l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> selon la propagande, les jeunes Français veulent faire la guerre

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          Alors que les tensions au Moyen-Orient continuent de grimper de plusieurs niveaux et qu’on apprend en parallèle que les difficultés ukrainienne se multiplient, la Macronie pousse un soupir de soulagement : selon une étude, les jeunes Français sont majoritairement prêts à s’engager pour aller combattre les ennemis qu’on leur désignera…

           C’est en tout cas ce que laissent sous-entendre avec gourmandise plusieurs articles parus récemment dans la presse et qui ont fait hausser pas mal de sourcils sur les réseaux sociaux. Pour RTL par exemple, “un jeune Français sur deux se dit prêt à s’engager” et l’article précise même que “ la moitié se dit prête à revêtir l’uniforme pour partir combattre sur le front en Ukraine si la France décide d’entrer en guerre ”.

          Ces éléments sont d’ailleurs immédiatement rapprochés des dernières déclarations d’Emmanuel Macron qui a, pour rappel, clairement laissé ouverte la possibilité d’envoyer des troupes sur le sol ukrainien tant il est pour le Président français impossible de seulement imaginer une victoire russe.

          Pour Le Parisien ou Les Échos, on assiste même à un véritable regain de patriotisme puisque, toujours selon ces journaux et d’après l’étude qu’ils citent sans jamais la lier directement.

            Le Monde, qui cite la même étude toujours sans la lier, s’offre un titre un peu moins racoleur et s’autorise même quelques nuances en évoquant des Français moins antimilitaristes que leurs aînés. Le lecteur qui ira effectivement lire l’article sans se contenter du titre devra atteindre la fin du quatrième paragraphe pour voir apparaître le début de nuances extrêmement importantes que les autres articles, largement relayés un peu partout, se sont bien gardés de faire.

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> le gouvernement prépare les esprits et les structures à la guerre

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          On croit que la guerre c’est loin de nous dans le passé, ou ailleurs dans d’autres pays. Mais la France et d’autres relancent le réarmement tout azimut, avec endoctrinement, habituation au militarisme, lois sur mesure, recherches et financements.

          Il est temps de dire stop si on ne veut pas se réveiller un matin sous les bombes et/ou sous le coup d’une conscription obligatoire, avec union nationale ultra-autoritaire, nouvelles restrictions des libertés et répression accrue.

          En réalité, dans ce modèle étatico-capitaliste, la guerre militaire, sporadique, ne cesse jamais, et la guerre économique est un ravage permanent : misère, pollutions, atteintes à la santé, catastrophes climatiques et écologiques, concurrence, perte de sens, chaos social, guerre contre les pauvres, guerre de classe, colonialismes, coups tordus, corruption, clientélisme, trafics légaux ou illégaux, etc. Dans ce modèle, la paix est très précaire, temporaire, ne concerne que quelques privilégiés, et elle n’est qu’apparente et limitée car partout règnent la violence de la guerre économique et l’oppression des oligarchies et tyrans.

          Par conséquent, l’antimilitarisme, la quête d’une « paix », d’un bien vivre pacifié pour tous les peuples, passent forcement par le démantèlement et le remplacement du modèle techno-étatico-capitaliste, la fin des gouvernements et de la domination des puissants.

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> Darty et Boulanger : attention aux conditions de leurs nouveaux services de réparation

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          Ces célèbres enseignes proposent depuis quelque temps des services de réparation à volonté pour les appareils électroniques et l'électroménager. Mais ces contrats sur abonnement sont soumis à des conditions bien particulières.

           Depuis plusieurs années maintenant, les enseignes Boulanger et Darty vous proposent de souscrire à des garanties commerciales pour réparer "gratuitement" vos appareils s'ils tombent en panne après la garantie légale de conformité – qui est de deux ans. Baptisées Darty Max et Boulanger Infinity, ces protections optionnelles couvrent vos biens électroménagers et électroniques, tant que l'abonnement mensuel est réglé. Pour faire simple, en payant un abonnement entre une dizaine et une vingtaine d'euros par mois, selon le nombre de catégories d'objet choisies (électroménager, image et son, multimédia, photo, etc.), vous pouvez bénéficier de réparations à volonté. Une offre bien alléchante, mais qui peut s'avérer très décevante.

