l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'honneur et le profit ne couchent pas dans le même lit - Cervantes

> avec une retraite à 905 euros, Jacques, 80 ans, doit retourner travailler pour boucler ses fins de mois

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          À 80 ans, ce retraité doit compenser la faiblesse de son indemnité en retournant travailler 15 ans après avoir mis un terme à sa vie professionnelle.

          Jacques, 80 ans vit en Corbeil-Essones au sud de Paris, interrogé par Le Parisien, il raconte son expérience en tant que retraité en emploi. Lui et 495 000 retraités cumulent retraite et emploi, par manque de moyens pour boucler les fins de mois sereinement.

          Entre 14 et 65 ans, Jacques a travaillé dans le BTP, lui donnant accès à 905 euros d'indemnité retraite par mois. Un montant insuffisant pour le retraité, qui, lorsqu'il règle toutes ses factures, lui reste 30 euros.

          Le retraité, qui, il y a 5 ans s'en sortait pourtant, doit aujourd'hui faire face à l'inflation et l'augmentation des prix. L'Insee affirme que "plus d’un Français sur dix de plus de 65 ans vit avec moins de 1 102 euros par mois, sous le seuil de pauvreté" nous apprend Le Parisien.

          Malgré son âge, Jacques se rend donc pour travailler dans un supermarché. Claude, le directeur, le sait, le port de charges lourdes, activité principale du métier, ne correspond pas vraiment aux capacités de Jacques, mais il sait aussi combien cela peut être difficile d'être retraité et de manquer de moyen, alors il l'embauche par solidarité. Jacques reste un cas exceptionnel, parmi tous les travailleurs français, le taux d'emploi des plus de 75 ans est de 0,75%.

          Le récent passage du projet de réforme des retraites va provoquer des changements pour les personnes voulant cotiser en travaillant. À compter du 1er septembre 2023, les personnes touchant une retraite à taux plein pourront se remettre à cotiser s’ils reprennent un emploi. - source -

Elle est belle la société organisée et établie par cette union européenne de merde ! Pour votre bonheur ? Que nenni pour le bonheur des riches et de la finance, exclusivement, qui prennent d'ailleurs des centaines de milliards dans le fond des poches des populations qui elles, paient sans détours et crèvent à petit feu...

Les statistiques de l'INSEE ( et de bien d'autres ) sont, bien sûr, "arrangées" pour satisfaire le pouvoir en place. Selon d'autres sources, le chiffre d'environ 12 millions de personnes en situation de vraie pauvreté serait plus juste...

exemple sur "... Jacques reste un cas exceptionnel, parmi tous les travailleurs français, le taux d'emploi des plus de 75 ans est de 0,75%...". Il serait fort possible que ce chiffre grimpe à 7, 9 ou 15% pour les plus de 72 ans ?...

 

> le groupe français Tereos, et autres, pulvérisent des pesticides interdits au Brésil

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          Au Brésil, les multinationales du sucre procèdent à de vastes épandages aériens de pesticides hautement toxiques et écocides. Le 25 avril, un consortium de médias internationaux a dévoilé des archives jusqu’ici bien dissimulées des regards. Conservées par le ministère brésilien de l’Agriculture, elles détaillent l’étendue et la fréquence des pulvérisations de pesticides sur les champs de canne à sucre, et les plantations d’orangers dans ce pays d’Amérique du Sud.

          Le groupe français Tereos, qui y cultive 300 000 hectares de cannes à sucre pour une production de 1,6 million de tonnes de sucre pour la récolte 2022-2023, est l’une des multinationales épinglées. Il a fait épandre de l’Actara 750 SG, dont le principe actif est interdit depuis 2019.

          Les autres exploitations sucrières concernées, qui fournissent notamment le groupe Nestlé, ont aussi fait usage du pesticide Opera. Le principe actif de celui-ci est interdit par l’Union européenne, précisent les journalistes de Mediapart, The Guardian, Die Zeit, Reporter Brasil et du média à but non lucratif Lighthouse Reports. Certains produits sont répandus sur des surfaces dépassant parfois 400 hectares.

          Récemment, une étude a été menée par l’université fédérale de Santa Catarina, sur soixante-trois villes concernées par les campagnes d’épandage en 2019. Celle-ci dévoile une corrélation possible entre la pulvérisation de ces pesticides à proximité des logements et une forte incidence de cancers, dans l’État de São Paulo. « Lorsque l’exploitation pulvérise un herbicide puissant, elle finit par tout brûler — notre herbe, nos fruits, nos animaux, nous-mêmes », témoigne dans l’enquête Bianca Lopes, une organisatrice communautaire locale. - source -

Bah ! ils ne font que finir d'épandre leurs immenses stocks, comme cela a été autorisé pour d'autres par l'union européenne de merde, et, des stocks, qui curieusement ne s'épuisent que très très lentement, il y en a au moins pour 10 ans... Quant à la santé publique, ils s'en fichent éperdument autant que Macron...

