste, etc.). Elle n’est pas sans faire penser à une sortie d’Emmanuel Macron à propos de l’anonymat en ligne : « Nos gouvernements, nos populations ne vont pas pouvoir tolérer encore longtemps les torrents de haine que déversent en ligne des auteurs protégés par un anonymat devenu problématique. » Beaucoup s'accordent sur le fait qu'en rendant les utilisateurs responsables de leurs propos – en supprimant la possibilité de poster des messages dans l’anonymat –, il est moins probable qu’ils s'engagent dans des discussions ou publications inciviles. C’est la raison pour laquelle des élus français ont proposé que les réseaux sociaux et autres hébergeurs soient obligés à vérifier l’identité réelle des internautes lors de leur inscription.

          Ces développements laissent penser que l’on s’achemine à l’échelle globale vers un Internet piloté sur le modèle chinois. Pour parvenir à une telle maîtrise de son cyberespace, la Chine s’appuie sur un levier de taille : le contrôle de l’anonymat en ligne. Il n’ y a qu’à jeter un œil à l’article 6 de la réglementation chinoise en la matière. À la réalité, la question revient de plus en plus en Europe ; le cas autrichien l’illustre puisque le pays a lui aussi annoncé son intention de mettre fin à l’anonymat en ligne. On anticipe à 2020 la période à laquelle il ne sera plus possible dans ce pays de rédiger un commentaire en ligne sans fournir son nom, prénom et adresse exacts. La raison, souligne le ministère en charge des médias dans ce pays, est très simple ; en cas d’enquête, les opérateurs de plateformes seraient tenus de fournir des informations aux agences gouvernementales ou, dans certains cas, aux personnes privées en cas d'insulte ou de diffamation. En France, le processus est lancé pour la mise en place d’une loi en vue d’en finir avec l’anonymat sur Internet.

          Le train est en marche ; lentement certes, mais il semble que la destination finale soit, à l’échelle globale, un Internet régulé, modéré et censuré par les États. - source -

 

Le secret de la correspondance est l'un des préalables incontournables d'une société démocratique, retirer ce secret - peu importe les excuses bidons utilisées pour le justifier - indique l'avènement ou la confirmation d'une dictature...

 

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> visalisation d'un mal de dent, France XVIIIe siècle

Classé dans : cauchemar

          "Le ver dentaire en tant que démon de l'enfer", sud de la France, XVIIIe siècle. Cette sculpture en ivoire de conception artistique est contenue dans une molaire de 10,5 cm de hauteur, qui peut être séparée en deux moitiés de taille égale.

 

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> démocratie

Classé dans : autres

Pour garder le pouvoir, la bourgeoisie détourne le langage

          Au fil du temps, de nombreux concepts populaires théorisés par des scientifiques ou des intellectuels ont été détournés par les plus riches à leur avantage. À tel point que certains d’entre eux ont fini par être totalement vidés de leur sens et même parfois obtenir une connotation péjorative.

          Ce type de procédé machiavélique a été utilisé à plusieurs époques et dans divers domaines politiques : écologie, social, institution… Le but de la manœuvre est simple : s’approprier des idées au départ appréciées jusqu’à ce qu’elles soient complètement corrompues.
(...)

Démocratie

          Le mot « démocratie » est sans doute l’un des exemples les plus parlant en matière d’appropriation sémantique de la bourgeoisie. À tel point que l’on est aujourd’hui obligé de faire une différenciation entre « démocratie représentative » et « démocratie participative ». Pourtant la première expression est un oxymore (figure de style qui vise à rapprocher deux termes dont le sens est contradictoire) et la seconde un pléonasme (répétition de mots qui ont le même sens.).

          Pire encore, le terme a tellement été dévoyé et repris à toutes les sauces, que pour beaucoup il est devenu synonyme de liberté ou d’État de droit. On aurait d’un côté la démocratie et de l’autre la dictature. Or, il existe bien des alternatives entre les deux, dont celle du gouvernement représentatif.