           En effet, comme le révèle une récente enquête de 60 millions de consommateurs, ces garanties commerciales sont généralement truffées de conditions, d'exclusions et de frais additionnels. Sans compter que ces abonnements sont accompagnés d'une période d'engagement d'un an et qu'il n'est pas possible de vous rétracter sous quatorze jours, comme la loi le prévoit. Une fois que vous avez signé – souvent en magasin, sur les conseils d'un vendeur qui vous empêche de lire les quarante pages du contrat –, vous êtes coincé !

          Plusieurs clients de Darty Max ont eu ainsi la mauvaise surprise de découvrir que la garantie ne couvrait pas les équipements tombés en panne avant la souscription – même si certains conseillers n'hésiteraient pas à leur assurer l'inverse à la souscription. De plus, le service facture 49 euros la première opération réalisée sur un produit acheté en dehors des magasins Fnac et Darty !

          De son côté, Boulanger Infinity, qui se présente pourtant comme "la réparation en illimité" sur son site, facture ses interventions à domicile 39 ou 79 euros, en plus du prix de l'abonnement si l'appareil est acheté hors Boulanger après l'adhésion. Un moyen d'inciter les abonnés à acheter exclusivement chez l'enseigne. Sans compter que Boulanger impose un délai de carence de 30 jours après souscription, pendant lequel vous n'avez pas le droit de faire réparer un produit acquis dans une autre enseigne.

          Moralité : il faut toujours bien lire les astérisques ! Sans compter que, d'après une étude sur l'électroménager publiée par l'INC en septembre 2023, à peine 12 % des produits de moins de dix ans ont connu une panne. Et que, selon leur cahier des charges, la plupart des produits actuels sont conçus pour durer cinq ans. Statistiquement, les extensions de garantie, facturées au prix fort, ne sont donc pas intéressantes. La garantie légale est amplement suffisante ! - source -

l'arnaque légale aux conditions d'assurance est bien connue, les exclusions prévues font qu'en réalité vous êtes quasiment pas assuré, alors comme le dit l'article : " la garantie légale est bien suffisante "... Perso, cela fait pas mal de temps que j'ai exclu la Fnac ou Darty de mes achats, quant à Boulanger, mon ex-marque préférée, je n'y vais pratiquement plus car depuis quelques années ils déconnent sérieusement...

 

> la TVA fête ses 70 ans...

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Il y a 70 ans, un Français inventait la TVA, « le Graal fiscal »

          La taxe sur la valeur ajoutée fête ses 70 ans mercredi 10 avril. Inventé en France, cet impôt a, depuis, essaimé dans le monde entier.

          Le consommateur la reconnaît par une ligne discrète, généralement présente en bas du ticket de caisse. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) représente entre 2,1 et 20 % du prix des produits payés par le client. Un taux loin d'être négligeable. Pourtant, cette taxe est (presque) indolore pour le consommateur, puisqu'elle est déjà incluse dans le tarif affiché en rayon.

          Cette invention géniale, « révolutionnaire », ose l'économiste Jean-Marc Daniel, est l'œuvre de Maurice Lauré. Elle a vu le jour il y a 70 ans, le 10 avril 1954. Cet ingénieur polytechnicien travaille alors à l'Inspection des finances. « Il fait le constat qu'en France de plus en plus d'activités économiques donnent lieu à des échanges, l'autoconsommation agricole va disparaître. Il faut donc généraliser l'impôt sur le chiffre d'affaires et sur les salaires, mais le problème est qu'avec ces taxes on paie deux fois : sur le chiffre d'affaires de l'entreprise et sur celui de son fournisseur. Cela pénalise donc les systèmes avec énormément d'intervenants », explique Jean-Marc Daniel, auteur du livre Les Impôts, histoire d'une folie française : 60 ans de matraquage fiscal (éd. Tallandier, 2017).

