l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> Tartube : téléchargez des vidéos peu importe la plateformes

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          Tartube est un logiciel libre, gratuit et open source disponible sous Windows et Linux qui propose des fonctionnalités telles que le téléchargement de clips vidéo, la prise en charge de SponsorBlock (pour zapper automatiquement les séquences sponsors), l’extraction de commentaires vidéo et une meilleure prise en charge des diffusions en direct. Il peut contourner les restrictions de région et d’âge, offrant ainsi un accès non filtré au contenu.

>>> téléchargement pour windows : 64 bits >>> iCi  ou portable >>> iCi

Cela fait quelques temps que je n'arrivais plus à enregistrer des vidéos de youtube, avec Tartube, que je teste, à priori, plus de problèmes...

 

> pourquoi des journalistes ont-ils été verbalisés pour avoir filmé à la gare Montparnasse ?

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pour faire suite à cet article de docunet http://www.docunet.fr/index.php?article3569/et-maintenant-des-journalo-terroristes

          Venus couvrir une panne, des journalistes télé rapportent avoir été verbalisés pour avoir filmé à l’intérieur de la gare. Une situation justifiée par un arrêté préfectoral, mais qui pose des questions en matière de droit d’informer. La SNCF interdirait-elle aux journalistes d’informer sur ce qu’il se passe dans ses gares ? C’est la question que pose la mésaventure vécue ce dimanche par Julien Cholin, journaliste à France 2, dans la gare Montparnasse à Paris.

          Dépêché sur place pour réaliser un reportage sur la désorganisation du trafic et les nombreux retards accumulés suite à une panne dans l’après-midi, le reporter affirme que «cinq agents de la police ferroviaire» étaient présents sur les lieux pour «empêcher [les journalistes] de filmer». Résultat, selon Julien Cholin : deux amendes de 200 euros leur ont été infligées «pour prise de vue non autorisée».

          Cette situation est liée au caractère d’«établissement recevant du public» des gares. Contactée, la SNCF souligne qu’«une gare est un lieu public soumis à un règlement, au même titre qu’un tribunal, un commissariat, un hôpital ou une école». Ce règlement, comme le précise le Code des transports, est défini par arrêté préfectoral. En l’occurrence, il s’agit de l’arrêté n° 2021-00376, émis par la préfecture de police de Paris et concernant les «emprises de la SNCF à Paris».

          L’arrêté, consultable en ligne, indique que «les prises de vue photographiques et ou vidéos réalisées dans les parties des gares accessibles au public» ne peuvent être tolérées que si elles sont réalisées par des particuliers, pour un usage privé et «sous réserve de n’entraîner aucune gêne pour les voyageurs ou pour le bon fonctionnement du service».

          Des conditions qui ne s’appliquent pas aux journalistes, dont les images ont vocation à être largement diffusées. Comme le précise l’arrêté, «les prises de vues photographiques ou vidéos réalisées par des professionnels ou dans un but commercial ou publicitaire sont soumises à autorisation préalable du directeur de gare ou de l’exploitant.» Autrement dit, les journalistes doivent toujours demander une autorisation à la SNCF avant d’aller filmer en gare.

► pour lire la suite...

🔨 BLOB du jour

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          Le langage de la macronie « mais non, mais non, nous augmenterons aucune taxe ni impôt pour le budget 2024 »

La réalité : ils créent et augmentent des taxes pour les entreprises qui vont évidemment les répercuter sur leurs clients...

> payez-vous vous abonnement "offre groupée" ( smartphone à prix réduit ) pour rien ?

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Les astuces des opérateurs pour augmenter les prix des téléphones

          Le tiers des abonnés ayant souscrit auprès des opérateurs téléphonique une « offre groupée » - c’est-à-dire offrant un appareil à prix très réduit moyennant un abonnement - continuent à payer leur terminal alors qu’il est largement amorti. Les opérateurs se gardent bien, à la fin du contrat, de prévenir leurs abonnés qu’ils cotisent désormais pour rien.

          Un jeu de dupes qui, selon les estimations professionnelles, rapporte à Bouygues, Orange et SFR (Free ne pratique pas ce type d’abonnement) autour de 500 millions par an, soit pas loin de 10 % de leurs bénéfices. Interrogé par « Le Canard », les opérateurs invoquent le secret commercial et ne donnent aucun chiffre global sur la question.

Combines sans réclamations

          Selon l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep), plus de 17 % des abonnés au téléphone mobile, soit environ 12 millions d’utilisateurs, bénéficient d’une telle offre. Chaque mensualité de l’abonnement inclut - à hauteur de 10 à 15 euros, en moyenne - le remboursement de la forte réduction consentie sur le téléphone fourni avec l’abonnement. A la fin de celui-ci (généralement deux ans), le téléphone est donc entièrement remboursé, et tout le monde est quitte. Ou devrait l’être. Car, toujours selon l’Arcep, près du tiers des abonnés « subventionnés » (31% exactement) ne changent pas de téléphone au bout de deux ans et continuent d’utiliser leur ancien appareil. Et ce parfois pendant plus de trois ans. Le problème, c’est que leur facture, elle non plus, ne change pas, et que l’opérateur continue de percevoir la part de l’abonnement correspondant à l’achat du téléphone, pourtant totalement amorti.

