l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il n'y a pas que des salauds au gouvernement, il y a aussi des incompétents - Guy Bedos

> arrêts de travail : face au déficit public, l’État envisage d’augmenter le nombre de jours de carence dans le privé

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          Actuellement fixé à quatre, le nombre de jours de carence pour les salariés du privé pourrait passer à cinq voire huit jours, afin de combler une partie du déficit public, révèle La Tribune ce dimanche.

          Mardi dernier, l’Insee annonçait que le déficit public de la France atteignait les 5,5 % du PIB en 2023, soit 154 milliards d’euros. Un coup dur pour le gouvernement qui, de facto, s’échine à réaliser de sérieuses économies. L’exécutif planche ainsi sur plusieurs pistes, notamment dans le domaine de la santé. Après le doublement de la franchise médicale ou encore la baisse des coûts des transports sanitaires, l’exécutif songe à augmenter le nombre de jours de carence dans le privé, révèle La Tribune ce dimanche.

Jusqu’à huit jours de carence ?

          Les dépenses liées aux indemnités journalières augmenteraient de 6 % par an et représenteraient 16 milliards d’euros. Une somme pas anodine. « Selon les scénarios, les économies estimées peuvent aller jusqu’à 1 milliard d’euros par an », précise La Tribune.

          Actuellement, il faut attendre le quatrième jour d’arrêt pour commencer à toucher une indemnisation par la Sécurité sociale. D’après le média, ce délai pourrait passer à cinq voire huit jours ! Les salariés ne devraient pas forcément être impactés puisque ces jours de carences supplémentaires pourraient être pris en charge par les entreprises.

          Mais face au tollé que cette annonce pourrait provoquer chez les employeurs, une autre idée se profile : mettre en place des jours de carence dit d'« ordre public », qui ne seraient indemnisés par personne. Et là ce seraient les salariés qui trinqueraient. - source -

  C'était facilement prévisible depuis que le budget de la sécurité sociale indépendant a été détourné en 1996 annonçant la destruction du système de santé français. Depuis, une partie des cotisations sont utilisées pour rembourser les emprunts ou aider les pauvres entreprises... Si ces nouvelles restrictions  passent, double bénéfs pour les patrons : les entreprises ( environ 90% ) qui, par un contrat de prévoyance, indemnisent aujourd'hui les jours de carence de leurs salariés ne le feront plus "légalement", et ne subiront donc pas d'augmentation de ces contrats si le nombre de jours de carence sera augmenté. Le tout, dans un capitalisme ultra-libéral pur et dur, sera exclusivement supporté par les salariés !!! Sans oublier le bonus d'une division exacerbée entre les salariés en édictant ces nouvelles règles uniquement pour les salariés du privé ( dans un premier temps )... Conclusion : encore une fois, les patrons niquent les salariés profond,...

 

> aujourd'hui, doublement de la franchise sur les boîtes de médicaments, participation forfaitaire des consultations et actes médicaux

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          Le doublement de la franchise sur les boîtes de médicaments, de 50 centimes à 1 euro, et la "participation forfaitaire" sur les consultations et actes médicaux passera elle de 1 à 2 euros à compter de dimanche, et la franchise sur les transports sanitaires est, elle, doublé, passant de 2 à 4 euros.

          Un reste à charge un peu plus élevé pour le patient. Le décret sur le doublement de la franchise médicale, de 50 centimes à 1 euro sur chaque boîte de médicaments, a été publié samedi 17 février au Journal officiel pour une entrée en vigueur au 31 mars. La franchise sur les transports sanitaires est, elle, doublé, passant de 2 à 4 euros à compter de la même date.

          Par ailleurs, la "participation forfaitaire" sur les consultations et actes médicaux – à l'exception de ceux réalisés lors d'une hospitalisation, ainsi que sur les examens et analyses de biologie médicale, double. A partir de dimanche, elle est de 2 euros (contre 1 euro auparavant), selon un autre décret publié samedi au Journal officiel.

           Face à la dégradation des comptes de la Sécurité sociale, le gouvernement avait annoncé en janvier son intention de faire payer un peu plus les assurés sociaux sur leur consommation de soins, en augmentant la part non remboursée. Afin que les personnes ayant le plus fort recours aux soins ne soient pas pénalisées, le gouvernement maintient à 50 euros chacun des deux plafonds annuels (l'un pour les franchises, l'autre pour les participations forfaitaires).