          Dans la tête de Maurice Lauré naît alors l'idée de taxer non pas le chiffre d'affaires, mais la valeur ajoutée produite par l'entreprise. Il vient de mettre le doigt sur le « Graal fiscal » recherché depuis des siècles par les gouvernements successifs. En effet, depuis Philippe le Bel (1268-1314) et à mesure que les besoins financiers de l'État ont augmenté, les chefs d'État ont toujours rêvé d'un « impôt qui s'ancre dans ce triptyque d'exigences – faible impact sur le contribuable-faible risque de fraude-rendement conséquent pour l'État », retrace l'économiste Denys Brunel dans son ouvrage La TVA, invention française, révolution mondiale (éd. Eyrolles, 2012).

La TVA, l'impôt qui rapporte le plus à l'État

Le rendement est effectivement important :

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> 200 milliards : le coût exorbitant des aides publiques aux entreprises

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          Près de 200 milliards d’euros. C’est le montant des aides publiques versées aux grandes entreprises privées sans aucune contrepartie. Ce montant a été révélé par une étude de l’Institut de recherches économiques et sociales (Ires) et du Clersé (groupe de chercheurs de l’université de Lille). Il s’agit du premier budget de l’État : plus de 30% de son budget total, et deux fois plus que le budget de l’Éducation nationale. Subventions directes, niches fiscales et sociales en tout genre ou encore aides régionales et européennes, ces 200 milliards prennent des formes diverses, mais ont une même finalité : partir en poussière chez des intérêts privés, plutôt qu’au service de la collectivité.

          Le capitalisme français est sous perfusion, selon le titre même de l’étude de l’Ires. Il ne survit qu’avec l’aide d’un État qui lui donne tout sans rien attendre en retour. Une histoire d’amour et de dépendance donc ; au détriment d’une politique économique sensée. Toutes les études, y compris celles des services ministériels eux-mêmes, le montrent : les effets de ces milliards d’aides sont faibles voire inexistants. Pour la dernière étude de l’Ires : « L’efficacité des allègements du coût du travail se trouve sans doute ailleurs : dans le soutien apporté aux marges de l’entreprise ». La puissance publique utilise donc l’argent du contribuable pour augmenter le profit du secteur privé.

          Résultat : pas de création d’emplois, pas de hausse des salaires, pas de relocalisations de l’industrie, mais une augmentation des dividendes des actionnaires. Pourtant, Emmanuel Macron et son gouvernement refuse toujours fermement de s’attaquer à ce premier poste de dépense. Il a même augmenté les niches fiscales de 10 milliards d’euros pour 2024, le même montant qu’il a retiré aux services publics. Une politique qui entraîne la France droit dans le mur.

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> la macronie s'attaque aux habitats précaires des pauvres, haro ! sur la cabanisation

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Agir face à la cabanisation - Guide pratique de la lutte contre la cabanisation

          De nombreux secteurs du département sont aujourd’hui dégradés par la présence illégale de résidences mobiles de loisirs, de caravanes ou de cabanes dans des zones agricoles ou naturelles. Habitat contraint pour certains, terrain de loisirs pour d’autres, le phénomène de cabanisation porte atteinte à plusieurs enjeux de politiques publiques. Parce qu’il est souvent situé dans des secteurs inondables ou soumis à un risque de feu de forêt, il met en danger les personnes qui y vivent. Souvent insalubre, cet habitat porte atteinte à la santé de ses habitants et favorise leur exclusion sociale. Enfin, il est source de pollution de l’environnement et nuit à la qualité des paysages du département.

          Depuis plusieurs années, l’État accompagne les communes dans la lutte contre la cabanisation en participant à la formation des équipes municipales et en déployant des outils dédiés.

