l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


> depuis le Covid, l’hôpital traîne une lourde « dette » avec des millions de soins non réalisés

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          Depuis la pandémie, des millions de soins ont été repoussés ou annulés par des patients dans les hôpitaux français. La faute à des tensions persistantes et à la hausse du renoncement aux soins.

          C’est une grave « dette de santé publique » qui persiste dans les hôpitaux. Selon une étude de la Fédération hospitalière de France (FHF, une association qui réunit les hôpitaux publics) publiée ce lundi 18 mars, le niveau d’activité des établissements de santé a globalement retrouvé l’an passé le niveau observé avant la pandémie de Covid-19, mais insuffisamment pour les soins les plus lourds. Et quelque 3,5 millions de séjours hospitaliers n’ont pas pu être réalisés depuis l’épidémie de coronavirus - entre 2019 et fin 2023.

          Mais derrière cette reprise des activités « se cachent des disparités préoccupantes qui devraient interroger les pouvoirs publics », a lancé lors d’une conférence de presse le président de la FHF et maire Horizons de Reims Arnaud Robinet. « Nous sommes inquiets » : les chirurgies lourdes, les greffes et les activités de médecine les plus complexes, majoritairement assumées par le secteur public, « sont bien en deçà du niveau attendu », a-t-il dit.

          La FHF parle de « l’existence d’une forme de dette de santé publique, c’est-à-dire d’activités à rattraper ou de conséquences durables sur l’état de santé de la population de prises en charge intervenues avec retard ». Le baromètre de la FHF, qui a été réalisé en partenariat avec Radio France, s’appuie sur des données nationales concernant public et privé.

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> sucré, ça l’est...

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          Voilà un rapport qui donne du sucre à moudre à tous ceux qui veulent taxer la malbouffe pour défendre la santé publique. L'Observatoire de l'alimentation a passé à la moulinette les étiquettes de 54000 produits afin d'analyser l'évolution de leur charge en sucre sur douze ans. Résultat : ça baisse dans les boissons sans alcool. Par exemple, les sodas affichent - 3 %, les limonades - 7 %, les boissons aux fruits - 19 %, les boissons sucrées au thé - 13 %, et même - 21 % pour les eaux aromatisées !

          Une bonne nouvelle pour la santé, que l'on doit à la fameuse « taxe soda ». En 2012, la France a adopté une loi pour taxer toutes les boissons non alcoolisées contenant des sucres ajoutés à raison de 7,55 euros par hectolitre, puis, six ans plus tard, les députés en ont rajouté avec une taxe corrélée au taux de sucre. Plus le breuvage est sucré, plus le fabricant passe à la caisse. Pour un soda affichant par exemple 15 kg de sucres ajoutés par hectolitre, la dîme s'élève désormais à 23,50 euros. Et le rapport, qui porte la double estampille de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) et de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement applaudit l'effet bénéfique de la taxation, le sucre ingéré sous forme liquide étant une vraie catastrophe nutritionnelle.

          En revanche, côté aliments transformés, les fabricants abusent toujours du sucrier pour augmenter l'appétence. Les trois quarts des produits achetés en grandes surfaces, y compris au rayon salé, comme les plats cuisinés et les plats surgelés, restent surchargés en sucre. Et le nombre d'ingrédients sucrants augmente même dans les purées, les chips, les frites, les margarines, et dans toutes les sauces condimentaires comme la mayonnaise. Fâcheux, quand on sait que 75 % des enfants français de 4 à 7 ans dépassent les 60 grammes de sucre journaliers recommandés par l'Anses. Un carburant qui fait flamber l'épidémie d'obésité et son cortège de maladies comme le diabète sucré.

          Mais pourquoi les industriels se gêneraient-ils, puisque seul le sucre des boissons est taxé ? En octobre 2023, Elisabeth Borne, alors Première ministre, a tué dans l’œuf un amendement déposé par un député MoDem qui voulait étendre la taxe soda à tous les produits alimentaires transformés. Et tant pis si ce durcissement de la loi avait également été préconisé par la Cour des comptes (« Conflit», 15/11/23). De là à dire que le gouvernement est tout sucre avec l'agroalimentaire...

C'est un scandale de santé publique que les gouvernements successifs n'ont pas voulu plus réglementer, pourquoi ? Pourtant, il est tout à fait simple d'indiquer avec un simple logo la teneur en sucre de tous les produits de consommation.

facile, non ?

 

> pays d'origine des produits importés en UE présentant la plus forte contamination par PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes importés de l'UE présentant le taux de contamination par PFAS le plus élevé provenaient du Costa Rica (41 %), d'Inde (38 %) et d'Afrique du Sud (28 %). Dans l’ensemble, 16 % de tous les échantillons de produits importés de l’UE contenaient des résidus d’au moins un pesticide PFAS.

