l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Dur de vibrer pour des lendemains qui chantent quand on sait qu'on ne fera pas partie de la chorale - Guy Bedos

> l’homme de masse

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          « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

          L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

          Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

          En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

          L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. » Günther Anders, 1956 - source -

> un million de logements rénovés, mon œil !

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          Un million de logements rénovés selon Emmanuel Macron : derrière ce chiffre, une réalité bien moins reluisante.

          Depuis le lancement du dispositif MaPrimeRénov’, le gouvernement se vante d’avoir massifié la rénovation énergétique. Mais, en finançant des améliorations partielles sans vérifier leur efficacité, la France reste bien loin de ses objectifs.

         « Pouvez-vous citer une action réelle, forte, déterminante, qui ne soit pas juste de la com’, que vous menez pour l’écologie ? » À cette question posée par un internaute, Emmanuel Macron répond fièrement, dans une vidéo postée sur YouTube : « On a rénové plus d’un million de logements d’un point de vue thermique grâce à MaPrimeRénov’. » Le chiffre n’est pas faux. Mais cette affirmation présidentielle résonne pourtant comme de la com’. La suite des propos tenus par le président de la République est autrement plus intéressante : « Il y a des rénovations complètes et intégrales, elles sont beaucoup moins nombreuses. » Le diable se cache dans les détails. Parce que le million de rénovations annoncé se réduit comme peau de chagrin quand on s’intéresse aux rénovations dites « complètes et performantes ». « MaPrimeRénov’ soutient essentiellement des rénovations “mono-gestes” », souligne un rapport de France Stratégie. Ces « mono-gestes » consistent juste à, par exemple, changer de chaudière, ce qui demeure peu opérant si le logement est mal isolé. Or, « de janvier 2020 à juin 2021, 86 % des demandes de primes accordées sont constituées de mono-gestes, seulement 12 % correspondent à deux types de travaux simultanés, et 3 % à trois types de travaux simultanés ou plus », pointe France Stratégie.

          (...) Au 1er janvier 2022, 5,2 millions de résidences principales (soit 17 % du parc) étaient encore des passoires thermiques. À peine quelques milliers – 2 500 selon la Cour des comptes – sortent annuellement de ce statut grâce à MaPrimeRénov’. Une goutte d’eau. (...) - source -

On pourrait modifier les stats présentés dans l'article selon le statut social de ceux qui occupent les résidences principales ? Ce qui pourrait donner :

> donner un avis négatif sur un commerçant ou autres sur internet

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AVIS SUR LE WEB : un post négatif, et on risque une plainte

          J’ai acheté sur Internet des fenêtres et des portes-fenêtres ne répondant pas à mes attentes. J’ai écrit, sur la page Google du professionnel, un avis expliquant la raison de mon mécontentement et j’ai attribué une seule étoile. J’ai reçu un courrier de son avocat me demandant de retirer ce commentaire au risque d’une plainte pour diffamation ou dénigrement. Est-il possible de m’attaquer pour ce motif ?

          Oui, mais il revient au juge d’apprécier la situation. La diffamation est une allégation portant atteinte à la réputation d’une personne physique ou morale, identifiée ou identifiable (art. 29 loi du 29/07/1881). Lorsqu’elle est publique, elle est punissable d’une amende allant jusqu’à 12000 €.
          En cas de plainte à votre encontre, vous pourriez vous prévaloir de la liberté d’expression et de votre bonne foi (art. 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789). À titre d'exemple, le dénigrement n’a pas été retenu au sujet d’avis négatifs publiés sur la fiche professionnelle d'un dentiste. Les tribunaux ont considéré qu’il s’agissait «de la libre critique et de l’expression subjective d’une opinion ou d'un ressenti de patients déçus. En cela, ils participent de l’enrichissement de la fiche de l’intéressé... » (arrêt de la cour d’appel de Paris, pôle 1, ch. 8, du 22/03/2019, n° 18/17204).

Dommage, l'article ne parle pas du coût ( même une fourchette ) pour se défendre auprès des tribunaux sur une telle plainte... Cette "technique" du courrier d'avocat est de plus en plus employée par les margoulins, pour cause !

> Comme je l'ai déjà précisé dans un  article, NE JAMAIS DONNER D'AVIS qui plus est NÉGATIF. Il faut savoir qu'un avis négatif peut aussi entrainer des représailles : on dégrade votre voiture, votre maison,..

