l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Dans l'histoire de l'humanité, les technologies de domination ont toujours été mobilisées, d'abord au profit des dominants - Axel Kahn

> les « involontaires » aux JO disent non au travail gratuit

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          A quelques jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques (JOP), la lettre de démission – dont un extrait est publié ci-dessous – d’un·e des 45 000 bénévoles recruté·es pour l’organisation de l’événement circule sur les réseaux sociaux. Adressée au Comité des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) de Paris 2024, elle émane d’un·e de ces « involontaires » qui ont répondu à l’appel à candidature, dans le but de mettre en cause politiquement les Jeux.

« Bonjour,
Je vous écris pour vous informer que je n’assurerai pas mes missions de “volontaire”. Je n’ai jamais eu l’intention de réellement participer à ces Jeux olympiques et paralympiques (JOP) et mon cas n’est pas isolé. Ces fausses candidatures ont été pour nous autant de tentatives de contrarier la tenue d’un événement qui n’est populaire que dans votre campagne publicitaire. […] Votre recours massif au travail dissimulé sous couvert de volontariat n’est qu’un des innombrables aspects toxiques que nous dénonçons.

Alors que la Seine-Saint-Denis – où le taux de chômage est de 10,5 % – supporte la majorité des conséquences néfastes et des épreuves de Paris 2024, vous martelez avec un enthousiasme révoltant que les Jeux reposent sur les bénévoles. Nos expériences en tant qu’infiltré·es dans votre programme nous ont appris, si ce n’est confirmé, qu’en fait de bénévolat il s’agit bien de travail gratuit.

Un travail pour lequel nous avons passé plusieurs étapes de sélection (débouchant pour certain·es sur un refus), qui demande d’avoir ou d’acquérir des compétences particulières et de résister à la pression, qui impose une hiérarchie, des contraintes, le port obligatoire de l’uniforme... […] Le tout au service d’une organisation et de sponsors qui, eux, réaliseront d’indécents profits. »

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> pour ce grand week-end de départ : plus de 4500 radars vous attendent...

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          (...) L'été est là, et avec lui, les vacances tant attendues. Des millions d'automobilistes prennent les routes de France pour rejoindre des destinations ensoleillées, souvent via des autoroutes. Mais attention, car ces trajets très fréquentés sont également très surveillés avec des radars automatiques qui contrôlent les vitesses et sanctionnent le moindre dépassement, pour d'évidentes raisons de sécurité.

          Rappelons que, même si la loi a changé depuis le 1er janvier 2024, les excès de vitesse sont toujours pénalisés. Tout dépassement de plus de 5 km/h de la limite autorisée entraîne le retrait d'au moins un point sur le permis de conduire une amende dont le montant varie de 68 à 1500 euros selon la gravité de l'infraction. Seuls les "petits" excès, inférieurs à 5 km/h ne sont plus sanctionnés par une réduction de points.

          Selon la Sécurité routière, plus de 4500 radars de toutes sortes (radars de vitesse fixes, radars de vitesse moyenne, radars "discriminants", radars de franchissement, radars mobiles, etc.) surveillent le territoire. Et ils ont verbalisé plus de 16 millions d'infractions en 2023. Mais parmi les quelque 3500 modèles fixes qui scrutent le trafic, il y en a un en particulier qui crépite plus que tous les autres en France. Ce radar, situé dans le sud du pays, est le champion incontesté des flashs. (...) - source -

C'est tellement juteux pour les caisses de l'Etat... sans oublier les assureurs à la manœuvre au sein de cette union européenne de merde : moins d'accidents, quelque qu'ils soient, plus de profits pour engraisser les actionnaires.

 

> au-delà des fantasmes, est-ce que l’État profond français existe ?

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          Avec le départ possible de Bruno Le Maire en Suisse, pays de cocagne, il apparait nécessaire d’appréhender ce qu’est l’État profond français, mais aussi de comprendre les mécanismes de la dette réelle de la France. Dette que Bruno Le Maire a largement amplifié durant son long séjour à Bercy.

             Ce concept d'État profond représente la haute administration non élue et choisie par le chef de l'État pour décider de la politique et de la gestion des dépenses publiques. Avec plus de 3.100 milliards de dette, - source Ministère de l'Economie et des finances 2024, la France est sous la tutelle du lobby bancaire et Emmanuel Macron n'y est pas étranger.

