l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Plus on accepte de liberté dans les affaires, plus il faut bâtir de prisons pour ceux qu'elles défavorisent - Eduardo Galeano

> je ne vois plus beaucoup de papillons,...

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Papillons : révélateurs de l’état

          Ils sont connus de tous et font généralement la joie des enfants dans les champs. Pourtant, ils sont gravement menacés. Leur disparition serait, comme celle des abeilles, une catastrophe pour toute la chaîne alimentaire. Les papillons sont bien étudiés, notamment au Royaume-Uni, et présentent des réponses rapides aux changements environnementaux ; c’est pourquoi ils constituent une sentinelle pour la conservation des insectes.

          Les papillons forment l'un des principaux groupes d'insectes, avec environ 160 000 espèces connues dans le monde, dont 20000 de jour. Ces pollinisateurs, qui se distinguent par leurs ailes colorées recouvertes d'écailles, sont indispensables à la biodiversité et représentent un remarquable indicateur de l’état de l’environnement. Ils étaient déjà sur Terre il y a 200 millions d’années.

          Au Royaume-Uni, où ils sont mieux suivis qu’ailleurs grâce à une tradition des sciences participatives, près des deux tiers des espèces de papillons ont décliné depuis le milieu de la décennie 1970 : selon l’ONG Butterfly Conservation, pour l’ensemble des espèces étudiées, leur aire de répartition s’est réduite de 42% et leur abondance de 6% entre 1976 et 2019. Une moyenne qui cache plusieurs tendances contrastées.

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> carte des sites d'observation des oiseaux en France

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          Sites d'observation des oiseaux en France : la France est une terre d'accueil, de repos et de nidification pour plus de 400 espèces d'oiseaux.

          Découvrez sur cette carte, les sites d'observation des oiseaux remarquables en France répertoriés par Jean-Yves Barnagaud, Nidal Issa et Sébastien Dalloyau dans leur ouvrage : "Observer les oiseaux en France" chez biotope Editions. La description de chaque site et les oiseaux qui peuvent y être observés est disponible dans l'ouvrage cité.

 

>>> c'est par iCi

on connait l'endroit exact des sites indiqués sur la carte qu'en agrandissant fortement celle-ci car aucune autre indication est mentionnée, seul un n° qualifie un site, le reste doit certainement être précisé dans l'ouvrage précité en fonction de ce n°...

 

> les chasseurs sachant dépenser ( le fric )

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          Le 2 décembre 2020, Morgan Keane coupe du bois chez lui, dans sa propriété de Calvignac (Lot). Il ne se promène pas, il travaille. La balle d’un chasseur, qui l’a confondu avec un sanglier, le tue. Morgan avait 25 ans. Une pétition recueille près de 150000 signatures, et finit par entraîner une enquête de la Cour des comptes, dont le titre ne livre nullement la richesse : « Les soutiens publics aux fédérations de chasseurs ».

          Résumons ce qui peut l’être. La Fédération nationale des chasseurs (FNC) reçoit du fric comme s’il en pleuvait, car elle a des obligations de service public. Notamment de gestion de la chasse, dont la réparation des dégâts par la faune sauvage.

          Bien que ce soit labyrinthique en diable, les chasseurs semblent bien recevoir, chaque année, quelque chose comme 34 millions d’euros. Par plusieurs canaux, dont les collectivités locales. Ainsi, la Région Auvergne-Rhône-Alpes du grand Laurent Wauquiez a-t-elle versé 6 millions d’euros d’argent public aux chasseurs entre 2018 et 2021.

          Il y a juste un menu problème, et c’est que nos amis empochent, mais ne veulent pas être contrôlés. Citation diplomatique autant que limpide : « L'État ne s'est pas doté des moyens de contrôler le bon exercice des missions de service public confiées aux fédérations de chasseurs et les fédérations ne respectent pas leurs obligations de rendre compte, définies par la loi. »

          La Cour demande que les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB) aient au moins accès « aux données établies par les fédérations dans le cadre de leur mission de service public ». Et précise pour malentendants qu’il faut « prévoir par voie réglementaire la publication par chaque fédération d'un rapport annuel sur la réalisation de ses missions de service public ». En clair, l'État doit s'imposer. Pour l'heure, tout se fait à la bonne franquette, comme sait faire Willy Schraen, le si sympathique président de la FNC.

          Et à part cela? La fête continue. La Cour estime que « L'application du principe de "prélèvement raisonnable” [...] aux activités cynégétiques nécessite de disposer de données et de connaissances suffisantes sur la faune sauvage, en particulier sur les prélèvements et la taille des populations des espèces chassables ». En effet. Si le club des viandards entend tirer sur des oiseaux menacés, il vaut mieux disposer des informations fiables sur le sujet. Mais c’est trop bête, il n’en a pas.