 

> le futur RSA, conditionné à des heures d’activité, testé dans dix-neuf territoires

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          Le ministre du travail a présenté, mardi, les départements et la métropole qui expérimenteront en 2023 le nouveau revenu de solidarité active, qui sera conditionné à des heures d’activité hebdomadaires.

          Dix-huit départements et une métropole. Le ministre du travail, Olivier Dussopt, a annoncé, mardi 13 décembre, quels seront les territoires qui expérimenteront le nouveau revenu de solidarité active (RSA), en 2023. On y trouve notamment l’Aisne, les Bouches-du-Rhône, la Creuse, la métropole de Lyon, La Réunion ou encore la Seine-Saint-Denis. « L’ensemble de ces départements reflète une pleine diversité sur le plan géographique, démographique et social », précise le ministre dans un communiqué.

          Avec cette réforme, qui s’inscrit dans celle, plus globale, du service public de l’emploi, avec la création de France Travail, le gouvernement souhaite conditionner le RSA à des heures d’activité hebdomadaires, à l’image de ce qui a été fait pour le contrat engagement jeune. Dans un courrier envoyé aux parties prenantes en novembre et que Le Monde s’est procuré, M. Dussopt explique que « tous les allocataires des territoires d’expérimentation seront amenés à signer un contrat d’engagement sur la base d’un accompagnement intensif avec une cible de quinze à vingt heures par semaine ».

          Un accompagnement qui pourra prendre plusieurs formes : immersion et formation en entreprise, démarche sociale accompagnée, ateliers collectifs, activité citoyenne, accompagnement à la création d’entreprise, intégration dans un chantier d’insertion, etc. Une large liste que le ministre justifie dans son courrier « par la volonté de rendre possible une adaptation aussi fine que possible à la situation de la personne » et non pas « par une logique d’activité obligatoire non rémunérée et assimilable à un emploi ».

          Alors que l’expérimentation – à laquelle sont consacrés 20 millions d’euros – prévoit par ailleurs que chaque bénéficiaire du RSA s’inscrive à Pôle emploi, l’exécutif précise qu’il y aura trois types de suivi pour les allocataires, en fonction de leur capacité à reprendre un travail rapidement. La fin de la mission de préfiguration de France Travail, confiée au haut-commissaire à l’emploi, Thibaut Guilluy, devait avoir lieu mi-décembre, mais la présentation du projet a été repoussée à mi-janvier. - source -

Bé voilà, "ils" y sont arrivés : au lieu de créer des emplois, les patrons auront des esclaves gratuits avec les gueux en "Revenu de Servage Actif" => encore moins d'emplois disponibles => encore plus de chômeurs => encore plus de précarité et de pauvreté => encore plus de RSAistes => encore plus d'esclaves,...

 

> le Grand Appauvrissement

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Le service public, c'est le patrimoine de ceux qui n'en ont pas

          La situation en France est aujourd'hui critique. Notre pays vit un de ces moments qui précèdent la Tempête. Une situation critique à plusieurs titres, sur plusieurs fronts, et pratiquement à tous les niveaux. Que ce soit au niveau politique, mais aussi économique ou encore social, les voyants sont au rouge vif depuis bien, bien trop longtemps. Et les derniers filets de sécurité sont en train de tomber.

Un tsunami de crises

          La crise crise politique tout d'abord : un président le plus mal-aimé de la Vème, un président aux réformes dont les français ne veulent pas, un président éborgneur, méprisant, haï...réélu avec 20% des voix du collège électoral, par défaut, pour "faire barrage".

          Cette crise politique émane aussi et avant tout d'une crise de légitimité démocratique : avons nous jamais été en démocratie dans ce pays ? Certains parlent aujourd'hui d'un "effacement démocratique" mais en vérité, cela fait longtemps que nous ne savons pas ce qu'est réellement la démocratie. La démocratie consisterait essentiellement, pour celles et ceux qui se gavent sur notre dos, à notre "devoir" de mettre un bulletin de vote dans l'urne tous les cinq ans. Puis à la fermer les cinq ans qui suivent, en subissant tout ce qu'il est possible de subir comme recul social et en étant toujours plus infantilisé, et dépossédé de tout pouvoir économique et politique. Est-ce cela, la démocratie ? 