          Diplômé de l'école nationale de l'administration puis inspecteur des finances, il quittera la fonction publique pour une banque privée bien connue, à savoir la banque Rothschild, et deviendra son plus jeune associé gérant. Ce management transversal s’appelle « pantoufler ».

           À ce sujet, passer de la fonction publique dans le secteur privé s’appelle du « pantouflage » et pose, en général, des problèmes éthiques et déontologiques, du fait d’une transparence souvent absente. Le terme de « rétro pantouflage » désigne, à l’inverse, le passage du secteur privé vers la fonction publique.

          Le retour d’Emmanuel Macron dans l'administration française s’effectuera au ministère de l'Économie, véritable « cheval de Troie » du pouvoir bancaire afin de privatiser et de détruire, hélas, l’économie de notre pays. Les privatisations sont rendues légales grâce à une assemblée nationale, muée depuis bien trop longtemps en banale chambre d’enregistrement des ordres émanant du chef de l’Etat et de son Premier ministre.

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> fin de l’accès généralisé au Registre des Bénéficiaires Effectifs (RBE) des sociétés

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          L’ONG Transparency dénonce un recul majeur dans la lutte contre le blanchiment. Patrick Lefas, le président de la branche française de l’association anticorruption, s’alarme de la fin de l’accès généralisé au Registre des bénéficiaires effectifs des sociétés, à compter du 31 juillet.

          « C’est une très bonne nouvelle pour ceux qui ont des choses à se reprocher et de l’argent à cacher. » L’énarque Patrick Lefas, ancien magistrat de la Cour des comptes, à la tête de Transparency International France depuis 2020, est plutôt du genre placide. Mais la suppression de l’accès généralisé au Registre des bénéficiaires effectifs (RBE), à compter du 31 juillet prochain, le met en colère. Le RBE permet de connaître immédiatement les véritables propriétaires des sociétés enregistrées au registre du commerce, via de nombreux sites Internet comme Infogreffe ou Pappers. Un dispositif dont se servent abondamment les ONG et les journalistes.

Challenges - En quoi le registre des bénéficiaires effectifs est-il un outil important ?

          Patrick Lefas - Le RBE est un acquis obtenu grâce aux quatrième et cinquième directives européennes anti-blanchiment. Il est rentré en application à partir de 2017, en interconnexion entre tous les pays européens, et en accès libre pour le grand public depuis 2021. Il permet de lutter contre le blanchiment, en identifiant les véritables détenteurs des sociétés civiles immobilières, et de nourrir des plaintes dans des dossiers de « biens mal acquis ».

          Transparency s’en est servi pour convaincre le Parquet de Paris d’ouvrir une enquête visant des oligarques russes proches du Kremlin, qui a déjà donné lieu à la saisie de la villa de l’ex-épouse de Vladimir Poutine, près de Biarritz. C’est aussi un outil utile pour les entreprises. Dans le cadre de la loi anticorruption dite Sapin 2, votée en décembre 2016, elles doivent, en effet, procéder à des vérifications « éthiques » avant de contracter avec des tiers (clients, sous-traitants, fournisseurs…).

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> la démocratie locale est tout aussi bidon que la démocratie nationale...

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exemple : la consultation pour avis des électeurs

          La loi du 13 août 2004 (article 122) a étendu à l'ensemble des collectivités territoriales la possibilité de consulter les électeurs dont les communes bénéficient depuis 1992. Le droit de pétition, reconnu par la loi constitutionnelle du 28 mars 2003 est confirmé. Cette procédure est codifiée aux articles L1112-15 à L1112-22 du CGCT.

          La consultation pour avis des électeurs vient en complément du référendum. Elle a vocation à intervenir en amont d'un processus de décision.

          Les électeurs de la commune peuvent être consultés sur les décisions que les autorités municipales sont appelées à prendre pour régler les affaires de la commune. D'une manière générale, tous les électeurs de la commune sont consultés. Toutefois, il est possible de ne consulter que ceux concernés par des affaires intéressant telle ou telle partie du territoire de la commune.

