l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> goûte, c'est du nano

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
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          LA COMMISSION européenne vient de se prendre un coup de louche par notre Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Dans un rapport publié le 17 mai, l'Anses dit tout le mal qu'elle pense de la nouvelle définition des nanoparticules pondue par Bruxelles.

          Chaque année en France, 400 000 tonnes de ces matériaux lilliputiens et aux propriétés magiques sont utilisées pour fabriquer aes médicaments, des peintures, des cosmétiques, mais aussi comme additifs dans notre assiette. Si les nanos sont précieuses pour l'industrie pharmaceutique, qui s'en sert pour agir directement sur les cellules, l'agroalimentaire les emploie à la pelle afin d'épaissir le ketchup, de blanchir la sauce vinaigrette, d'éradiquer les grumeaux des préparations pour dessert ou encore de faire briller les bonbons, sans trop connaître leurs effets sur la santé. Or, ce qui inquiète les toubibs, c'est que ces nanoparticules, 10 000 fois plus petites qu'un cheveu, s'immiscent partout dans notre organisme, jusqu'au cerveau, et que certaines d'entre elles sont suspectées d'être cancérigènes. C'est notamment le cas du dioxyde de titane, dont la France interdit l'usage comme nano-aliment depuis 2020.

          Petit retour en arrière. En 2011, l'Europe, après un an de négociations à couteaux tirés avec les industriels, adopte une définition officielle du nano-aliment. Sauf que l'industrie obtient une formulation a minima : est considéré comme un nanomatériau tout produit dont au moins 50 % des particules oscillent entre 1 et 100 nanomètres, ce qui laisse de côté une palanquée de nano-ingrédients...

          En 2013, la Commission européenne annonce qu'elle va remettre le couvert sur la définition au vu des nouveaux éléments scientifiques inquiétants. Chose faite, mais... dix ans plus tard. Et, surprise, publié l'éte dernier, le texte, qui devait resserrer les boulons, est encore plus permissif. Raison pour laquelle l'Anses a sorti la sulfateuse. Dans son avis, elle réclame « une définition plus large », afin de « ne pas passer à côté des nanomatériaux qui s'avéreraient préoccupants pour la santé ». Exemple de reculade : les nanomatériaux sous forme liquide ne sont plus pris en compte. Les experts de l'Agence accusent aussi entre les lignes Bruxelles d'avoir rédigé son texte dans un dangereux charabia qui ajoute
à la confusion parce que propice à plusieurs interprétations.

Nano, que nenni !

 

Cela confirme, s'il le fallait encore, que cette union européenne de merde en à pas grand chose à cirer de la santé des populations, seuls les profits comptent ! Attention aux dégâts dans 25 ans...