          La Turquie est le pays d'origine avec le nombre maximum de pesticides PFAS détectés dans un seul échantillon, avec certains individus échantillons turcs contenant des résidus de cinq pesticides PFAS différents. De plus, les échantillons provenant de Turquie contenaient la plus grande diversité en termes de différents pesticides PFAS détectés dans tous les échantillons.

source - pour les FPAS

Conforme à ce que l'on peut en connaitre, le Maroc est dans le club de tête...

 

> quand l’UE occulte l’origine des produits agricoles

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          Aujourd’hui, s’est ouvert le Salon de l’Agriculture. La colère légitime des agriculteurs grandit et a eu raison du débat dérisoire proposé par Macron, également refusé par Michel-Edouard Leclerc. Outre la mise en place d’un vrai protectionnisme, comme en Asie, la claire communication de l’origine des produits est une autre revendication légitime. Dans les deux cas, l’UE est l’obstacle à franchir.

L’UE, c’est l’opacité pour les consommateurs

          Dans l’histoire que cherche à nous vendre les communicants de l’Union Européenne, il y aurait le fait que l’UE défendrait les consommateurs. Certains s’accrochent à quelques mesures dérisoires, sur les chargeurs de téléphone ou le prix des communications entre pays membres. Mais pour qui prend un peu de recul sur le sens profond des mesures dessinées à Bruxelles, l’intérêt des consommateurs semble bien moins importer que celui des multinationales et des puissants. Outre ce laisser-faire et ce laisser-passer qui profitent essentiellement aux plus forts, il y a, comme aux États-Unis, la volonté de dissimuler l’information quand cela arrange les intérêts du monde des affaires. Et en matière agricole, l’intérêt du monde des affaires, c’est de pouvoir s’approvisionner à sa guise dans le pays que l’on veut (c’est-à-dire le moins cher), sans forcément l’indiquer clairement aux consommateurs si cela est moins vendeur.

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> états membres de l'UE dont les fruits et légumes étaient les plus contaminés par les PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

Résultats à l'échelle de l'UE : résidus de PFAS dans les fruits et légumes ; pays d'origine des fruits et légumes contaminés : produits cultivés dans l'UE.

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes cultivés dans l'UE présentant le taux le plus élevé de contamination par les PFAS provenaient de Belgique (27 %), des Pays-Bas (27 %) et d'Autriche (25 %). Dans l'ensemble, 15 % de de tous les échantillons de produits cultivés dans l'UE contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Le nombre maximal de quatre pesticides PFAS différents détectés dans un seul échantillon a été observé dans des fruits et légumes cultivés en Autriche, en Grèce, en Hongrie et en Pologne.

          Avec un total de 18 pesticides différents détectés sur l'ensemble échantillons nationaux, l'Italie et l'Espagne sont les pays d'origine qui présentent la gamme la plus diversifiée de pesticides pesticides PFAS.

source ( page 20 ) - pour les FPAS

Très étonné de trouver les fruits et légumes de Belgique, Hollande et Autriche comme étant les plus contaminés en PFAS de l'UE de merde. Bon, l'Espagne et le Portugal ne sont pas loin...

 

> fruits cultivés dans l'UE les plus contaminés avec des PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, des résidus de pesticides PFAS étaient présents dans 20 % de tous les échantillons de fruits.

          Les fraises, les pêches et les abricots étaient les fruits cultivés dans l'UE les plus fréquemment contaminés :
- 37 % des échantillons de fraises contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, 10 pesticides PFAS différents ont été détectés dans tous les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus jusqu'à quatre pesticides PFAS différents.
- 35 % des échantillons de pêches contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, neuf pesticides PFAS différents ont été détectés dans les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus d'au moins trois pesticides PFAS différents.
jusqu'à trois pesticides PFAS différents.
- 31 % des échantillons d'abricots contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, huit pesticides PFAS différents ont été détectés dans tous les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus jusqu'à quatre pesticides PFAS différents.
          Dans l'ensemble, le nombre maximal de quatre pesticides PFAS différents détectés dans un seul échantillon a été observé dans les échantillons de fraises. Avec un total de 12 pesticides différents détectés dans tous les échantillons, les échantillons de raisin de table contenaient des résidus de la gamme la plus diversifiée de pesticides PFAS.

- source (page 14 & 15) - pour les FPAS

Et vu les dérégularisations de l'usage des pesticides et plus particulièrement des PFAS, qui s'annoncent, les européens vont crever de plus en plus jeunes et de plus en plus malades ; évidemment, avec des services de santé publique devenus quasi-inexistants, sauf pour l'"élite" qui aura "lit ouvert" dans les cliniques privées de luxe !