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> rendez-vous médicaux non honorés : Attal propose une «taxe lapin» de 5 euros

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          Cette sanction, qui ne serait pas automatique, doit permettre de récupérer 15 à 20 millions de créneaux médicaux.

           Les contours de la «taxe lapin», qui doit sanctionner les rendez-vous médicaux non honorés ( 27 millions par an, selon l'Union régionale des professionnels de santé d'Île-de-France ), ont été précisés ce samedi par Gabriel Attal. Lors d’un échange avec des journalistes de la presse régionale, le premier ministre a annoncé une entrée en vigueur de cette taxe le 1er janvier 2025. Et un montant.

Une «taxe lapin»

          Si le rendez-vous n’est pas annulé au moins 24h à l’avance, la sanction pourra s’élever à cinq euros, destinés au praticien, quels que soient les revenus dudit patient. « Qu'on ait des difficultés financières ou pas, on a les mêmes droits et les devoirs », a déclaré le chef du gouvernement. Les exceptions seront toutefois possibles : le praticien aura la main sur la sanction et pourra décider de ne pas l'appliquer s'il considère que son patient n'avait pas les moyens d'annuler ou qu'il dispose de trop faibles ressources.

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> le géant pharmaceutique GSK qui déshabille ses patients ( avec le Requip )

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          Libido hors de contrôle, addiction au jeu, le labo britannique GSK s’obstine à minimiser les effets secondaires désastreux de son médicament contre Parkinson.

          Stupeur et tremblements ! L’un des plus gros labos pharmaceutiques de la planète a-t-il sciemment minoré les drôles d’effets secondaires de l’un de ses médocs contre Parkinson ? Pour Stéphane G., la descente aux enfers commence en 2018. A 48 ans, ce haut cadre d’un groupe mondial d’assurances apprend qu’il est atteint de la maladie de Parkinson. Pour réduire ses spasmes, son neurologue lui prescrit du Requip, un médicament du labo britannique GSK. Et voilà que, sous l’effet du traitement, Stéphane G. se métamorphose en obsédé sexuel et en joueur compulsif, sans comprendre ce qu’il lui arrive. Quand il ne se ruine pas en paris sportifs, il écume les sites pornos. En deux ans, ses 82 977 euros d’épargne partent en fumée. Son mariage sombre, il tombe dans la dépression, et ce n’est qu’en 2020 qu’un neurologue établit le lien entre son naufrage conjugal et financier et le Requip. Une simple réduction de dose aurait permis de résoudre ses problèmes, assure le praticien...

          Depuis 1997, GSK commercialise un produit qui ne guérit pas la maladie mais réduit la tremblote en stimulant la production de dopamine. Avec un bémol de taille : quand il est trop imbibé par cette molécule du plaisir, le cerveau ne contrôle plus ses impulsions. Le patient se livre alors à ses démons.

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> les citadins arrivent de moins en moins à digérer les aliments végétaux

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          Dans une étude parue le 15 mars dans la revue Science, des chercheurs révèlent que les bactéries qui habitent nos intestins se raréfient à grand pas, rendant plus compliquée la digestion des végétaux. La faute aux fast-foods et autres produits transformés qui bouleversent notre alimentation.

          On les appelle les « mangeuses de cellulose ». Certaines des bactéries qui peuplent notre microbiote intestinal, aka la fameuse flore intestinale, ont la capacité étonnante de dégrader la cellulose, principal composant des fibres alimentaires qu’on retrouve dans les fruits, les légumes et certaines céréales. Découvertes pour la première fois en 2003, ces bactéries sont essentielles au bon fonctionnement de notre transit intestinal. Et pour cause : contrairement aux glucides, les enzymes présentes dans notre bouche, estomac et intestins ne peuvent pas à elles seules dissoudre la cellulose. Le corps humain doit donc s’en remettre à ces bactéries au super-pouvoir de dégradation pour digérer correctement les plantes.

          Problème : ces bactéries sont en voie de disparition, selon les conclusions d’une étude publiée le 15 mars dernier au sein de la revue Science. En effet, des chercheurs de l’université israélienne Ben Gourion ont constaté une chute drastique de ces bactéries au fil des siècles, en particulier au sein des populations urbaines.