Abus de faiblesse

          Chaque année de rabiot, c’est entre 120 et 180 euros que versent obligeamment ces abonnés - soit l’équivalent de quatre à six mois de forfait complet, sans aucune prestation en contrepartie. Un peu comme si l’acquéreur d’une maison continuait de payer son crédit immobilier après la fin de son prêt.

          Interrogés par « Le Canard », les opérateurs se refusent à confirmer ces chiffres, qui, comme l’indique un porte-parole de SFR, sont « des données commerciales confidentielles ». Quant aux dépassements, souligne un représentant d’Orange, « contractuellement, il n’y a aucune faute, chacun peut partir à la fin de son contrat » s’il veut éviter les surcoûts. Dès lors, indique un porte-parole de Bouygues, « le client est libre de souscrire un autre forfait, au prix qui correspond à ses besoins ».

          Puisqu’il n’y a aucune faute, pourquoi les opérateurs se priveraient-ils d’abuser leurs clients qui paient pour un nouveau téléphone qu’ils n’ont pas pensé à réclamer ? Hervé Martin

Un seul mot : enfoirés ! Et bien évidemment, la macronie ne bouge pas d'une oreille pour faire  arrêter ce que l'on pourrait définir comme une arnaque...

 

> 98 % des Européens respirent un air toxique

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          Une enquête financée par l’Union européenne révèle que 98 % des habitants du Vieux Continent respirent un air pollué extrêmement nocif responsable de 400 000 décès par an.

          C’est une crise de santé publique qui s’aggrave d’année en année. Tous les habitants de l’Europe, ou presque, vivent dans des zones où les niveaux de pollution atmosphérique sont dangereux, révèle le Guardian. Les données, recueillies à l’aide d’images satellite combinées avec des mesures récoltées par plus de 1 400 stations de surveillance au sol, dévoilent une situation désastreuse : 98 % des Européens vivent dans des zones où la pollution aux particules fines dépasse les normes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Celles-ci stipulent que les concentrations moyennes annuelles de particules fines de 2,5 microns de diamètre (PM2,5) ne doivent pas dépasser 5 microgrammes par mètre cube.

         Dans le détail, près de deux tiers des habitants du Vieux Continent vivent dans des régions où la pollution de l’air est plus de deux fois supérieure aux recommandations de l’OMS. Le pays le plus touché est la Macédoine du Nord, où la concentration des dangereuses PM2,5 est parfois jusqu’à quatre fois supérieure aux directives de l’OMS. Pire, quatre régions du pays ont une pollution atmosphérique près de six fois supérieure aux directives internationales, comme la capitale, Skopje.

          De manière générale, près de 30 millions d’Européens vivent dans des zones où les concentrations de particules fines sont au moins quatre fois supérieures aux normes. Et l’Europe de l’Est est bien plus touchée que l’Europe occidentale. Les données révèlent également qu’en Allemagne, 75 % de la population vit avec un air dont la pollution excède plus de deux fois les recommandations de l’OMS. En Espagne, ce chiffre est de 49 % et en France de 37 %. En revanche, certaines régions du nord de l’Écosse comptent parmi les rares régions d’Europe à se situer en dessous de ces recommandations.

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> l’Observatoire de la non-liberté,

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un projet qui documente l’usage croissant du numérique dans l’essor de la gouvernance autoritaire

          L’Observatoire de la Non-liberté (Unfreedom Monitor) est un projet qui cherche à analyser, à documenter et à rendre compte de l’utilisation croissante des communications numériques dans l’essor de la gouvernance autoritaire aux quatre coins du monde.

          Les régimes autoritaires et dictatoriaux entretiennent depuis longtemps des rapports complexes avec les technologies de communications et les médias, en les utilisant de manière a promouvoir leurs propres objectifs. En parallèle, ces régimes restreignent l’accès à certaines technologies et informations, ce qui leur permet de modeler et de déformer la réalité, d’invisibiliser des exactions, et de rester au pouvoir. Plus de personnes utilisent internet et d’autres technologies numériques, plus cette tendance se renforce. Cela implique que malgré ses objectifs louables, Internet est parfois utilisé par des gouvernements à tendance autoritaire comme un outil de mensonge, de propagande et de contrôle.