(...) En octobre 2020, le groupe, qui milite activement avec les autres betteraviers français pour une autorisation des néonicotinoïdes, interdits en France depuis 2018, obtient le vote d'une loi dérogatoire permettant aux betteraviers son utilisation jusqu'en 2023.

(...) La journaliste Anne-Laure Chouin estime en 2019 qu'en France, plusieurs coopératives agricoles, dont Tereos « se sont éloignées de leurs vocations initiales pour devenir des multinationales aux filiales opaques ». La création de nombreuses filiales a accompagné ce développement rapide de Tereos et pose des soucis de transparence et d'optimisation fiscale, dans un contexte de raréfaction des moyens de contrôle sur les coopératives (...) - wikipedia -

 

> les recettes de glaces de nos grand-mères

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🏛️ statuettes "le penseur" et "la femme assise" ( roumanie -7000 à -4500 )

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          Figurines néolithiques en argile cuite de Roumanie ( culture Hamangia ) : Le "Penseur" et la "Femme assise" - Chefs-d'œuvre de l'art néolithique. Il est assis sur un tabouret, conformément à son statut de "penseur", de chasseur et de pourvoyeur. Elle est assise à même le sol, prenant le poids que lui imposent ses hanches démesurées, symbole de fertilité. Néolithique Cernavoda Dobrogea Roumanie.

 

> classement mondial de la liberté de la presse 2023 : les dangers de l’industrie du simulacre

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          L’édition 2023 du Classement mondial de la liberté de la presse, qui évalue les conditions d’exercice du journalisme dans 180 pays et territoires, est publiée à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai. Il apparaît que la situation est “très grave” dans 31 pays, “difficile” dans 42 et “problématique” dans 55, alors qu’elle est “bonne” ou “plutôt bonne” dans 52 pays. Autrement dit, les conditions d’exercice du journalisme sont mauvaises dans 7 pays sur 10 et satisfaisantes dans seulement 3 pays sur 10. (...)

          L’édition 2023 met en effet en lumière les effets fulgurants de l’industrie du simulacre dans l’écosystème numérique sur la liberté de la presse. Dans 118 pays, soit les deux tiers des pays évalués par le Classement, la majorité des répondants au questionnaire signalent une implication des acteurs politiques de leur pays dans les campagnes de désinformation massive ou de propagande; de manière régulière ou systématique. La différence s’estompe entre le vrai et le faux, le réel et l’artificiel, les faits et les artefacts, mettant en péril le droit à l’information. Les capacités de manipulation inédites sont utilisées pour fragiliser celles et ceux qui incarnent le journalisme de qualité, en même temps qu’elles affaiblissent le journalisme lui-même.

          Le développement spectaculaire de l’Intelligence artificielle (IA) générative bouleverse l’univers déjà fragilisé des médias, qui avaient déjà été largement mis à mal par le Web 2.0. Le propriétaire de Twitter, Elon Musk, pousse quant à lui à l’extrême une logique arbitraire et censitaire, démontrant que les plateformes sont des sables mouvants pour le journalisme.

          L’industrie de la désinformation dissémine des productions manipulatoires à grande échelle, comme l’a prouvé une enquête du consortium Forbidden Stories, un projet incubé au sein de RSF. Et voilà que l’IA digère les contenus pour régurgiter des synthèses qui font fi de la rigueur et de la fiabilité.(...)

          L’Europe est la région du monde où les conditions d’exercice du journalisme sont les plus faciles, notamment au sein de l’Union européenne. La situation sur le continent est cependant mitigée. L’Allemagne (21e), qui enregistre un nombre record de violences et d’interpellations de journalistes sur son territoire, perd 5 places. La Pologne (57e), où l’année 2022 a été relativement calme sur le plan de la liberté de la presse, progresse de 9 places et la France (24e) en gagne 2. La Grèce (107e), où des journalistes ont été surveillés par les services secrets et par un logiciel espion puissant, garde sa dernière place dans l’UE.  (...) - source -

Dans le monde et en Europe de merde, les médias sont aux mains soit des milliardaires dictateurs soit des dictateurs milliardaires, alors pourquoi s'étonner ? Le plus inquiétant : cette union européenne de merde qui glisse de plus en plus vite sur une pente autoritaire, voire très autoritaire qui appelle à une dictature comme en France actuellement.

Un exemple édifiant très récent, parmi des milliers d'autres, en France de ces manips de l'information ( au "Le Monde" le 2 mai 2023 ) au grand bénéfice, évidemment, de la macronie > iCi

 

> mineurs, Ehpad : des cabinets privés jouent les inspecteurs !

