l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



La tombola, c'est l'opium des pauvres - Balzac

🔨 BLOB du jour

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          " Le franc n’est plus en circulation depuis plus d’une vingtaine d’années. Le PIB/monde de la France représentait 4,5% en 1999, aujourd’hui il se situe à 2,76%. Le PIB dans le monde des pays de la zone euro : 21% en 1999 ; 13,5% en 2022. . " ( Géostratégie magazine n° 5 du 2° trimestre 2024 )

> colère agricole : les États membres accordent plusieurs milliards d’euros d’aide au secteur agroalimentaire

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          Les États membres de l’Union européenne ont dépensé plusieurs milliards d’euros pour soutenir l’industrie agroalimentaire au cours des deux dernières années, suite à un assouplissement temporaire des règles sur les aides d’État pour soutenir les entreprises face à l’impact de la guerre en Ukraine.

          Euractiv s’est penché sur les données disponibles concernant les subventions ciblant directement le secteur agroalimentaire accordées dans l’UE. Cette analyse a révélé d’importantes disparités entre les États membres.

          La Pologne arrive en tête avec près de 4 milliards d’euros de subventions publiques pour l’agroalimentaire, en particulier le secteur céréalier. Elle est suivie par l’Italie (2,3 milliards d’euros), la France (1 milliard d’euros) et la Roumanie (770 millions d’euros).

          Ci-dessous, vous trouverez une visualisation des aides publiques accordées au secteur agroalimentaire dans chaque État membre.

► pour lire la suite...

> travail à mort

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Extraits de l'émission InfraRouge d'antenne 2, réalisé par Joseph Gordillot et diffusé le 02/04/2024 à 22h48 

... " Ouvriers, agriculteurs, routiers, marins-pêcheurs ou livreurs à vélo : en France, deux personnes meurent chaque jour au travail. Leur disparition fait parfois l'objet de quelques lignes dans la rubrique faits divers de la presse locale. D'autres restent handicapés à vie, promis à la mort sociale. Ces "gueules cassées" du capitalisme et de la course au profit sont 35 000 chaque année. Pourquoi ces "faits divers" ne deviennent-ils pas "faits de société" ? "

2 morts par jour, la France enregistre le taux d'accident du travail le plus élevé d'Europe depuis 2010 !!! - source -

> Marie Drucker reçoit maître Emilie Conte-Jansen, avocate en droit du travail, et Anthony Smith, responsable syndical CGT à l'inspection du travail. : le débat

Cette excellente émission aurait du être programmée à 21h. ! Les patrons, sans aucun état d'âme et grâce aux lois de l'union européenne de merde, ramènent la classe ouvrière, petit à petit, aux conditions de travail de l'ère de la révolution industrielle !!!

Sans oublier qu'un patron cherchera toujours - et par tous les moyens - à démontrer qu'il n'y est pour rien, c'est le salarié qui est entièrement fautif, en particulier par sa faute ou le non respect des règles de travail édictées par ledit patron ou autres... J'ai connu ainsi des patrons qui n'avaient pas peur de pondre une note de service par jour rendant le travail quasi impossible mais essayant de se dégager ainsi de toutes responsabilités...

 

> le beau modèle allemand...

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Lutte contre la pauvreté : le Conseil de l’Europe appelle l’Allemagne à plus d’efforts

           La commissaire du Conseil de l’Europe aux droits de l’homme a exhorté mardi (19 mars) l’Allemagne à des « efforts supplémentaires » face aux « inégalités croissantes » dans ce pays où la « richesse » contraste avec les niveaux « élevés » de pauvreté et d’exclusion sociale.

          Dans un rapport, Dunja Mijatovic salue « les mesures prises par le gouvernement fédéral », notamment « pour réformer le système de protection sociale, le rendre plus accessible, accroître les prestations de sécurité sociale et offrir davantage de possibilités de formation aux chômeurs ». Mais, selon elle, « des efforts supplémentaires » sont « nécessaires pour lutter contre les inégalités croissantes » dans un pays où « les niveaux élevés de pauvreté et d’exclusion sociale (…) sont disproportionnés par rapport à la richesse ».

          « Les prestations de retraite de base » doivent garantir « le droit à l’alimentation, à une énergie abordable et à un niveau de vie adéquat », a rappelé Mme Mijatovic, appelant à « briser le cycle de la pauvreté croissante des enfants ». Elle a appelé Berlin à « éliminer les obstacles existants à l’accès aux droits sociaux » et à réduire « les impacts négatifs à long terme de la pauvreté sur la santé, l’éducation et les perspectives d’emploi ».

          Des mesures « urgentes sont nécessaires pour remédier au déficit aigu de logements abordables, en particulier dans les centres urbains, par tous les moyens disponibles », y compris en intervenant sur le marché du logement, préconise encore le document.

          « Des mesures globales et sur le long terme, comme des modifications pertinentes de la loi sur le bail, sont nécessaires pour prévenir et éradiquer le sans-abrisme », souligne Mme Mijatovic, qui juge « limités » les progrès sur les droits des personnes en situation de handicap.