          En 2010, Rebecca MacKinnon, co-fondatrice de Global Voices, a proposé le terme « autoritarisme de réseau » pour définir la manière dont la Chine manipule Internet afin de conserver le pouvoir. Cette perspective permet d’ouvrir un débat limité autour de certaines problématiques, mais contrôle les plateformes et encadre les termes du débat. La technologie facilite la surveillance et les modes de contrôle social, et l’information, les débats et l’activisme qui pourrait potentiellement représenter un défi pour le pouvoir sont interdits.

          Global Voices fait le suivi et documente ce phénomène dans de nombreux pays depuis 2007, à travers notre projet Advox. Nous avons pu identifier certaines tendances. Au fil du temps, les menaces qui pèsent sur la liberté d’expression en ligne se transforment en menaces pour les individus eux-mêmes ou en menaces pour les systèmes, ce qui affecte des populations entières. Les modes de contrôle d’Internet et la surveillance de masse commencent à être acceptés comme faisant partie des modes de gouvernance. La capacité des États à détecter, réprimer et prendre pour cibles des organisations, des expressions et des activistes est de plus en plus sophistiquée. De nombreux États allient le déni ciblé des services d’information et une puissante surveillance avec la capacité à « inonder la zone » avec des informations fausses ou tendancieuses par le biais de technologies automatisées et des réseaux de supporters. Ces pratiques, parmi tant d’autres, consolident les pouvoirs autoritaires pré-existants et mettent en danger la stabilité des démocraties, depuis les plus jeunes à celles de plus de longues dates.

          Aujourd’hui, ce que l’on connaît sous le nom d’autoritarisme numérique est devenu une pratique courante de tous types de gouvernements. Internet est inondé de technologies de publicité qui tracent et segmentent les utilisateur·rices dans une logique commerciale. Les gouvernements, les États et les partis politiques, souvent de concert avec les entreprises, exploitent ce pouvoir de surveillance. Un futur empli de technologies de machine learning, de reconnaissance faciale et d’intelligence artificielle à des visées d’analyses « prédictives » implique probablement que la capacité étatique de contrôle va encore augmenter. Si l’on ajoute à cela l’omniprésente captation de vidéosurveillance, le fait que l’on emporte nos appareils électroniques de communication partout avec nous, et la banalisation de l’idée que ces appareils puissent nous écouter, alors on se trouve face à un système de surveillance envahissant.

          Voici donc les raisons pour lesquelles nous avons lancé l’Observatoire de la Non-liberté. Nous cherchons à comprendre ce qui motive, façonne et influence les autoritarismes numériques de par le monde, peu importe le type de gouvernement ou de système politique. En commençant par 11 pays pilotes, l’objectif est de développer une méthodologie pour nommer l’autoritarisme numérique, afin d’aider les gens de bonne conscience à le dompter. (...) - source -

intéressant, à suivre... ( le site original, en anglais )

> cycliste verbalisé parce qu’il n’était pas sur la piste cyclable

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          À Paris, un cycliste a été verbalisé car il ne roulait pas sur une piste cyclable. L’intéressé, qui a diffusé la scène sur les réseaux sociaux, conteste cette décision. Que dit précisément le Code de la route ?

          Un cycliste, habitué à filmer ses trajets à Paris, s’est récemment fait verbaliser car il ne circulait pas sur la piste cyclable. Une amende qu’il va contester, persuadé d’être dans son bon droit. La vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux – 450 000 vues sur X et 24 000 vues sur Youtube –, pose la question : à vélo, est-on obligé de rouler sur les pistes cyclables sous peine d’amende ? Que dit la loi ?

          À vélo, les pistes cyclables ne sont pas systématiquement obligatoires. Sauf si le préfet en décide autrement. Pour le savoir, il faut être attentif aux panneaux de signalisation. Les pistes cyclables sont matérialisées par un panneau représentant un vélo blanc sur fond bleu. Si le panneau est rond : la piste cyclable est obligatoire. S’il est carré : la piste cyclable est seulement conseillée. Libre au cycliste d’y circuler ou non.

          Sur la vidéo du cycliste, de quelle forme était le panneau ? On aperçoit, avant l’arrivée des policiers, un panneau carré. Autrement dit, l’homme n’était pas obligé d’emprunter la piste cyclable. Il n’aurait donc pas dû être verbalisé. Sa contravention pourra être contestée en remplissant une requête en exonération sur le portail ANTAI (Agence nationale de traitement automatisé des infractions) du gouvernement.

          Les scooters et autres engins à deux-roues ne peuvent pas circuler sur ces voies, sauf si un panneau les y autorise. De la même façon, voitures et camions ont interdiction d’emprunter les pistes ou bandes cyclables sous peine de recevoir une amende de 135 euros.

          Le Code de la route autorise toutefois les piétons à y circuler si aucun trottoir n’est aménagé. - source -

Ben, il fallait le savoir ! Il n'y a pas (encore) de permis vélo, alors ? Nul n'est censé ignorer la loi ? Tu parles !