l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


> la mondialisation heureuse...

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Les dividendes versés dans le monde battent encore un record au 1er trimestre

          Le montant des dividendes versés dans le monde au premier trimestre a progressé de 12% sur un an pour atteindre un nouveau record, grâce notamment à des versements exceptionnels importants de la part de groupes automobiles, selon une étude publiée ce mercredi.

          Les versements aux actionnaires se sont élevés à 326,7 milliards de dollars entre janvier et mars, après déjà un record en 2022, portés par les banques, les producteurs de pétrole et les constructeurs automobiles, qui ont compensé la baisse des bénéfices des groupes miniers.

28,8 mililards de dividendes exceptionnels

          Les versements de dividendes exceptionnels ont atteint 28,8 milliards de dollars au premier trimestre, "leur deuxième niveau le plus élevé de tous les temps" (après le premier trimestre 2014)", selon le rapport du gestionnaire d'actifs Janus Henderson. "Ford et Volkswagen ont représenté près d'un tiers des dividendes extraordinaires" des trois premiers mois de l'année et "les dividendes versés par le secteur automobile ont été dix fois plus importants" que l'année dernière, note le communiqué de Janus Henderson.

          "Volkswagen a fait sensation au premier trimestre, versant un dividende extraordinaire de 6,3 milliards de dollars grâce au produit de l'introduction en Bourse de Porsche à la fin de l'année dernière", complète le rapport.

          Pour Ben Lofthouse, le responsable de l'équipe actions mondiale de Janus Henderson, la dynamique de hausse des dividendes "est d'autant plus impressionnante que 2022 a été une année difficile pour l'économie mondiale avec une inflation élevée, des taux d'intérêt en hausse, des conflits et le maintien de certains confinements face à la COVID-19".

En France, une hausse des dividendes portée par le luxe

          En France, ce sont les groupes de luxe Hermès et Kering qui ont contribué à porter la croissance des dividendes, hors exceptionnels, à 11,6 %, avec 2,8 milliards d'euros, sur un total de 3 milliards de dollars versés par les sociétés françaises, loin d'un record, au cours d'un trimestre habituellement calme en termes de dividende. Le champion des dividendes du premier trimestre a été le groupe danois du transport maritime Moller Maersk, qui a distribué 11,7 milliards de dollars, "dont un peu plus de la moitié sous forme de dividende extraordinaire", ce qui reflète un bénéfice net record enregistré en 2022, grâce à la hausse des prix du fret de conteneurs.

          Pour l'année 2023 dans son ensemble, Janus Henderson revoit à la hausse ses prévisions et "prévoit désormais que les dividendes globaux s'élèveront à 1.640 milliards de dollars, ce qui équivaut à une croissance globale de 5,2%". Autre moyen de rémunérer les actionnaires, les rachats d'actions ont aussi atteint un record en 2022. - source -

D'où vient tout cet argent ? Facile, il suffit de voir qui est financièrement en difficulté et n'arrive pas à boucler les fins de mois tout en ayant un emploi,...

 

 

> la tolérance et résistance aux antibiotiques

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( article assez long mais excellent...)

La tolérance aux antibiotiques, un problème

mais aussi une piste pour comprendre et combattre la résistance aux antibiotiques

 

          Avez-vous déjà eu une vilaine infection qui ne semble pas vouloir disparaître ? Ou d’un nez qui coule et qui revient sans cesse ? Il se peut que vous ayez eu affaire à une bactérie qui tolère les antibiotiques, mais qui n’y est pas encore résistante.

          La résistance aux antibiotiques est un problème majeur : elle a contribué à près de 1,27 million de décès dans le monde en 2019. La tolérance aux antibiotiques, quant à elle, est un sujet de recherche plus récent.

          La tolérance aux antibiotiques se produit lorsqu’une bactérie survit longtemps après son exposition à des antibiotiques. Alors que les bactéries résistantes aux antibiotiques prospèrent même en présence d’un antibiotique, les bactéries tolérantes vivent plutôt dans un état de dormance – elles ne se développent pas, ni ne meurent, mais supportent l’antibiotique jusqu’à ce qu’elles puissent se « réveiller », une fois le stress disparu. La tolérance a été liée à la propagation de la résistance aux antibiotiques.