Quelque 800 millions euros d'économies prévues

          Les franchises et remboursements forfaitaires ne sont pas applicables aux mineurs, aux femmes qui bénéficient de l'assurance maternité et aux bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire, qui ont des revenus particulièrement modestes. Selon les estimations du gouvernement communiquées à l'automne, lors des débats sur le budget de la Santé 2024, la mesure vise à générer 800 millions d'euros d'économies dans les caisses de la Sécurité sociale.

          Les associations de patients ont fortement critiqué ces augmentations, redoutant en particulier leur effet sur les plus précaires. "Faire payer davantage les médicaments, c'est culpabiliser ceux qui en ont besoin", avait estimé en janvier sur franceinfo Gérard Raymond, président de France Assos Santé. - source -

trois commentaires choisis :

     Cette augmentation du reste à charge pour les malades est la conséquence des nombreuses exonérations accordées aux entreprises dont certaines font des bénéfices records et défiscalisent via des structures d'entreprises façon poupées russes.Cette augmentation du reste à charge pour les malades est la conséquence des nombreuses exonérations accordées aux entreprises dont certaines font des bénéfices records et défiscalisent via des structures d'entreprises façon poupées russes.

     Les cotisations Sécurité sociale ne baissent pas, les complémentaires santé augmentent et maintenant ils doublent la participation des assurés sur les boîtes de médicaments et les visites chez les médecins actes infirmiers, kiné et autres. Petit à petit notre système de cotisations de sécurité sociale et en augmentation et bientôt l'on verra se mettre en place une "sécurité sociale" privé qui concurrencera notre système actuel qui lui restera en place juste pour les plus pauvres.

     Encore une fois de plus on paye les errements du pouvoir. À quand ceux de la haut qui ne font que profit monstrueux mettront la main dans le coffre-fort ? Le Sénat avait laissé entendre qu’ils allaient se pencher sur leur retraite, on n’a rien vu. Aujourd’hui ils se sont augmenté de 700€ / mois et rejette le droit au congé menstruel…il est vrai que les seules fois où Larcher à mal au ventre c’est quand il a abusé du foie gras ou du homard.

 

> depuis le Covid, l’hôpital traîne une lourde « dette » avec des millions de soins non réalisés

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          Depuis la pandémie, des millions de soins ont été repoussés ou annulés par des patients dans les hôpitaux français. La faute à des tensions persistantes et à la hausse du renoncement aux soins.

          C’est une grave « dette de santé publique » qui persiste dans les hôpitaux. Selon une étude de la Fédération hospitalière de France (FHF, une association qui réunit les hôpitaux publics) publiée ce lundi 18 mars, le niveau d’activité des établissements de santé a globalement retrouvé l’an passé le niveau observé avant la pandémie de Covid-19, mais insuffisamment pour les soins les plus lourds. Et quelque 3,5 millions de séjours hospitaliers n’ont pas pu être réalisés depuis l’épidémie de coronavirus - entre 2019 et fin 2023.

          Mais derrière cette reprise des activités « se cachent des disparités préoccupantes qui devraient interroger les pouvoirs publics », a lancé lors d’une conférence de presse le président de la FHF et maire Horizons de Reims Arnaud Robinet. « Nous sommes inquiets » : les chirurgies lourdes, les greffes et les activités de médecine les plus complexes, majoritairement assumées par le secteur public, « sont bien en deçà du niveau attendu », a-t-il dit.

          La FHF parle de « l’existence d’une forme de dette de santé publique, c’est-à-dire d’activités à rattraper ou de conséquences durables sur l’état de santé de la population de prises en charge intervenues avec retard ». Le baromètre de la FHF, qui a été réalisé en partenariat avec Radio France, s’appuie sur des données nationales concernant public et privé.

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> sucré, ça l’est...

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          Voilà un rapport qui donne du sucre à moudre à tous ceux qui veulent taxer la malbouffe pour défendre la santé publique. L'Observatoire de l'alimentation a passé à la moulinette les étiquettes de 54000 produits afin d'analyser l'évolution de leur charge en sucre sur douze ans. Résultat : ça baisse dans les boissons sans alcool. Par exemple, les sodas affichent - 3 %, les limonades - 7 %, les boissons aux fruits - 19 %, les boissons sucrées au thé - 13 %, et même - 21 % pour les eaux aromatisées !