          Une « attention particulière » doit en outre être accordée à la montée de la xénophobie, capable potentiellement « de saper la cohésion sociale et déstabiliser les institutions démocratiques », souligne-t-elle encore.

          Ce rapport fait suite à la visite de la commissaire en Allemagne du 27 novembre au 1er décembre 2023 durant laquelle elle a rencontré des ministres fédéraux, des responsables locaux et des représentants de la société civile.

          Dans ses réponses, Berlin, qui dit partager « les préoccupations de la commissaire au sujet du nombre croissant de sans-abris », rappelle l’adoption d’un « plan d’action national » pour y remédier.

           « La pauvreté des personnes âgées n’est pas répandue en Allemagne », assure le gouvernement par ailleurs, rappelant que, fin 2022, « la proportion de bénéficiaires de l’assurance vieillesse de base (…) était de 3,7 %« .

           « Le parc de logements sociaux en Allemagne » est certes « passé d’environ 3 millions d’appartements en 1990 à environ 1 million d’appartements locatifs » actuellement, mais l’Etat fédéral fournit aux Länder « un total de 18,15 milliards d’euros » pour la construction de logements sociaux durant la période 2022-2027, rappelle le gouvernement allemand. Selon lui, « cela a amorcé un renversement de tendance vers une reconstruction du parc de logements sociaux ».

          Quant à la montée du racisme, Berlin dit travailler « actuellement sur une nouvelle stratégie avec une approche globale » combinant des aspects « répressifs » et « préventifs ». - source -

Bel exemple d'une nation " qui gagne " dont on nous rabat les oreilles depuis Sarkozy... Surtout que cet appauvrissement généralisé et le retrait de l'état pour une gestion de la société par le privé, voulus par l' "élite" allemande, sont aujourd'hui au cœur de l'action de l'union européenne de merde, le reste, n'est que pipeau et enfumage...

 

> sécurité routière : l’UE peine à tenir ses promesses pour 2030

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          Selon un nouveau rapport de la Cour des comptes européenne (CCE), l’UE est loin d’avoir atteint son objectif de réduire de moitié le nombre de décès sur les routes d’ici 2030 par rapport à 2019. En effet, le nombre de victimes ne devrait diminuer que de 25 %, ce qui compromettrait son objectif final, à savoir une mortalité routière proche de zéro en 2050. La responsabilité des politiques de sécurité est partagée entre la Commission européenne et les gouvernements nationaux. La Commission fixe des objectifs de haut niveau pour la réduction du nombre de décès sur les routes et propose une législation européenne pour aider à atteindre ces objectifs.

          Les États membres restent toutefois responsables de l’élaboration et de l’application des règles dans certains domaines, comme les excès de vitesse et la conduite en état d’ivresse, deux des causes principales de la mortalité routière.

          Concernant les règles décidées au niveau national, la Commission vise à soutenir les efforts des États membres par la coordination. Bruxelles aide les autorités nationales à partager leur expertise et des données comparables sur les accidents. Des fonds européens sont également alloués à des projets de sécurité routière.

          Selon les constatations de la Cour, si une approche globale existe au niveau européen, la Commission n’exerce qu’un contrôle limité sur les stratégies de mise en œuvre des États membres et les différentes approches nationales en matière d’enquêtes sur les accidents, de collecte de données et de conception des infrastructures entravent la coopération à l’échelle européenne.

          La sécurité routière ne concerne pas seulement les décès — on estime que chaque mort sur les routes européennes entraîne cinq blessures avec des conséquences à vie.

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> vous ne pourrez plus quitter la route des yeux avec ce nouveau dispositif obligatoire

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          Pour limiter les risques d'accidents sur les routes, l'Union européenne fait évoluer la législation. Dès le 1er juillet 2024, un nouveau dispositif de sécurité très particulier sera obligatoire dans les véhicules.

          Vous roulez sur la route depuis des heures et la fatigue commence à vous gagner, lentement mais sûrement. Vous luttez, alors que vous approchez enfin de votre destination. Vos paupières se font lourdes et vous somnolez malgré vous. Peut-être n'en avez-vous pas conscience, mais vous courez alors un grave danger. Les premiers signes de somnolence multiplient à eux seuls par trois ou quatre les risques d'avoir un accident. D'ailleurs, sur l'autoroute, un accident mortel sur trois est lié à la somnolence. Aussi, pour atteindre son objectif de zéro mort sur les routes d'ici à 2050, l'Union européenne a décidé de rendre obligatoires certains équipements de sécurité, dont les caméras de surveillance.

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> mon assureur (Allianz) a augmenté le prix de mon contrat de presque 70% à cause achat véhicule électrique

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          " J'ai acheté mon véhicule électrique neuf en mai 2023 et il s'avère que depuis janvier, je viens de constater que ma cotisation mensuelle a augmenté de presque 70% en tous risques alors que je n'ai eu aucun sinistre ni même jamais eu affaire à eux.