          Je suis une microbiologiste. J’étudie la tolérance aux antibiotiques et je cherche à découvrir ce qui pousse les bactéries tolérantes à entrer dans cet état de dormance.

          En comprenant pourquoi les bactéries ont la capacité de devenir tolérantes, les chercheurs espèrent développer des moyens d’éviter la propagation de cette capacité. Le mécanisme exact qui différencie la tolérance de la résistance n’est pas encore clair, mais une des pistes réside dans la façon dont les bactéries créent leur énergie – un processus négligé pendant des décennies.

Le choléra et la tolérance aux antibiotiques

          De nombreux antibiotiques sont conçus pour percer les défenses extérieures de la bactérie comme un boulet de canon dans une forteresse de pierre. Les bactéries résistantes sont immunisées contre les boulets de canon, parce qu’elles peuvent soit le détruire avant qu’il n’endommage leur mur extérieur, soit modifier leurs propres murs pour pouvoir résister à l’impact.

          De leur côté, les bactéries tolérantes peuvent supprimer entièrement leur mur et éviter tout dommage : pas de mur, pas de cible pour le boulet de canon. Si la menace disparaît rapidement, la bactérie peut reconstruire son mur pour se protéger d’autres dangers environnementaux et reprendre ses fonctions normales. Cependant, on ne sait toujours pas comment les bactéries savent que la menace antibiotique a disparu ni ce qui déclenche exactement leur réveil.

          Avec mes collègues du laboratoire Dörr de l’université Cornell, nous essayons de comprendre les processus d’activation et de réveil de la bactérie tolérante responsable du choléra, Vibrio cholerae.

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> Dijon : des amendes (sur la base de vidéosurveillance) pour des casserolades

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          À Dijon, plusieurs personnes ont reçu des amendes de 68 euros pour «émission de bruit portant atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme». En cas de non paiement dans les 45 jours, le montant passe même à 145€ ! Il s’agit de verbalisations suite à une manifestation qui a eu lieu le 7 mai derniers lors d’un anniversaire de la Cité de la Gastronomie, en présence de députés macronistes. Les explosions de grenades de la police, elles, ne semblent pas porter atteinte à la tranquillité…

          Le syndicat Solidaires explique que ces amendes ont été réalisées sur la base d’images de vidéosurveillance, puisque les personnes qui les reçoivent n’ont pas fait l’objet d’interpellation ni de contrôle au moment de la manifestation. D’ailleurs, d’autres participants à différentes casserolades organisées à Dijon commencent à recevoir des amendes.

            Il s’agit d’une atteinte évidente au droit de manifester. Une sorte de racket pour taxer les contestataires, dans un contexte de grande précarité et après un mouvement social qui a déjà coûté de nombreux jours de salaires aux grévistes. Cette mesure d’intimidation est vicieuse : qui peut prendre le risque de perdre des dizaines d’euros à chaque manif un peu bruyante ?

          Cela suppose que des policiers aient reçu la consigner de visionner attentivement les images de vidéosurveillance en quête de frappeurs de casseroles à verbaliser. Et qu’ils disposent déjà d’un fichier de personnes militantes, afin de pouvoir les reconnaître sur les bandes. Une pratique probablement illégale, car une contravention implique un contrôle direct par un agent assermenté, excepté pour les infractions routières.

          Pourtant, ce n’est pas une première. Dans la petite ville d’Epinay-sous-Sénart, en banlieue parisienne, le maire d’extrême droite avait dépensé plus de 500.000€ pour déployer des caméras de vidéosurveillance. Durant le printemps 2020, lors du confinement, l’élu a voulu «rentabiliser» la dépense de façon malhonnête : des centaines d’amendes ont été envoyées à des habitants sur la seule base de la vidéosurveillance. Plusieurs jeunes ont reçu des amendes pour «non respect du confinement» directement chez eux, sans jamais avoir été contrôlés. Ils évoquaient «des PV à une minute d’intervalle pour deux personnes différentes à deux endroits distants de plus d’un kilomètre. Des PV malgré une attestation de sortie à cette heure-là.» Ils ne voyaient qu’une explication : «la police municipale nous reconnaît sur les caméras de la ville et nous envoie les amendes sans même nous contrôler. Qu’on sorte pour aller à la boulangerie ou quoi que ce soit on est verbalisés. Pourtant on n’a croisé aucune patrouille de la police municipale.» La somme totale de ces amendes atteignait 50.000€. La défenseure des droit a été saisie pour ces pratiques scandaleuses.

