l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Notre liberté dépend de la liberté de la presse, et elle ne saurait être limitée sans être perdue - Thomas Jefferson
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> les radars urbains, prochaines recettes convoitées des communes

Classé dans : presse

Où y en a-t-il le plus?

          Les villes, nouvel “Eldoradar” ? C’est ce que laisse craindre la possibilité désormais offerte aux municipalités d’installer leurs propres cabines. En attendant de savoir si les maires vont transformer leurs rues en vaste photomaton à ciel ouvert, voyez dans quelles villes le risque de se faire tirer le portrait est, déjà, le plus grand.

          Près de 750 millions d'euros de recettes pour les radars automatiques en 2023. Et, probablement, plus d'un milliard en ajoutant les amendes forfaitaires majorées, dont le montant ne peut qu'être estimé. Un bilan comptable flatteur pour les bandits manchots du bitume, qui ne livre malheureusement pas tous ses secrets. Quelle part du magot provient, par exemple, des flashs émis en ville, là où le moindre excès de vitesse - désormais exonéré de perte de point - coûte deux fois plus cher qu'ailleurs ? Sur le sujet, on sait juste qu'en 2022 il y a eu 3,2 millions de flashs sur des axes limités à 50 km/h (et un peu plus de 350 000 pour des feux rouges grillés). Quid du nombre de cabines installées en zone urbaine ? Pas plus d'infos ! Pourtant, à l'heure où la perspective de voir les maires installer leurs radars se précise, un décompte s'imposait.

Villes de lumières

          Pour le réaliser, nous avons recensé l'ensemble des radars de vitesse, de feu rouge et autonomes présents dans toutes les villes et communes de France... Puis nous avons comparé celles-ci entre elles en rapportant leur parc de "serial flasheurs" à la population locale. Un travail de fourmi qui nous a permis de dresser le panorama ci-contre.

          Cet état des lieux précis annonce la prochaine étape : l'arrivée en masse - et probablement en ordre dispersé - des radars urbains. Désormais, les collectivités locales ont en effet les coudées franches pour mettre en place leurs propres cabines... Sachant que les demandes d'implantation que les maires peuvent d'ores et déjà formuler doivent être motivées par des études d'accidentologie (et d'impact) et sont soumises à l'autorisation de la préfecture. Y a plus qu'à ? Pas tout à fait. Il reste encore trois obstacles à surmonter avant de pouvoir lancer les hostilités sur le terrain. Le plus simple: établir la liste des radars fixes que les villes pourront s'offrir (il n'y en a que deux en lice, pour l'heure). Les plus complexes : définir le processus de gestion et de recouvrement des amendes, et préciser le "circuit financier'' des recettes collectées par ces radars (qui doivent revenir aux collectivités). Résultat, selon la Cour des comptes, les premières amendes issues des radars automatiques "locaux" ne devraient pas intervenir avant 2025... ( extrait d'Auto-Plus n° 1862 du 10 mai 2024 )

 

Deux grands avantages par cette méthode :
1°) les radars communaux vont être déployés dans toutes les villes et villages pour les plus grands appétits des communes avides, l’État réduira évidemment d'autant ses contributions, puis les maires pourront définir eux-mêmes le prix de ces infractions, qui deviendront bien évidemment redevances fiscales ou forfaits de post-vitesses. Le fond de commerce les rues vont être toutes limitées à 30 voir 20 kms/h car les radars communaux vont fleurir comme les milliers de caméras de surveillance et de verbalisation !...
2°) les gens, écœurés, vont être de moins en moins enclin à utiliser une voiture, ce qui permettra aux assureurs d'atteindre leur objectif de zéro mort sur les routes européenne en 2050... Ils quitteront aussi volontairement les zones rurales pour s'installer dans les agglomérations urbaines favorisées mais ultra-contrôlées par ceux qui nous gouvernent.