          Les enquêtes auxquelles la FNC a daigné collaborer remontent à la saison de chasse 2013-2014. Et, dit la Cour, « ces estimations sont lacunaires, notamment pour 30 espèces, parmi lesquelles plusieurs espèces en mauvais état de conservation ». Pour la bécasse des bois, les bouts de renseignements donnés par les chasseurs sont « très insuffisants pour répondre aux objectifs réglementaires». Autrement exprimé, on flingue sans savoir. C’est mieux.

          Pour les espèces soumises à plan de chasse - sangliers, cerfs, daims, mouflons, chamois, isards et chevreuils -, les chasseurs sachant chasser ne donnent pas les données brutes de leurs observations. Seulement les analyses qu’ils en ont faites. Très pratique. Quant aux espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (Esod), parmi lesquelles peuvent figurer - la liste est départementale - le lapin de garenne, le pigeon ramier, le renard, le sanglier, « les données ne sont que rarement discutées en Commission départementale de la chasse et de la faune sauvage ».

          On n’en finirait pas, et cet article va s’arrêter dans quelques lignes. Encore une, pour la route : la cécité volontaire des chasseurs pourrait nous coûter fort cher à l’avenir, à cause, note aussi la Cour, du « manque de données et de garanties de fiabilité ». L’Europe pourrait en effet lourdement sanctionner la France pour des infractions concernant les chasses traditionnelles, la chasse à l’oie cendrée et à la tourterelle des bois. Mais les chasseurs s’en foutent, puisque l’État complice paiera pour eux. Voir cette vidéo déjà signalée, où l’on voit Macron embrasser le lobbyiste. - Fabrice Nicolino - ( extrait de Charlie Hebdo n° 1618 du 26 juillet 2023 )

" j'achète vos voix ! "

"ils" sont très forts avec les deniers publics, m'enfin, ce qui importe, c'est réprimer le plus possible les gueux et l'aumône qu'"on" ne peut pas faire autrement de leur donner pour éviter la révolution,... Quand aux chasseurs, ils sont aussi entrés dans les forces de sécurité possibles pour la macronie.

 

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> l'eau : droit, besoin ou marchandise ?

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          Considérer l’accès à l’eau comme un droit humain et social de base « aurait entraîné des obligations trop contraignantes pour la “liberté” des acteurs, notamment privés », expliquait en 2000 l’économiste et politiste Riccardo Petrella. C’est pourquoi, dans son « plan eau » présenté à Savines-le-Lac, le 30 mars dernier, cinq jours après le rassemblement de Sainte-Soline, le président Emmanuel Macron se garde bien d’évoquer un droit, mais se contente de parler d’un besoin dont nous nous serions habitués « à ne plus vraiment payer le vrai prix ».

          Cette conception a été rendue possible par la marchandisation croissante de l’eau et la privatisation des services publics. (...) - source -

article [ Dossier eau ] du Monde Diplomatique de juin 2023, malheureusement non public... A quand la privation de l'air ?

 

> retour du couple de huppes fasciées dans mon jardin

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          La Huppe fasciée (Upupa epops) est une espèce d'oiseaux, l'une des trois représentantes de la famille des Upupidae et du genre Upupa. Les deux autres espèces, la Huppe africaine Upupa africana et la Huppe de Madagascar Upupa marginata, ont longtemps été considérées comme des sous-espèces de la Huppe fasciée. Ces espèces sont parfois placées par certains auteurs dans leur propre ordre, les Upupiformes.

          C'est un oiseau peu farouche mais qui se tient à bonne distance de l'observateur humain, un animal diurne aux cris forts et rauques, le plus souvent solitaire. Son vol saccadé et bondissant lui est caractéristique. Elle fréquente les jardins, les bois, les vergers et les vignes ainsi que les zones ouvertes de terre nue ou d'herbe rase où elle peut aisément se nourrir.

          Les huppes européennes migrent en général jusqu'en Afrique tropicale pour passer la mauvaise saison de l'hémisphère nord. L'hivernage est rare et accidentel en France, les rares cas signalés concernent probablement des oiseaux blessés ou affaiblis. En France, son arrivée est précoce, enregistrée dès la fin février dans le Sud, en mars ou avril dans les régions plus septentrionales. Elle quitte ces latitudes dès qu'elle a terminé sa nidification, au mois d'août et plus rarement en septembre. ( source : wikipedia )