          Après Dijon et Épinay-sous-Sénart, bientôt des amendes par drone sur la base de la reconnaissance faciale ? - source -

Cela parait évident, les mairies vont vouloir "rentabiliser" leurs systèmes de reconnaissance faciale et, quoi de mieux que des amendes qui tombent du ciel pour tout et n'importe quoi ?

 

> destruction des services publics : travail de sape, mode d'emploi

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          D’après une enquête IFOP, par rapport à il y a 5 ou 10 ans, 81% des Français·es estiment que la qualité et l’efficacité des Services publics s’est dégradée à l’Hôpital, 74% dans l’Éducation, 68% dans la Sécurité, 67% dans la Justice et 57% dans les Transports.

          Comment s’en étonner après des décennies de travail de sape acharné des libéraux pour détruire ces biens communs…

          Prochaine étape, nous dire que mettre autant d’argent public dans un système qui ne fonctionne pas n’est pas viable et en profiter pour fermer encore plus de Services publics, les céder au privé, avec l’assentiment de la population ?

          Ne les laissons pas faire ! Organisons-nous, misons sur l’éducation populaire pour reprendre la main sur nos vies et nos communs, imposons une co-gestion de nos Services Publics pour sortir de la politique du chiffre et redonner du sens aux métiers au service du public ! - source -

 

"ils" ont trouvé mieux : sous-payer les salariés qui se sauvent = pénurie de personnels = faire bosser les fainéants assistés pour rembourser leur RSA pour les plus grands profits des patrons...

 

 

🎨 Marc Simonetti, vous connaissez ?

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          Marc Simonetti (né en 1977 en France) est un directeur artistique, un artiste conceptuel, un illustrateur et un artiste plasticien établi à Annecy.

          Après une formation d'ingénieur à l'INSA de Lyon, Marc décide de poursuivre une carrière artistique et étudie aux Beaux-Arts d'Annecy puis à l'école Emile Cohl. Il s'est rapidement imposé en tant qu'artiste conceptuel et a fait ses armes dans des productions de premier plan telles que le space opera en 3D Valérian et la Cité des mille planètes, pour lequel il a travaillé en étroite collaboration avec le célèbre réalisateur français Luc Besson. Il a également collaboré avec des sociétés d'effets visuels de premier plan, notamment MPC, basée à Los Angeles, et Wētā digital. Son travail le plus récent en tant qu'artiste conceptuel, pour le développement visuel et la mise en scène d'éclairages et de designs spectaculaires, inclut Aladdin, Maleficent 2, Aquaman 2 et le prochain film Transformers Rise of the Beasts, parmi beaucoup d'autres. Il travaille actuellement comme directeur artistique chez DNEG, l'un des plus grands studios d'animation et d'effets visuels au monde.

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> goûte, c'est du nano

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          LA COMMISSION européenne vient de se prendre un coup de louche par notre Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Dans un rapport publié le 17 mai, l'Anses dit tout le mal qu'elle pense de la nouvelle définition des nanoparticules pondue par Bruxelles.

          Chaque année en France, 400 000 tonnes de ces matériaux lilliputiens et aux propriétés magiques sont utilisées pour fabriquer aes médicaments, des peintures, des cosmétiques, mais aussi comme additifs dans notre assiette. Si les nanos sont précieuses pour l'industrie pharmaceutique, qui s'en sert pour agir directement sur les cellules, l'agroalimentaire les emploie à la pelle afin d'épaissir le ketchup, de blanchir la sauce vinaigrette, d'éradiquer les grumeaux des préparations pour dessert ou encore de faire briller les bonbons, sans trop connaître leurs effets sur la santé. Or, ce qui inquiète les toubibs, c'est que ces nanoparticules, 10 000 fois plus petites qu'un cheveu, s'immiscent partout dans notre organisme, jusqu'au cerveau, et que certaines d'entre elles sont suspectées d'être cancérigènes. C'est notamment le cas du dioxyde de titane, dont la France interdit l'usage comme nano-aliment depuis 2020.