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> arrêts de travail : face au déficit public, l’État envisage d’augmenter le nombre de jours de carence dans le privé

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          Actuellement fixé à quatre, le nombre de jours de carence pour les salariés du privé pourrait passer à cinq voire huit jours, afin de combler une partie du déficit public, révèle La Tribune ce dimanche.

          Mardi dernier, l’Insee annonçait que le déficit public de la France atteignait les 5,5 % du PIB en 2023, soit 154 milliards d’euros. Un coup dur pour le gouvernement qui, de facto, s’échine à réaliser de sérieuses économies. L’exécutif planche ainsi sur plusieurs pistes, notamment dans le domaine de la santé. Après le doublement de la franchise médicale ou encore la baisse des coûts des transports sanitaires, l’exécutif songe à augmenter le nombre de jours de carence dans le privé, révèle La Tribune ce dimanche.

Jusqu’à huit jours de carence ?

          Les dépenses liées aux indemnités journalières augmenteraient de 6 % par an et représenteraient 16 milliards d’euros. Une somme pas anodine. « Selon les scénarios, les économies estimées peuvent aller jusqu’à 1 milliard d’euros par an », précise La Tribune.

          Actuellement, il faut attendre le quatrième jour d’arrêt pour commencer à toucher une indemnisation par la Sécurité sociale. D’après le média, ce délai pourrait passer à cinq voire huit jours ! Les salariés ne devraient pas forcément être impactés puisque ces jours de carences supplémentaires pourraient être pris en charge par les entreprises.

          Mais face au tollé que cette annonce pourrait provoquer chez les employeurs, une autre idée se profile : mettre en place des jours de carence dit d'« ordre public », qui ne seraient indemnisés par personne. Et là ce seraient les salariés qui trinqueraient. - source -

  C'était facilement prévisible depuis que le budget de la sécurité sociale indépendant a été détourné en 1996 annonçant la destruction du système de santé français. Depuis, une partie des cotisations sont utilisées pour rembourser les emprunts ou aider les pauvres entreprises... Si ces nouvelles restrictions  passent, double bénéfs pour les patrons : les entreprises ( environ 90% ) qui, par un contrat de prévoyance, indemnisent aujourd'hui les jours de carence de leurs salariés ne le feront plus "légalement", et ne subiront donc pas d'augmentation de ces contrats si le nombre de jours de carence sera augmenté. Le tout, dans un capitalisme ultra-libéral pur et dur, sera exclusivement supporté par les salariés !!! Sans oublier le bonus d'une division exacerbée entre les salariés en édictant ces nouvelles règles uniquement pour les salariés du privé ( dans un premier temps )... Conclusion : encore une fois, les patrons niquent les salariés profond,...

 

> aujourd'hui, doublement de la franchise sur les boîtes de médicaments, participation forfaitaire des consultations et actes médicaux

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          Le doublement de la franchise sur les boîtes de médicaments, de 50 centimes à 1 euro, et la "participation forfaitaire" sur les consultations et actes médicaux passera elle de 1 à 2 euros à compter de dimanche, et la franchise sur les transports sanitaires est, elle, doublé, passant de 2 à 4 euros.

          Un reste à charge un peu plus élevé pour le patient. Le décret sur le doublement de la franchise médicale, de 50 centimes à 1 euro sur chaque boîte de médicaments, a été publié samedi 17 février au Journal officiel pour une entrée en vigueur au 31 mars. La franchise sur les transports sanitaires est, elle, doublé, passant de 2 à 4 euros à compter de la même date.

          Par ailleurs, la "participation forfaitaire" sur les consultations et actes médicaux – à l'exception de ceux réalisés lors d'une hospitalisation, ainsi que sur les examens et analyses de biologie médicale, double. A partir de dimanche, elle est de 2 euros (contre 1 euro auparavant), selon un autre décret publié samedi au Journal officiel.