          Un cinquième des électeurs inscrits sur les listes électorales de la commune peut demander qu'une consultation, sur toute affaire relevant de la compétence du conseil municipal, soit inscrite à l'ordre du jour de cette assemblée. Un électeur ne peut signer qu'une seule demande de ce type par an. Le maire apprécie l'opportunité d'inscrire la demande à l'ordre du jour de l'assemblée délibérante, le droit de pétition, selon l'article 72-1 de la Constitution visant à demander, mais non pas à obtenir, l'inscription d'une affaire à l'ordre du jour de cette assemblée.

          Le conseil municipal décide ou non d'organiser cette consultation. Si oui, la délibération arrête le principe et les modalités d'organisation de la consultation, indique expressément que la consultation n'est qu'une demande d'avis, fixe le jour du scrutin et convoque les électeurs.

          Le public doit être informé qu'il s'agit d'une demande d'avis et que la commune ne peut, pendant le délai d'un an à compter de la tenue d'un référendum ou d'une consultation des électeurs, organiser une autre consultation sur le même objet. Enfin, comme pour le référendum local, la régularité d'une consultation peut être contestée dans les formes et délais prescrits pour les réclamations contre l'élection des conseillers municipaux.

          Après avoir pris connaissance du résultat de la consultation des électeurs qui se prononcent par oui ou par non, l'autorité compétente de la commune arrête sa décision sur l'affaire qui a fait l'objet de la consultation.

          Les conseils municipaux qui sont les premiers intéressés par l'organisation des consultations des électeurs dans les conditions prévues par la loi. Si l'on se réfère au bilan qui a pu être tiré des informations qui ont été fournies par les préfectures sur les consultations organisées par les communes entre 1995 et 2009, force est constater que cet outil de démocratie directe n'est que peu utilisé (233 consultations durant cette période). - source -

un exemple concret qui démontre, s'il le fallait encore, que nous vivons dans une démocratie bidon :  les électeurs peuvent demander mais, in fine, que ce sont jamais eux qui décident,...

 

> revendications démocratiques ? non ! scène de répression sauvage habituelle sous la dictature macroniste !

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Il y a vraiment de quoi être écœuré de la macronie qui use et abuse de la force policière pour réprimer des manifestants qui réclament qu'une redistribution d'eau plus juste et plus responsable ! A noter que l'industrie agro-alimentaire a réussi à faire de cette région de La Rochelle l'endroit le plus pollué par les pesticides de France où les cancers sont devenus légions !...

> pourquoi les banques françaises ne rémunèrent pas les comptes courants

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          Depuis 2005 et une décision de la justice européenne, les banques françaises sont autorisées à rémunérer les dépôts des comptes courants. Une opportunité qu’aucune n’a vraiment saisie jusqu’alors. Mais la néobanque Lydia, qui a lancé mi-mai une offre de ce type, pourrait faire bouger les lignes.

           500 milliards d’euros. C’est, en France, tout l’argent qui sommeille sur les comptes courants des clients bancaires. Cela représenterait en moyenne 16 562 € par compte, selon un calcul du site spécialisé Moneyvox qui est parti du principe qu’il y avait 30 millions de foyers français. Une somme loin d’être négligeable, qui serait rémunérée si elle était plutôt placée sur des livrets d’épargne réglementée par exemple… Mais ce que peu de gens savent, c’est qu’elle pourrait également l’être tout en restant sur votre compte à vue !

          En effet, les banques et d’autres établissements financiers disposant d’une licence bancaire placent l’ensemble de leurs dépôts auprès de la banque centrale européenne (BCE). En fonction de la conjoncture économique, cette dernière les rémunère selon le taux de rémunération (ou « de facilité ») des dépôts. Il s’agit d’un des trois taux directeurs de la BCE, lesquels ont été rabaissés le jeudi 6 juin. Celui qui nous intéresse est donc descendu à 3,75 %, après être resté à 4 % depuis septembre. Pendant neuf mois donc, la BCE a rémunéré les 500 milliards d’encours des comptes courants à ce taux.

          « C’est comme si on avait donné 15 milliards d’euros aux banques, aux dépens des particuliers », considère Aude Poulain de Saint-Père, avocate en droit bancaire au barreau de Paris. Les banques pourraient effectivement redistribuer tout ou partie de ce pactole à leurs clients. Pourquoi ne le font-elles pas ? Pour comprendre, il faut faire un peu d’histoire bancaire. Et remonter jusqu’en 1966, une époque où les salaires sont encore systématiquement versés via des enveloppes remplies de coupures Puis dépensés également en liquide. La réforme Debré-Haberer, visant à libéraliser le système bancaire, a modernisé tout ça.