          Élaboré en partenariat avec l’Association des Maires de France 66, Enedis, la SAFER et l’association Solidarité Pyrénées, ce guide pratique a pour objectif de rassembler tous les outils mis à la disposition des collectivités pour agir contre ce phénomène. Par son format didactique, il a vocation à apporter une réponse rapide et concrète aux élus et aux équipes municipales lorsqu’ils sont confrontés à une situation de cabanisation. - Thierry BONNIER, Préfet des Pyrénées-Orientales -

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> La justice française ordonne le blocage de dizaines de sites de liens torrents et de streaming

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          Quatre jugements du tribunal judiciaire de Paris rendus début avril visent des dizaines de sites spécialisés dans le piratage de contenus culturels. Les principaux opérateurs ont ordre d’empêcher les internautes d’y accéder

          La liste est pléthorique. À travers quatre décisions de justice, rendues le 4 avril 2024, le tribunal judiciaire de Paris a ordonné aux principaux fournisseurs d’accès à Internet français de prendre les mesures adéquates contre plusieurs sites accusés d’enfreindre le droit d’auteur. Des dizaines d’adresses sont concernées.

          Les jugements, signalés ce mercredi 10 avril par Alexandre Archambault, avocat spécialiste des problématiques numériques, détaillent les noms de domaine pris pour cible. Les opérateurs (Orange, SFR, Free et Bouygues Telecom) sont justement enjoints d’empêcher leur clientèle de les atteindre, en les bloquant.

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> la tarification saisonnière de l'eau potable, nouvelle bataille de l’eau

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" La Garonne est sous perfusion à Toulouse ": la tarification saisonnière, nouvelle bataille de l’eau

          « La Garonne est sous perfusion, pour préserver notre ressource en eau, il faut agir le plus vite possible »… À l’heure de présenter, aujourd’hui, au vote du conseil de la métropole, les nouvelles dispositions sur la gestion de l’eau à Toulouse et notamment la nouvelle tarification saisonnière, qui entrera en vigueur dès l’été prochain, Jean-Luc Moudenc a parlé d’urgence. « Il faut changer le comportement des usagers pour baisser leur consommation et les urbains doivent prendre leur part en montrant l’exemple », souligne le président de la métropole. Pour amorcer ce cercle vertueux, la collectivité a donc décidé de jouer sur les tarifs à partir d’un principe simple.

Plus cher l’été, moins cher l’hiver…

          Faire payer l’eau plus cher l’été, quand elle est plus rare et que la Garonne est à sec et baisser son prix en période hivernale, quand son débit a regonflé. Concrètement, à partir du 1er juin prochain et jusqu’à fin octobre, pendant 5 mois, le tarif de l’eau augmentera de 42 % par rapport au prix actuel pour baisser ensuite de 30 % entre le 1er novembre et le 31 mai. Pour une facture annuelle qui n’augmenterait qu’à la marge à consommation constante pour la plupart des foyers. Selon les calculs des services d’Eau Toulouse Métropole pour une famille de trois personnes, qui dépense 120 m3 par an, la facture actuelle est de 400,50 euros avec la tarification saisonnière, ce sera 401,50 euros, soit 60 centimes d’euros de différence. Une paille. Et cela, si aucun effort de sobriété n’est fait. Pour un foyer avec jardin et piscine, qui consomme 100 m3 l’hiver et 150 m3 l’été, l’addition passera en revanche de 820,90 euros à 904,30 euros. Ainsi, seuls les usagers qui consomment le plus d’eau l’été pour arroser leur jardin, remplir leur piscine ou laver leur voiture payeront leur surconsommation au tarif le plus haut. Ceux qui ont les moyens. « Le but n’est pas d’encaisser plus d’argent, mais de faire prendre conscience aux gens qu’il y a un effort à faire pour économiser la ressource », ne se lasse pas de répéter Robert Médina le président d’Eau Toulouse Métropole.

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