 

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> notre imaginaire collectif et la liberté

Classé dans : autres

          (...) Nos sociétés sont associées dans notre imaginaire collectif à la liberté. Mais personne ne nous a donné une définition de la liberté au sein d’une communauté. On pense que l’on est en démocratie et donc que l’on est libre parce qu’il existe des « espaces » de liberté que seraient la presse, les élections, l’assemblée parlementaire ... En fait, ces espaces de « liberté » n’existent que parce qu’ils sont dûment contrôlés par le système. Ces pseudos espaces de liberté n’existent qu’en tant que leurre, un des plus efficaces est celui de la liberté de consommation. Mais, dans notre société de consommation, le libre choix n’existe pas, les diverses possibilités de choix sont fixées et limitées par ce que le marché nous propose et par les profits qu’il peut en tirer. " (...) - source : réflexion d’un citoyen Lambda, miscellanées politiques n°1 -

" Il n'y a ni justice ni liberté possibles lorsque l'argent est toujours roi " - Albert Camus


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> comment faire un potager quand tous les sols sont pollués ?

Classé dans : santé

          Plus rien n’échappe à la pollution, même les sols de nos potagers. Partant de ce constat, l’autrice Bertille Darragon propose de nous adapter... Et d’en faire un combat politique.

            Quoi de plus sain qu’un légume sorti de son propre potager ? Et pourtant, ces petits bouts de terre que l’on a rendu nourricière sont soumis à de multiples pollutions. On ne peut les éviter, il faut désormais vivre avec, nous dit Bertille Darragon dans son ouvrage Jardiner dans les ruines, quels potagers dans un monde toxique ? (ed. Écosociété).

          Elle nous explique ainsi comment faire avec toutes ces pollutions — aériennes, chimiques, plastiques, radioactives, aux métaux lourds... Mais nous incite aussi à nous indigner contre cet état de fait. Une somme de conseils pratique et de réflexions jardinières, issues de recherches approfondies et de dix ans passés à cultiver des terrains délaissés et à se former auprès de maraîchers.

Reporterre — Qu’est ce qui vous a amené à vous intéresser au jardinage, comme vous écrivez, « en contexte pollué » ? A priori, on se dit qu’il faudrait plutôt éviter de cultiver des terrains pollués !

Bertille Darragon — Je pense que l’on ne peut pas. Nous vivons dans un monde pollué. Prenons-en acte et faisons au mieux avec ça et contre ça. Ce n’est pas parce que le potager dont on dispose est pollué, qu’en arrêtant de manger ses légumes on aurait accès à des légumes moins pollués.

          Donc mon objectif n’est pas du tout de dire aux gens d’arrêter de jardiner, mais plutôt de les inciter à faire attention à cela, et d’éviter les plus grosses pollutions. La lecture de mon livre peut sembler assez désespérante, mais c’est l’état du monde, pas spécifiquement de nos jardins.

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> les hospitalisations pour tentative de suicide et automutilation en forte hausse chez les adolescentes et les jeunes femmes

Classé dans : santé

          L'étude vient confirmer les observations de terrain des personnels soignants qui alertaient ces dernières années sur une dégradation de leur santé mentale.

          Les hospitalisations pour tentatives de suicide et automutilations sont en forte hausse ces 15 dernières années chez les adolescentes et jeunes femmes, selon une étude menée par le ministère de la Santé et Santé publique France et publiée jeudi 16 mai. Cette hausse est très marquée depuis la fin de l'épidémie de Covid.

           L'étude, qui s'appuie sur les données du système national de santé, vient confirmer les observations de terrain des personnels soignants qui alertaient ces dernières années sur une dégradation de la santé mentale des adolescents et particulièrement des adolescentes. Concrètement, les hospitalisations dans les services de médecine et chirurgie pour des tentatives de suicides (en majorité la prise d'un cocktail de médicaments) ou pour des automutilations (comme des scarifications et brûlures) sont particulièrement en hausse chez les jeunes filles âgées de 10 à 14 ans.

