l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées... « Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink
( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…
6 astuces pour éloigner les rats de votre bac à compost
Les rats sont naturellement attirés par les déchets jetés dans le compost. Mais il est quand même possible de les tenir à l’écart. Voici comment.
Faire du compost dans son jardin, c’est simple, utile et écologique et, dès le 1er janvier 2024, cela deviendra même obligatoire pour la plupart des Françaises et des Français. Cependant, si l’on ne prend pas quelques bonnes habitudes, on s’expose à certaines déconvenues. Exemple : l’arrivée des rats. Alors, pour éviter d’être envahi par ces rongeurs, mieux vaut prendre quelques précautions et connaître un certain nombre d’astuces. On fait le point.
Pourquoi les rats sont-ils attirés par le compost ?
Le rat est un animal omnivore qui ne dira jamais non à une alimentation gratuite et régulièrement renouvelée. Ajoutez à cela le fait que le compost lui offre un abri et de la chaleur et, alors, vous comprendrez pourquoi il peut être attiré par votre bac à compost.
Faut-il les craindre ?
Non. Contrairement aux croyances et aux idées reçues, le rat ne vous transmettra pas plus de maladie qu’un autre animal. À vrai dire, le rat peut même être un allié du compost dans le sens où il contribue à l’aérer.
Les français sont accros à la morille. Ils en avalent plus de 116 tonnes par an, et pas seulement pendant les fêtes. Ce qui fait de nous les premiers consommateurs au monde de ce délice spongieux ! Sauf que, lorsque vous croquez dans une Morchella esculenta, de son petit nom latin, vous avez de fortes chances d'avoir sous la dent un champignon chinois.
Un tiers des morilles importées en Europe sont en effet produites dans la province du Sichuan. Les Chinois nous les fourguent, eux-mêmes n'en mangeant pas - ils les réservent à leur pharmacopée, sous forme de poudre.
Lorsque, en 2006, le brevet de culture hors-sol de la morille, déposé vingt ans plus tôt par un étudiant américain, est tombé dans le domaine public, la Chine a tout de suite flairé le bon filon. Elle en est désormais le premier exportateur mondial. Les cultivateurs chinois, qui toute l'année inondent la planète avec des produits séchés ou surgelés, profitent, pour la morille fraîche, d'un sérieux avantage climatique leur permettant delà commercialiser dès fin janvier, soit deux mois avant les premières récoltes en Europe. Les morilles fraîches chinoises prennent ensuite l'avion. En effet, vu que ce champignon tourne de l'œil deux ou trois jours après avoir été cueilli, impossible de lui faire subir plus d'un mois de bateau. Bonjour le kérosène et l'empreinte carbone !
En plus, la variété chinoise peut nuire à la santé. Pour atteindre des rendements record de 10 tonnes par hectare, les Chinois abusent du pulvérisateur. Leurs cultures sont abondamment arrosées de glyphosate, ce pesticide classé cancérigène probable pour l'être humain par l'Organisation mondiale de la santé, dont une toute récente étude scientifique américaine vient de pointer les effets neurotoxiques sur la souris («Journal of Neuroinflammation », 4/12). Avec, en prime, un produit anti-limaces, le métaldéhyde, classé cancérigène, mutagène et toxique pour la reproduction. Le plus champignonnesque, dans tout ça, c'est que les morilles chinoises ne font l'objet en Europe d'aucun contrôle sur les résidus de pesticides…
Lorsque ces végétaux ne sont pas made in China, ils sont cueillis en Turquie ou au Pakistan. En France, il n'existe qu'un seul gros producteur. En Savoie, Ceramyca cultive sur 3 ha, grâce à un brevet déposé en 2021, 6 tonnes de morilles par an et fournit les semis à 400 agriculteurs, ce qui donne en tout 8 tonnes annuelles et tricolores de cette très comestible moisissure.
Pour remplacer la morille chinoise, il va falloir sacrément appuyer sur le champignon…
Bon bé, on est maintenant informé sur cette nouvelle merde chinoise et l'inaction sanitaire habituelle de cette union européenne de merde...
Le scorbut, c’est cette maladie effrayante qui fait saigner et tomber les dents, qui provoque une fatigue extrême, des douleurs et des hématomes ou encore des troubles de la cicatrisation et qui peut conduire à la mort.
Elle nous évoque un temps révolu : c’était la maladie des marins qui partaient en mer plusieurs mois sans produits frais. C’était aussi le mal qui frappait les ouvriers les plus misérables durant la révolution industrielle. Une période d’exploitation quasiment inégalée dans l’histoire de l’humanité, qui consistait à faire trimer les prolétaires douze heures par jour pour des paies dérisoires, entassés dans les grands centres urbains insalubres et mal nourris.