          Une bonne nouvelle pour la santé, que l'on doit à la fameuse « taxe soda ». En 2012, la France a adopté une loi pour taxer toutes les boissons non alcoolisées contenant des sucres ajoutés à raison de 7,55 euros par hectolitre, puis, six ans plus tard, les députés en ont rajouté avec une taxe corrélée au taux de sucre. Plus le breuvage est sucré, plus le fabricant passe à la caisse. Pour un soda affichant par exemple 15 kg de sucres ajoutés par hectolitre, la dîme s'élève désormais à 23,50 euros. Et le rapport, qui porte la double estampille de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) et de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement applaudit l'effet bénéfique de la taxation, le sucre ingéré sous forme liquide étant une vraie catastrophe nutritionnelle.

          En revanche, côté aliments transformés, les fabricants abusent toujours du sucrier pour augmenter l'appétence. Les trois quarts des produits achetés en grandes surfaces, y compris au rayon salé, comme les plats cuisinés et les plats surgelés, restent surchargés en sucre. Et le nombre d'ingrédients sucrants augmente même dans les purées, les chips, les frites, les margarines, et dans toutes les sauces condimentaires comme la mayonnaise. Fâcheux, quand on sait que 75 % des enfants français de 4 à 7 ans dépassent les 60 grammes de sucre journaliers recommandés par l'Anses. Un carburant qui fait flamber l'épidémie d'obésité et son cortège de maladies comme le diabète sucré.

          Mais pourquoi les industriels se gêneraient-ils, puisque seul le sucre des boissons est taxé ? En octobre 2023, Elisabeth Borne, alors Première ministre, a tué dans l’œuf un amendement déposé par un député MoDem qui voulait étendre la taxe soda à tous les produits alimentaires transformés. Et tant pis si ce durcissement de la loi avait également été préconisé par la Cour des comptes (« Conflit», 15/11/23). De là à dire que le gouvernement est tout sucre avec l'agroalimentaire...

C'est un scandale de santé publique que les gouvernements successifs n'ont pas voulu plus réglementer, pourquoi ? Pourtant, il est tout à fait simple d'indiquer avec un simple logo la teneur en sucre de tous les produits de consommation.

facile, non ?

 

> pays d'origine des produits importés en UE présentant la plus forte contamination par PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes importés de l'UE présentant le taux de contamination par PFAS le plus élevé provenaient du Costa Rica (41 %), d'Inde (38 %) et d'Afrique du Sud (28 %). Dans l’ensemble, 16 % de tous les échantillons de produits importés de l’UE contenaient des résidus d’au moins un pesticide PFAS.

          La Turquie est le pays d'origine avec le nombre maximum de pesticides PFAS détectés dans un seul échantillon, avec certains individus échantillons turcs contenant des résidus de cinq pesticides PFAS différents. De plus, les échantillons provenant de Turquie contenaient la plus grande diversité en termes de différents pesticides PFAS détectés dans tous les échantillons.

source - pour les FPAS

Conforme à ce que l'on peut en connaitre, le Maroc est dans le club de tête...

 

> quand l’UE occulte l’origine des produits agricoles

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          Aujourd’hui, s’est ouvert le Salon de l’Agriculture. La colère légitime des agriculteurs grandit et a eu raison du débat dérisoire proposé par Macron, également refusé par Michel-Edouard Leclerc. Outre la mise en place d’un vrai protectionnisme, comme en Asie, la claire communication de l’origine des produits est une autre revendication légitime. Dans les deux cas, l’UE est l’obstacle à franchir.

L’UE, c’est l’opacité pour les consommateurs

          Dans l’histoire que cherche à nous vendre les communicants de l’Union Européenne, il y aurait le fait que l’UE défendrait les consommateurs. Certains s’accrochent à quelques mesures dérisoires, sur les chargeurs de téléphone ou le prix des communications entre pays membres. Mais pour qui prend un peu de recul sur le sens profond des mesures dessinées à Bruxelles, l’intérêt des consommateurs semble bien moins importer que celui des multinationales et des puissants. Outre ce laisser-faire et ce laisser-passer qui profitent essentiellement aux plus forts, il y a, comme aux États-Unis, la volonté de dissimuler l’information quand cela arrange les intérêts du monde des affaires. Et en matière agricole, l’intérêt du monde des affaires, c’est de pouvoir s’approvisionner à sa guise dans le pays que l’on veut (c’est-à-dire le moins cher), sans forcément l’indiquer clairement aux consommateurs si cela est moins vendeur.

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