          En effet, en 2021-2022, ces hospitalisations ont augmenté de 71% par rapport à la moyenne de la période 2010-2019, d'après l'étude. Cette hausse des hospitalisations est de 44% pour les 15-19 ans et de 21% chez les 20-24 ans. Les chiffres sont encore plus alarmants concernant les hospitalisations en psychiatrie puisque l'augmentation sur les mêmes périodes est de 246% chez les filles de 10-14 ans. Chez les 15-19 ans, les hospitalisations en psychiatrie augmentent de 163%. Chez les 20-24 ans, c'est 106%.

Tous les milieux sociaux concernés

          Ces fortes augmentations concernent les jeunes filles et jeunes femmes partout en France, en ville comme à la campagne, selon l'étude, et dans les milieux favorisés comme dans les familles pauvres. Au total toutefois, les habitants des communes défavorisées et les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire restent "surreprésentés parmi les patients hospitalisés pour geste auto-infligé". Certains territoires sont par ailleurs davantage concernés, notamment plusieurs départements "dans les Hauts-de-France, la Bretagne et la Bourgogne Franche-Comté", qui ont des taux "bien supérieurs à la moyenne nationale".

           Inversement, la bonne nouvelle, c'est que les hospitalisations pour tentative de suicide et automutilation ces 15 dernières années reculent chez les trentenaires, quadragénaires et quinquagénaires. Chez les garçons et jeunes hommes de 10 à 24 ans, on observe une "stabilité sur 16 ans des taux à des niveaux bien en deçà de ceux des jeunes filles". "Près de 85 000 personnes ont été hospitalisées au moins une fois en lien avec un geste auto-infligé en 2022, 64% d’entre elles sont des femmes. La moitié de ces personnes ont été hospitalisées en psychiatrie", précise l'étude. 12:21 16/05/2024 - source -

Sujet difficile et délicat mais il ne faut pas - comme le font les gouvernements parfaitement informés - se cacher les yeux car il n'y a pas que les femmes, c'est la population entière qui est concernée ! Pas de chiffres ou des chiffres trafiqués sur le nombre de suicides en France ( et dans le reste de cette union européenne de merde ). Avec, de jour en jour, l'augmentation du massacre des aides sociales, chômage, etc... instaurée par une macronie sans aucun "état d'âme", sans oublier le manque flagrant de médecins, ce chiffre doit augmenter d'années en années, mais chut !

Il apparait par ailleurs, dans notre société hyper autoritaire, gérée par la classe sociale la plus favorisée, que le suicide est la dernière forme de la liberté des individus.

 

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> élagueur sans fil compact 18V

Classé dans : ingénieux

          Je n'en avais jamais parlé et je n'ai pas l'habitude de faire de la pub mais en ces temps de printemps, j'utilise depuis 2 ans un élagueur sans fil pour couper les branches des arbres ou tout simplement du bois. Je l'avais acheté environ 189 €, car il utilise les mêmes batteries que mes autres outils à batterie. C'est tout simplement un outil génial !

           Aujourd'hui il semblerait que le modèle s'appelle Bosch Élagueur sans fil compact EasyChain 18V-15-7. Selon Bosch " Il est conçu pour couper rapidement les branches épaisses. Muni d’un système d’assemblage SDS sans outil, il élague à la vitesse  impressionnante de 6,95 m/s. La chaîne Oregon permet de couper des branches de 13 cm de diamètre. Sa conception compacte et légère et ses poignées souples vous permettent de travailler sans effort.  Vous pouvez effectuer jusqu’à 150 coupes par charge* (*avec la batterie 2,5 Ah) et bénéficier de la technologie Bosch Syneon pour une puissance et une autonomie optimales. Incluse dans le système 18V POWER FOR ALL, la batterie fonctionne sur tous les outils 18V. ".

Il faut un " coup de main " bien précis pour l'utiliser correctement, en coinçant la petite plaque métallique sur le côté de la lame et l'appuyer sur le bois pour le couper facilement...