          Petit retour en arrière. En 2011, l'Europe, après un an de négociations à couteaux tirés avec les industriels, adopte une définition officielle du nano-aliment. Sauf que l'industrie obtient une formulation a minima : est considéré comme un nanomatériau tout produit dont au moins 50 % des particules oscillent entre 1 et 100 nanomètres, ce qui laisse de côté une palanquée de nano-ingrédients...

          En 2013, la Commission européenne annonce qu'elle va remettre le couvert sur la définition au vu des nouveaux éléments scientifiques inquiétants. Chose faite, mais... dix ans plus tard. Et, surprise, publié l'éte dernier, le texte, qui devait resserrer les boulons, est encore plus permissif. Raison pour laquelle l'Anses a sorti la sulfateuse. Dans son avis, elle réclame « une définition plus large », afin de « ne pas passer à côté des nanomatériaux qui s'avéreraient préoccupants pour la santé ». Exemple de reculade : les nanomatériaux sous forme liquide ne sont plus pris en compte. Les experts de l'Agence accusent aussi entre les lignes Bruxelles d'avoir rédigé son texte dans un dangereux charabia qui ajoute
à la confusion parce que propice à plusieurs interprétations.

Nano, que nenni !

 

Cela confirme, s'il le fallait encore, que cette union européenne de merde en à pas grand chose à cirer de la santé des populations, seuls les profits comptent ! Attention aux dégâts dans 25 ans...

 

🏛️jeu de SENET de la tombe d'Amenhotep III ( Egypte, -1390 à -1353 )

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          Le senet (ou zénet, ou senat) est le jeu le plus connu de l'Égypte antique. C’est le jeu de table le plus pratiqué par les anciens Égyptiens du Nouvel Empire et des époques qui suivirent, mais il existe depuis l'époque prédynastique.

          Le senet est attesté sur des hiéroglyphes de -3100. Par contre la découverte en 1909 dans une tombe d'El Mahasna datant du début du quatrième millénaire avant notre ère d'un plateau quadrillé de cases et accompagné d'objets coniques interprétés comme des pions et supposés appartenir au senet, est aujourd'hui remise en cause par les archéologues qui y voient plutôt un plateau d'offrande.

          Le plus ancien exemplaire connu est conservé au Musée royal d'Art et d'Histoire à Bruxelles. L'Égypte, pour sa part, possède près de quarante exemplaires qui remontent au Nouvel Empire. On trouve de plus de nombreuses représentations gravées ou peintes sur les parois des tombes : images de personnages en train de jouer, assis devant leur table de jeu, ou se préparant à lancer l’astragale qui fait fonction de dé. Ces scènes sont à l’occasion accompagnées de textes hiéroglyphiques décrivant souvent en détail la partie en cours.

          Ce jeu, prisé des nobles et souvent pratiqué en couple, se jouait avec un plateau de trente cases (dix en longueur sur trois en largeur) et des pions noirs ou blancs (sept à l'Ancien Empire, puis cinq au Nouvel Empire) aux formes très diverses et que les joueurs piochaient dans une petite boîte en bois très finement décorée. Les pions, autrefois coniques, pouvaient ressembler à nos pions du jeu d'échecs, à des têtes d'animaux ou encore à des figurines de Nubiens ou d'Asiatiques ligotés. Le principe du senet est à cheval entre les dames et le jeu de l'oie (on le compare parfois aussi avec le jeu du trictrac). On sait en tout cas que les parties de ce jeu duraient longtemps. Le senet est notamment bien connu pour avoir été souvent représenté dans la peinture murale des tombeaux, où l'on peut voir un pharaon, une reine ou un noble, jouer une partie de senet avec un dieu pour symboliser le fait qu'il doive jouer son destin dans l'au-delà (c'est-à-dire son droit à accéder au royaume d'Osiris). - source -