           Face à la dégradation des comptes de la Sécurité sociale, le gouvernement avait annoncé en janvier son intention de faire payer un peu plus les assurés sociaux sur leur consommation de soins, en augmentant la part non remboursée. Afin que les personnes ayant le plus fort recours aux soins ne soient pas pénalisées, le gouvernement maintient à 50 euros chacun des deux plafonds annuels (l'un pour les franchises, l'autre pour les participations forfaitaires).

Quelque 800 millions euros d'économies prévues

          Les franchises et remboursements forfaitaires ne sont pas applicables aux mineurs, aux femmes qui bénéficient de l'assurance maternité et aux bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire, qui ont des revenus particulièrement modestes. Selon les estimations du gouvernement communiquées à l'automne, lors des débats sur le budget de la Santé 2024, la mesure vise à générer 800 millions d'euros d'économies dans les caisses de la Sécurité sociale.

          Les associations de patients ont fortement critiqué ces augmentations, redoutant en particulier leur effet sur les plus précaires. "Faire payer davantage les médicaments, c'est culpabiliser ceux qui en ont besoin", avait estimé en janvier sur franceinfo Gérard Raymond, président de France Assos Santé. - source -

trois commentaires choisis :

     Cette augmentation du reste à charge pour les malades est la conséquence des nombreuses exonérations accordées aux entreprises dont certaines font des bénéfices records et défiscalisent via des structures d'entreprises façon poupées russes.Cette augmentation du reste à charge pour les malades est la conséquence des nombreuses exonérations accordées aux entreprises dont certaines font des bénéfices records et défiscalisent via des structures d'entreprises façon poupées russes.

     Les cotisations Sécurité sociale ne baissent pas, les complémentaires santé augmentent et maintenant ils doublent la participation des assurés sur les boîtes de médicaments et les visites chez les médecins actes infirmiers, kiné et autres. Petit à petit notre système de cotisations de sécurité sociale et en augmentation et bientôt l'on verra se mettre en place une "sécurité sociale" privé qui concurrencera notre système actuel qui lui restera en place juste pour les plus pauvres.

     Encore une fois de plus on paye les errements du pouvoir. À quand ceux de la haut qui ne font que profit monstrueux mettront la main dans le coffre-fort ? Le Sénat avait laissé entendre qu’ils allaient se pencher sur leur retraite, on n’a rien vu. Aujourd’hui ils se sont augmenté de 700€ / mois et rejette le droit au congé menstruel…il est vrai que les seules fois où Larcher à mal au ventre c’est quand il a abusé du foie gras ou du homard.

 

> depuis le Covid, l’hôpital traîne une lourde « dette » avec des millions de soins non réalisés

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          Depuis la pandémie, des millions de soins ont été repoussés ou annulés par des patients dans les hôpitaux français. La faute à des tensions persistantes et à la hausse du renoncement aux soins.

          C’est une grave « dette de santé publique » qui persiste dans les hôpitaux. Selon une étude de la Fédération hospitalière de France (FHF, une association qui réunit les hôpitaux publics) publiée ce lundi 18 mars, le niveau d’activité des établissements de santé a globalement retrouvé l’an passé le niveau observé avant la pandémie de Covid-19, mais insuffisamment pour les soins les plus lourds. Et quelque 3,5 millions de séjours hospitaliers n’ont pas pu être réalisés depuis l’épidémie de coronavirus - entre 2019 et fin 2023.

          Mais derrière cette reprise des activités « se cachent des disparités préoccupantes qui devraient interroger les pouvoirs publics », a lancé lors d’une conférence de presse le président de la FHF et maire Horizons de Reims Arnaud Robinet. « Nous sommes inquiets » : les chirurgies lourdes, les greffes et les activités de médecine les plus complexes, majoritairement assumées par le secteur public, « sont bien en deçà du niveau attendu », a-t-il dit.

          La FHF parle de « l’existence d’une forme de dette de santé publique, c’est-à-dire d’activités à rattraper ou de conséquences durables sur l’état de santé de la population de prises en charge intervenues avec retard ». Le baromètre de la FHF, qui a été réalisé en partenariat avec Radio France, s’appuie sur des données nationales concernant public et privé.

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