          À l’origine, la démocratie signifie simplement « le pouvoir au peuple ». Autrement dit, il s’agit d’un système où la population choisit elle-même les règles qui régissent sa société. Et pourtant, on l’associe plus communément de nos jours aux élections. Et ce, même si ces dernières ôtent toute souveraineté aux citoyens pour la confier à des représentants.

          Au moment des révolutions de l’époque des Lumières, le concept de démocratie est largement rejeté par les fondateurs américains et français. À cette période, certains qualifient même ce système « d’irrationnel », « tyrannique », ou « intolérable ». C’est au début du XIXe siècle que ce vocable est détourné par la bourgeoisie, en premier lieu aux États-Unis, puis dans le reste du monde.

          Comme l’explique Francis-Dupuis-Déri dans son ouvrage Démocratie, Histoire politique d’un mot, au milieu des années 1820, le terme est encore très mal perçu. On pourrait d’ailleurs le rapprocher de ce qu’on appelle aujourd’hui le populisme, qui n’a pourtant pas un sens étymologique très éloigné.

          En 1824, Andrew Jackson est battu lors du scrutin présidentiel américain. Ce sont les grands électeurs qui offrent la victoire à son adversaire malgré un nombre de voix supérieur recueilli au sein du peuple. C’est à ce moment qu’il a l’idée de se revendiquer ouvertement du mot démocratie. C’est même lui qui fonde l’actuel Parti démocrate en vue des élections de 1828 qu’il va cette fois remporter. À l’aune de cette victoire, les politiciens de la planète entière commencent à percevoir sous un jour nouveau le terme « démocratie ». Petit à petit, tout le monde finit par s’en réclamer alors que rien n’a pourtant changé dans le système de gouvernance.

          Au fil du XIXe siècle, le mot se propage et est revendiqué par des États. Comble du ridicule, on voit jusqu’à apparaître des « démocrates-monarchistes ». C’est bien simple, à l’heure actuelle, se dire opposé à la démocratie est un véritable suicide politique. Même les plus grands tyrans s’habillent de ce concept. Le nom officiel de la Corée du Nord est par exemple la « République populaire démocratique de Corée ».

          L’avènement de ce mot n’est donc ni plus ni moins qu’un coup de communication remarquablement bien mené et dépassé par son succès. À tel point qu’aujourd’hui il devient très compliqué de discuter de la démocratie réelle, tant un nombre considérable de gens en ont oublié le sens originel. (...) - source -

Effectivement, les pouvoirs et plus particulièrement la macronie et la finance, ont complètement détourné le sens des mots pour déstabiliser, soumettre et arnaquer les populations... Le XXIème siècle est le siècle des boutiquiers menteurs. Dans l'union européenne, la commission européenne est clairement l'ennemi de la démocratie et des peuples.

Sans oublier la novlangue chère à Macron et sbires > wikipedia (...) L’idée fondamentale du novlangue est de supprimer toutes les nuances d’une langue afin de ne conserver que des dichotomies qui renforcent l’influence de l’État, car le discours manichéen permet d'éliminer toute réflexion sur la complexité d'un problème : si tu n'es pas pour, tu es contre, il n'y a pas de milieu. Ce type de raisonnement binaire permet de favoriser les raisonnements à l'affect, et ainsi d'éliminer tout débat, toute discussion, et donc toute potentielle critique de l'État.

Un rythme élevé de syllabes est aussi visé, avec l’espoir que la vitesse des mots empêche la réflexion.

De plus, si la langue possède le mot « bon », il est inutile qu’elle ait aussi le mot « mauvais », car cela suppose l'existence de nuances entre ces deux termes. Le concept « mauvais » est donc détruit pour être remplacé par le « non bon », fabriqué en ajoutant un préfixe marquant la négation (cela donnera « inbon »). (...)