          Dans un pays ravagé par la crise économique, et malgré les maquillages statistiques et médiatiques, le chômage et les faillites explosent. L'inflation est à un niveau historique, et le refus obstiné du gouvernement d'augmenter les salaires et d'appeler à la "générosité et au bon sens" des patrons, en dit long sur ce gouvernement. Un gouvernement mis en place par un banquier d'affaires, lui-même marionnette d'intérêts privés qui en attendent évident retour sur investissement. De fait, alors que la misère explose, et que les français commencent à voir leur espérance de vie diminuer, les coups de boutoir libéraux s'accumulent. Aucune accalmie sur le front antisocial. Alors que dans les couloirs des urgences, des personnes meurent, faute de prise en charge, des lits d'hôpital continuent d'être supprimés en masse, et les soignants qui refusent de se vacciner sont suspendus. Des gamins victimes de l'épidémie de bronchiolite sont trimballés à 200 km de chez eux, faute de places dans les services de Pédiatrie qui eux aussi, s'effondrent, privés de ressources, de lits, de praticiens. 

         La crise énergétique et la guerre en Ukraine ensuite : elles ont bon dos. Le gouvernement est en train de "préparer les français" à accepter de moins se chauffer, de moins s'éclairer, de moins vivre en somme... bien sûr le fait que Macron vienne gentiment le demander aux riens que nous sommes, dans ses vidéos ridicules où il apparait en manches de chemises nous prouve que lui aussi, il applique la règle qu'il a imposée aux administrations : 19 degrés maximum dans les bureaux, et pas plus. Le service Public de l'énergie, qui a fait de l'indépendance énergétique du pays un instrument de sa souveraineté et de son autonomie, est désormais en ruines : edf-gdf est partiellement privatisée, les agents embauchés au statut n'existent plus, et les centrales nucléaires sont tellement bien entretenues par les intérimaires et autres travailleurs sous-traités précaires, que la moitié du parc est à l'arrêt. La France importe à grands frais (parmi les tarifs les plus chers de la zone euro) une électricité qu'elle produisait à bas coût, et qui lui est vendue hors de prix, la faute à un mécanisme européen délirant qui indexe le coût de l'électricité sur celui du gaz.

 

► pour lire la suite...

> guide de l’inflation : tout ce que vous devez savoir pour comprendre ce qui se passe

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          Si vous ne prononcez pas ce terme régulièrement, vous évoquez pourtant tous les jours ses conséquences sur votre quotidien. De quoi s’agit-il ? Vous passez devant la station essence en espérant que le prix de l’essence au litre redescende, vous avez l’impression de dépenser votre argent plus rapidement que d’habitude alors que votre salaire n’a pas baissé : la cause est bel et bien l’inflation.

          Le niveau d’inflation des pays de la zone Euro dépasse les 7 % en 2022, selon Eurosat (office statistique de l’Union européenne). La France ne passe pas outre, avec un taux d’inflation de 5,2 % par rapport à 2021 (Insee). Il s’agit d’un chiffre que nous n’avions pas vu depuis 1985 ; les prix sont en hausse sur l’ensemble des postes de consommation recensés par l’Insee, et surtout dans le secteur de l’énergie.

          Nous avons conçu ce guide, complet et accessible, afin de vous aider à mieux comprendre le phénomène d’inflation, ses causes, ses conséquences, et comment y faire face. (...) - source et suite... -

 

> la France bientôt en panne, qui veut encore faire tourner la boutique ?

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          Il paraît que les Français ont la flemme, qu’une foultitude d’emplois est non pourvue. C’est d’ailleurs pour cette raison que les génies de l’économie qui nous dirigent (à coups de pied au cul et à la schlague) viennent de faire passer cette énième contre-réforme de l’assurance-chômage qui va mettre sur le carreau, un peu plus vite, des demandeurs d’emploi que la précédente contre-réforme avait déjà bien assommés.

          Laissez-moi vous raconter une histoire, en l’occurrence la mienne. Non pas qu’elle soit exaltante (pour l’exaltation, mieux vaut se plonger dans un roman d’aventures que dans le roman de ma pauvre vie), mais simplement parce qu’elle est significative de ce que nous sommes des millions, femmes et hommes, à vivre depuis trop longtemps.