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> feu abbé Pierre accusé d’agressions sexuelles...

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          L’abbé Pierre, mort le 22 janvier 2007 à Paris, est accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles dans un rapport publié mercredi 17 juillet 2024 par Emmaüs International, Emmaüs France et la Fondation Abbé-Pierre.

           La chute d’une icône. L’abbé Pierre, grande figure française, défenseur inlassable des sans-abri et des mal-logés, est accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles, dans un rapport publié mercredi 17 juillet 2024 par Emmaüs International, Emmaüs France et la Fondation Abbé-Pierre. Le prêtre, de son vrai nom Henri Grouès, est décédé le 22 janvier 2007, à l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris.

           Tout a commencé en juin 2023, lorsqu’une femme a pris contact avec des responsables du mouvement Emmaüs, pour témoigner. Elle fait part de gestes graves, que le très célèbre fondateur de cette organisation, ami proche de ses parents, lui a imposé. Elle raconte que lorsqu’elle était âgée de 16 à 17 ans, l’abbé Pierre, de près de cinquante ans son aîné, touche à plusieurs reprises sa poitrine. Quelques années plus tard, en 1982, il lui impose un baiser, introduisant de force sa langue dans sa bouche. Emmaüs a demandé au cabinet Egaé, cofondé par la militante féministe Caroline De Haas, de mener l’enquête, pour savoir s’il s’agit d’un cas isolé ou s’il existe d’autres victimes.

           Le rapport, publié mercredi 17 juillet 2024, fait huit pages, et a nécessité deux mois de travail et douze entretiens. Six femmes rapportent des faits pouvant être qualifiés d’agressions sexuelles, une autre fait état de propos sexistes et de sollicitations dérangeantes. Le travail d’enquête révèle que l’abbé Pierre profitait de moments ou il était seul avec une femme, dans un endroit isolé, pour se rapprocher d’elle. C’est alors qu’il avait des gestes violents, comme des mains sur la poitrine ou des baisers forcés. Des agissements dont on parlait, en interne, à Emmaüs. Une salariée de l’époque raconte qu’il était recommandé aux femmes de ne pas aller voir l’abbé Pierre seule.

          Le choc de ces révélations est d’autant plus puissant que l’abbé Pierre, figure de l’Église catholique, est également une icône dans la société française. Ses multiples combats, de son passé de résistant à son engagement incessant tout au long de sa vie, sans oublier son bref passage en tant que député, en ont fait une personnalité très populaire. Son appel à la solidarité lors de l’hiver 1954 l’avait propulsé au rang de célébrité. Il a été, à seize reprises, désigné personnalité préférée des Français.  - source -

un commentaire à apprécier  : " Dommage que ce ne soit pas sorti quand il était encore vivant. Le donneur de leçon aurait pris une belle leçon. Ce personnage qui a réussi à s'imposer comme un chantre de la solidarité est tout de même celui qui a inventé l'esclavagisme lucratif déguisé sous couvert de solidarité avec les plus démunis. Un grand nombre de personnes surtout des jeunes ayant passé dans ce " système " se sont sentis tellement humiliés qu'ils en portent encore des séquelles psychologiques. De plus, si ce curé était autant encensé par les médias, c'est probablement dû au fait qu'il ne s'en prenait jamais aux riches qu'il adulait et préconisait la solidarité ciblée entre les pauvres et les classes moyennes. Bref, dans ce petit monde secret de la religion on est toujours en attente de nouvelles surprises, et il serait bon de comprendre pourquoi la profession de curé génère autant de pervers. " - Fresseline -

D'un autre côté, il faut savoir que la religion catholique a toujours estimé que la justice de Dieu prévalait sur celle des hommes. Et qui dit dieu, dit diable : un curé peut succomber aux tentations du diable, c'est en quelque sorte normal pour cette religion ; le curé est alors devenu irresponsable de ses actes puisque sous le joug du diable... Cela explique bien souvent les dérives sexuelles et autres de pas mal de membres de cette église.