Cette maladie est provoquée par l’absence prolongée de consommation de Vitamine C, donc de fruits et légumes frais. C’est un signe alarmant de malnutrition, qui avait disparu depuis le milieu du XXème siècle dans les pays occidentaux. Depuis quelques années pourtant, le scorbut fait son grand retour dans les pays dits «développés».
C’est le cas en France. Un pédiatre parisien, le professeur Ulrich Meinzer, a constaté une forte augmentation des cas chez les enfants alors que la maladie avait «complètement disparu» de France. « Notre étude révèle une augmentation des hospitalisations après le début de la pandémie de Covid-19 » explique-t-il sur RTL. L’étude a recensé un total de 888 patients atteints de scorbut hospitalisés entre le 1er janvier 2015 et le 31 novembre 2023, augmentant fortement depuis 2020, et avec un âge moyen des patients de 11 ans.
Alerte sur les croquettes pour chiens et chats. Le site officiel Rappel conso lance depuis quelques jours des rappels de marques d'alimentation animale. Sont concernées Ultra Premium Direct, Cora, Canaillou, Tous mes amis, Plenima, Companino Vitalive, entre autres. Une infection produisant des « troubles gastro-intestinaux », transmissible à l’homme.
C’est grâce à la lanceuse d’alerte Emmanuelle Amar, du Remera, un registre de malformations congénitales, que l’affaire des bébés nés sans bras a été révélée. Aujourd’hui, ce registre est à l’arrêt en raison de coupes budgétaires très « politiques ».
Des classeurs, des étages de classeurs, du plancher au plafond. Ils contiennent des données sensibles : 90 000 dossiers documentés de malformations congénitales, dépistées avant ou après la naissance. Des données souvent synonymes d’épreuves pour les familles concernées, mais qui peuvent se révéler précieuses en matière de santé environnementale pour rechercher la cause de ces malformations et en prévenir l’apparition quand elles sont liées à des expositions à des polluants.
Ces murs de classeurs sont situés dans un tout petit local au cœur de la ville de Lyon, les bureaux du Remera, pour Registre des malformations en Rhône-Alpes. Cette association et son équipe mènent ce travail de collecte depuis plus de cinquante ans. « Nous surveillons toutes les issues de grossesses des mères qui résident dans le Rhône, l’Ain, la Loire et l’Isère, pour lesquelles des anomalies ont été détectées chez l’embryon, le fœtus ou l’enfant », précise Emmanuelle Amar, directrice du Remera depuis 2007.
Collecter des données, les organiser, mesurer si les malformations augmentent et les signaler, mettre ces informations à la disposition des chercheurs, telle est la mission d’utilité publique menée par le Remera. Ce matin-là, les deux seules collaboratrices d’Emmanuelle Amar sont sur le terrain, dans les services de maternité, pour accéder aux dossiers des patientes et récupérer les données. « Ça peut étonner que le registre soit encore fait de manière si ’’archaïque’’, mais il faut avoir en tête que les données hospitalières, en cas de malformations, ne sont transmises nulle part ! Cela reste dans les tiroirs des hôpitaux si nous ne faisons pas ce travail », explique Emmanuelle Amar.
Diminution du taux de remboursement des consultations, vers un point de bascule ?
Après avoir passé la franchise à 2€, la proposition actuellement sur la table est de réduire le taux de prise en charge des consultations par l’assurance maladie de 70 à 60%. Pour une consultation à 30€ cela aboutira à un reste à charge global de 14€ pour les patients, soit une couverture par l’assurance maladie qui baisse à 54%.
Cette mesure dite « d’économie » est en fait un véritable Tsunami, nous nous retrouvons devant un point de bascule d’un système solidaire « à chacun ses besoins » à un système assurantiel « à chacun selon ses moyens ».
Sachant que celui qui paye décide, avec qui faudra-t-il négocier ? Avec la CNAM préoccupée par la santé publique et la solidarité ou avec les organismes complémentaires qui comprennent de nombreuses assurances, dont la logique est celle de la rentabilité financière ? Ces organismes vont inévitablement répercuter le milliard de dépenses qui leur est transféré sur leurs tarifs. Si aujourd’hui déjà 2,5 millions de personnes n’ont pas de mutuelle, combien seront-elles demain qui ne pourront plus payer ce surplus de dépenses ?
Par cette mesure, ce ne sont pas quelques médecins qui choisiraient de se déconventionner, c’est l’état qui déconventionnerait d’un seul coup l’ensemble des médecins ! ( Dr Agnès Giannotti, présidente de MGFrance ) -source -
Le tout avec les bénédictions de l'union européenne de merde, Ursula von der Leyen et des labos pharmaceutiques !