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          J’ai 47 ans. Je suis sans emploi (mais pas sans travail) depuis presque deux ans. À la suite d’un différend avec mon employeur, nous nous sommes séparés d’un commun accord. En vérité, j’étais au bout du rouleau. Soit, je partais, soit j’optais pour une solution plus radicale et sans retour. J’ai choisi le départ. J’en ai profité pour créer une microentreprise. Après vingt-cinq ans ou presque de bons et dociles services dans le monde merveilleux du salariat, je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Quand j’ai du boulot, je m’éclate. Sans doute parce que ce travail je l’ai choisi et qu’il échappe aux hiérarchies, aux réorganisations incessantes, aux procédures à la con, aux demandes de reporting et à tout ce qui rend la vie en entreprise insupportable.

► pour lire la suite...

> le Parlement suisse vote une définition plus large du viol

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          Le texte requérant le consentement explicite pour des actes sexuels est passé de justesse à la chambre basse dans une ambiance électrique. Amnesty International a salué « un immense succès ».

          La notion de consentement dans une relation sexuelle fait l’objet d’âpres débats en Suisse. Dans une ambiance électrique, la chambre basse du Parlement a grandement élargi, lundi 5 décembre, la définition très restrictive du viol en vigueur dans le pays, en adoptant de justesse l’option « Seul oui veut dire oui » – 99 voix pour, 88 contre et trois absentions.

          Selon la législation actuelle, seule une pénétration vaginale contrainte, s’accompagnant d’un certain degré de résistance de la femme, est considérée comme un viol. Il existe un consensus sur le fait que la définition du viol devrait inclure toute pénétration non consentie, quels que soient le sexe de la victime et son degré de résistance. Mais c’est l’interprétation de ce dernier point qui suscite tant de discussions.

          Certains défendent une approche « non, c’est non », selon laquelle il y aurait viol si une personne s’est explicitement opposée à la pénétration. La chambre haute du Parlement, le Conseil des Etats, a déjà voté en ce sens cette année. Mais le vote lundi de l’option « Seul oui veut dire oui » du Conseil national – la chambre basse – offre une définition plus large, requérant le consentement explicite pour des actes sexuels.

« Le corps de l’autre n’est jamais un open bar »

          « Il va de soi qu’on ne prend pas de l’argent dans le porte-monnaie de son voisin sans lui demander. Il va de soi qu’on n’entre pas chez quelqu’un sans sonner. Pourquoi mon porte-monnaie et ma maison seraient mieux protégés que mon corps ? », a interrogé la députée socialiste Tamara Funiciello, selon l’agence de presse ATS. Le Vert Raphaël Mahaim a abondé : « Le corps de l’autre n’est jamais un open bar. Avant d’avoir un moment de partage sexuel, il faut s’assurer du consentement de son partenaire. »

          Beaucoup d’élus de droite ont combattu l’option « oui, c’est oui », affirmant qu’elle créerait de la confusion et serait difficile à appliquer.

          L’antenne suisse de l’ONG Amnesty International a salué le vote de lundi comme « un immense succès après des années d’activisme politique de militants défendant les droits des femmes et les victimes de violences sexuelles ».

          Les deux chambres vont devoir trouver un compromis avant que le processus puisse continuer. Cela fait, le sujet sera probablement proposé au vote populaire, comme le permet le système suisse de démocratie directe.

          Plusieurs pays européens ont fait évoluer leur définition du viol comme étant une atteinte sexuelle sans consentement explicite, dont l’Espagne, la Suède, le Danemark et la Belgique. - source -

Consentement explicite ! C'est-à-dire que l'homme doit faire signer un papier explicite avant toute relation ??? Les femmes pourront accuser n'importe quel homme de viol pour simplement se venger ou le faire payer ??? L'air du temps de la répression sexuelle généralisée :  “Venger ma race et venger mon sexe” du nouveau prix Nobel Annie Ernaux.

"On" rejoint ainsi les dogmes religieux pour lesquels une relation sexuelle ( non stérile ) est faite uniquement pour procréer. On peut effectivement mesurer le pouvoir d'une religion à ses interdictions sexuelles, les "mal baisées" remplacent donc la religion...

D'un autre côté, pour sortir de cette dictature féminine spécifique, il serait utile qu'un couple indique sa volonté d'avoir un enfant en rédigeant et signant un papier, évitant ainsi à des milliers d'hommes de se faire piéger sans recours...