          Je n'ai reçu aucune explication et je viens seulement de m'en rendre compte maintenant. De même, je ne vois aucun avenant ou autre dans mon compte client (allianz) L'assureur a t-il le droit d'augmenter autant le prix avant une année d'ancienneté chez eux sachant que je n'ai pas le droit de résilier avant un an chez eux (Loi Hammon) ?

          Je comprends que l’exonération sur les contrats des véhicules électrique a diminué le bénéfice des assurances, mais selon les divers articles que j'ai vu, cela devait uniquement faire augmenter les contrats de 10 à 15% en tous risques, moi, on m'a augmenté de 68% exactement ma mensualité sans rien me dire ??? " - source -

Le coût du tout électrique et surtout celui la vache à lait traditionnelle, la voiture, va augmenter sans aucune limite puisque c'est le but : ne plus dépendre des fluctuations du pétrole mais de ses propres décisions commerciales où l'objectif, on le voit tous les jours, est de faire le maximum de fric pour goinfrer les actionnaires. Il y aura donc de plus en plus de surprises identiques pour les consommateurs qui s'en mordront les doigts,...

 

> l’Europe au pas cadencé

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          A cinq mois des élections européennes, un événement éclaire le paysage radieux de la démocratie au sein de l’Union : pour châtier la Hongrie, dont le premier ministre refusait en janvier dernier d’entériner un plan d’aide de 50 milliards d’euros à l’Ukraine, Bruxelles a tout simplement menacé de détruire son économie. Les détails ont été révélés par le Financial Times (29 janvier 2024). « Bruxelles a mis au point une stratégie visant à cibler explicitement les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs afin de nuire à “ l’emploi et à la croissance ” si Budapest refuse de lever son veto contre l’aide accordée à Kiev », explique le quotidien d’affaires britannique, qui a eu accès aux documents. Concrètement, si M. Viktor Orbân n’alignait pas sa politique étrangère sur celle de ses homologues, « ces derniers s'engageraient publiquement à couper tout financement européen à Budapest dans l'intention d’effrayer les marchés, de déclencher une crise monétaire sur le forint, et de faire exploser le coût des emprunts du pays ». Trois jours plus tard, le 1er février, M. Orbân capitulait.

          Certes, la fuite opportune de ce plan de sabotage a suffi à produire son effet. Et l’idéologie du premier ministre hongrois n’appelle pas une compassion excessive : autoritaire et réactionnaire, cet anticommuniste forcené proche de l’extrême droite piétine l’indépendance du pouvoir judiciaire et le droit des minorités. Mais ce chantage à la ruine crée un précédent : déployé contre la Hongrie de M. Orbân, il pourra l’être demain contre un gouvernement de gauche qui serait élu, par exemple, sur un programme de rupture avec le libre-échange ou l’atlantisme. Car l’action coercitive de Bruxelles contre les États membres déviants franchit ici un nouveau palier : en 2015, l’Europe avait menacé de ne pas secourir la Grèce pour la contraindre à accepter un plan d’austérité draconien ; désormais, elle se dit prête â ravager l’économie du récalcitrant.

          Cet acte de répression politique parait d’autant plus disproportionné que la Hongrie n’a cette fois enfreint aucun traité (plusieurs entorses au droit européen avaient par le passé motivé l’ouverture de procédures d’infractions contre Budapest ou Varsovie). En posant son veto à une aide militaro-financière à l’Ukraine, la Hongrie exprime un choix de politique étrangère. Or, contrairement à ce que suggère l’agitation frénétique de Mme Ursula von der Leyen, la Commission qu’elle préside ne dispose d’aucun pouvoir de décision dans ce domaine, lequel relève du Conseil européen, c’est-à-dire les chefs d’État et de gouvernement, qui doivent se prononcer à l’unanimité. En 2003, la possibilité de décider souverainement de la guerre et de la paix avait permis à la France, à l’Allemagne et à la Belgique de s’opposer à l’invasion de l’Irak contre une majorité d’États européens ralliés aux États-Unis. Le pourraient-ils - le voudraient-ils - encore ?

          Désormais aux avant-postes du bellicisme, Paris et Berlin comptent sur une forme de keynésianisme militaire combinée à l’austérité sociale pour relancer leurs économies cabossées par les sanctions imposées à Moscou. « Nous devons nous préparer à la guerre en Europe », a proclamé en octobre 2023 le ministre (social-démocrate) de la défense allemand en visant implicitement la Russie, un pays où la Wehrmacht a laissé vingt-six millions de cadavres. Des écologistes aux socialistes en passant par les conservateurs, la furia militariste se propage, alimentée par la perspective d’un retour à la Maison Blanche d’un Donald Trump plus isolationniste que jamais. Le coup de force de Bruxelles contre Budapest sonne comme l’appel au clairon : garde-à-vous ! - Pierre Rimbert - ( source : le Monde diplomatique n° 840 mars 2024 )

Quid du Parlement européen devenu une sorte de Société des Nations ? Comme on pouvait s'y attendre, la finance assistée de sa Commission européenne prend lentement mais sûrement une direction de plus en plus autoritaire de cette union européenne de merde... Une bonne guerre serait utile pour nous faire passer dans sa dictature pure et dure.