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          Les contrôles des quelque 40 000 établissements médico-sociaux accompagnant les mineurs et les personnes âgées ou handicapées peuvent-ils être confiés à des entreprises à but lucratif ? L’Inspection générale des affaires sociales, la Direction générale de la cohésion sociale et les ministères chargés des affaires sociales le contestent catégoriquement ! Dans une note du 19 avril - sur laquelle le « Canard » a mis la palme -, ces institutions affirment que « ce pouvoir de police administrative ne peut pas être délégué à des organismes de droit privé ». C’est pourtant à cette solution que recourent plusieurs conseils départementaux...

          Le document épingle le Nord, les Alpes-Maritimes et l’Eure-et-Loir. Un de ces trois-là a par exemple délégué au cabinet SPQR l’inspection d’un Ehpad sans la présence de l’ARS ni celle du département, offrant aux apprentis inspecteurs un accès aux dossiers médicaux ! Pour la protection de l’enfance, une autre collectivité fait confiance, depuis 2021, au cabinet Eneis by KPMG, qui, l’an dernier, y a effectué plus de la moitié des contrôles.

C’est ma tournée

          Dans « L’Echo républicain » (19/10/22), Thomas Bourdet, directeur des solidarités au conseil départemental d’Eure-et-Loir, affirme que la dénonciation de la maltraitance dans le groupe Orpea a accéléré la cadence des visites. Il annonce « confier cette mission à une société extérieure », SPQR - encore lui. Bilan ? Vingt-quatre tournées en six mois à 1 000 euros par jour. « Il est évident que, si l'Etat mettait les moyens pour réaliser ces contrôles, nous n’aurions pas recours à ce type de prestations », répond au « Canard » le conseil départemental. Lequel doit visiter une centaine d’établissements en deux ans et demi, « ce qui est incompatible avec les effectifs disponibles ».

          Sur son site, SPQR vante ces inspections surprises déclenchées depuis 2019 dans des services de soins à domicile de l’Essonne, du Rhône, de Haute-Garonne, de Seine-et-Marne, ainsi que dans des établissements accueillant des enfants dans l’Ailier, les Alpes-Maritimes...

          Le cabinet explique même au Volatile débarquer en plein cœur de la nuit. Efficace pour surprendre des mauvais traitements mais prohibé, même pour les agents de l’ARS ! En cas de contentieux, de telles méthodes pourraient invalider les rapports signés par les départements.

          Les cabinets gérant ces structures pratiquent un joyeux mélange des genres : Eneis prodigue des formations à des directeurs d’Ehpad, SPQR n’hésite pas à utiliser le logo du ministère de la Santé pour présenter ses activités dans ce domaine, et ses consultants jouent même les administrateurs provisoires dans deux Ehpad publics du Cantal et une maison d’enfants à caractère social du Val-de-Marne...

          La boîte va jusqu’à commercialiser un logiciel d’inspection dans les Alpes-Maritimes, l’Eure-et-Loir, le Puy-de-Dôme et les Côtes-d’Armor. « Pendant que l’Etat tente de réguler les départements (en virant le privé), il n’y a pas de contrôles », explique Loïc Bragard, directeur général délégué de SPQR.

Alors pourquoi se priver ? - Fanny Ruz-Guindos -

 

Contrôles de sociétés privées illégaux et sans aucune valeur à 1.000 € le contrôle, ils savent dépenser intelligemment le fric de leurs collectivités ces élus !!! Après les Ehpad, les crèches, voici que les requins, d'une cupidité sans borne, mordent allègrement dans quelques milliers d'établissements médico-sociaux des trois premiers départements à portée de gueule, le reste suivra... Ils se goinfrent aussi ailleurs et leurs restes apparaîtront, à la surprise générale organisée, dans quelques temps... Les élus de ces départements - comme beaucoup de ceux des communes, agglos, régions,... -  en ont rien à faire ( en étant poli ) de la réglementation sur le sujet et le fait que la police administrative ne peut être déléguée au privé ; la macronie est, comme d'habitude, aux abonnés absents !!! C'est anti-commercial donc anti-européen !

 

> Fabien Roussel veut-il tuer la NUPES ?

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- source -

          L’alliance forgée à gauche à l’occasion des législatives de 2022 semble fragile. Beaucoup semblent attendre un acte II de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) et il s’en trouve même pour espérer que ce cadre soit vite « dépassé ».

          C’est le cas du député Fabien Roussel, secrétaire national Parti communiste français. Celui-ci ne manque aucune occasion de critiquer ses alliés et a même commencé à se rapprocher de Bernard Cazeneuve, l’ancien premier ministre de François Hollande. Est-il déjà venu le temps de faire le deuil de cette alliance inespérée des partis de la gauche ?