l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'esclavage prend de graves proportions lorsqu'on lui accorde de ressembler à la liberté - Ernst Jünger

> de l’Etat démocratique à l’état mafieux

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          On entend de plus en plus dire « qu’on n’est plus en démocratie ». Et que le « système » politique qui est imposé présentement aux Français ressemble à s’y méprendre au régime féodal (qui est à l’origine un système « mafieux »). D’autant, ajoutent les plus perfides, que le comportement d’E. Macron, qui ès-président de la République se plait à formuler publiquement son bon vouloir et notamment celui « d’emmerder » possiblement des gens (qui sont cependant des citoyens et non les manants de jadis) leur fait penser, plus à celui du shérif de Nottingham, qu’à celui d’un dirigeant d’un État … démocratique.


Ces réflexions méritent d’être approfondies.

          Dans le système « mafieux » d’aujourd’hui, les mafieux sont des entrepreneurs / opérateurs économiques, mais aux activités prohibées (drogue, proxénétisme). Prohibées ou non : ramassage des ordures, travaux publics et diverses autres activités permettant aussi de gagner de l’argent et de « blanchir » l’argent « sale »… Mais ce, avec la collaboration complice (ici cachée) de titulaires de charges officielles. Lesquels ont leur poste grâce aux opérateurs économiques dont s’agit, ou « touchent » d’une manière ou d’une autre.

          La population quant à elle, n’est pas consultée et est fortement priée de subir. En étant encouragée à le faire par des messages calibrés ou la distribution de quelques aumônes.

          Dans l’État démocratique au contraire, le « peuple » maîtrise (réellement) les règles de fonctionnement de la société ( v. entre autres la définition de Lincoln à Gettysburg) , et désigne des mandataires qui utiliseront leur pouvoir de décision pour réguler les activités et pour protéger (c’est ce qu’on appelle la recherche l’intérêt « général ») tout ou partie de la population des effets pervers que certaines activités privées des opérateurs économiques peuvent comporter. Les représentants s’abstenant (évidemment) de toute compromission.

Ceci rappelé, qu’observons-nous ?

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> autoroute sans barrière de péage : comment fonctionne ce dispositif lancé en France ?

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          La première autoroute à «flux libre» est mise en service vendredi 4 novembre pour traverser l’Allier. Pour éviter une amende, ses utilisateurs auront le choix entre se procurer un badge, payer en ligne ou sur une des 16 bornes installées au bord de la route.

          Les retours de vacances pourraient réserver des surprises dans l’Allier. A partir de ce vendredi, les automobilistes vont devoir s’organiser s’ils veulent éviter une amende pour emprunter l’A79, première autoroute payante sans barrière de péage de France. Cette autoroute longue de 80 kilomètres traverse le département d’Ouest en Est, pour relier Montmarault (Allier) à Digoin (Saône-et-Loire). Cette expérimentation, menée jusqu’en 2025, se substitue à la route nationale 79 qui était en travaux depuis deux ans. Mis en place depuis longtemps à l’étranger, ce type d’autoroutes en «flux libre» est appelé à se généraliser dans les prochaines années. Libération fait le point.

Le «flux libre», c’est quoi ?

          Concrètement, les usagers pourront passer au péage sans ralentir ni s’arrêter, en passant sous six portiques. Il s’agit des mêmes structures que ceux qui avaient été installés pour l’éphémère écotaxe poids lourds, entre 2014 et 2017.

          Ils sont dotés de capteurs ainsi que de trois caméras par sens de circulation, dont la bande d’arrêt d’urgence, pour identifier les véhicules, précise sur son site le groupe des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR) qui gère ce tronçon. A l’extrémité du portique, une autre caméra évaluera la longueur du véhicule et le nombre d’essieux.

          A noter que ces caméras ne serviront pas à scruter la vitesse des véhicules, y compris en cas de non-respect des vitesses autorisées : «Ce qui intéresse le concessionnaire c’est le véhicule en lui-même, ainsi que sa plaque minéralogique», assure APPR.

Comment fonctionne le paiement ?

          Les automobilistes disposeront de plusieurs façons de s’acquitter de la douloureuse. La solution la plus simple est de se procurer un badge de télépéage classique, quel qu’en soit le fournisseur. Auquel cas, le prélèvement est automatique.

          Il sera également possible de payer sur le site de la nouvelle autoroute, soit en enregistrant une fois pour toutes son numéro d’immatriculation et ses coordonnées bancaires, soit en réglant chaque passage. Sinon, dernière possibilité : 16 bornes installées notamment sur des aires de l’autoroute, qui permettront de payer en carte ou en espèces.

          « Le client a 72 heures pour régler son trajet», souligne Pierre Méau, directeur clientèle adjoint des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), le groupe qui gère ce tronçon. Faute de quoi, une amende de 90 euros viendra s’ajouter au montant du péage, et même 375 euros sans règlement dans les soixante jours. L’exploitant aura accès au fichier des plaques d’immatriculations européennes. « C’est bien le propriétaire du véhicule qui sera redevable en cas de problème de paiement», et non le conducteur, rappelle d’ailleurs le groupe APPR.

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> ZFE : tout se met en place pour ostraciser un peu plus les pauvres hors des villes

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ZFE : Zones à Faibles Émissions

 

ZFE : des sanctions automatiques et un objectif crapuleux

          Comme le mentionnait un précédent billet d’il y a seulement quelques mois, tout se met en place pour (enfin !) ostraciser un peu plus les pauvres hors des villes.

          Oui, vous avez bien lu : avec l’implantation de ces “Zones à Faibles Émissions”, les voitures “polluantes” seront interdites ♩ ce qui garantira ♪ enfin des villes propres ♫ à l’atmosphère respirable ♬ puisque c’est, du reste, le but affiché très officiellement.

          Bien évidemment, par “faible émission”, on n’entend pas “faible émission d’âneries” ce qui garantirait la disparition d’un paquet d’écologistes boboïdes de ces mêmes centres ville, mais bien “faible émission de dioxyde de carbone” qui, comme chacun le sait, est un abominable polluant sans lequel le climat serait hypothétiquement plus froid et la Terre certainement sans vie.

          Et pour s’assurer que ces zones seront bien respectées, on apprend – par le truchement d’un de ces comités ministériels froufroutant – la mise en place d’un système de “contrôle sanction automatisé” contre les véhicules ne répondant pas aux normes ubuesques des agglomérations concernées par le dispositif, d’ici au second semestre 2024.

          Autrement dit, si votre véhicule n’a pas sa petite vignette truc-bidule et son petit contrôle machin-chouette à jour, si son constructeur ne peut pas garantir que son moteur n’est pas finement syntonisé avec Gaïa pour une parfaite harmonie de déplacement éco-conscient, alors vous allez vous prendre prune sur prune ce qui, à 750 euros la prune, risque de vite calmer les ardeurs des artisans, professions libérales, livreurs et autres taxis un peu foufous qui se risqueraient encore à venir travailler dans ces Zones devenues de Faible Intérêt Économique.

          Bien évidemment, pour “accompagner” cette pluie drue de coups de massue écolo-punitifs, le gouvernement fait mine d’aider les particuliers à “transitionner”, ce nouveau mot à la mode qui permet indistinctement de changer d’opinion politique, de sexe ou maintenant de moteur de voiture : des aides de plusieurs milliers d’euros d’argent gratuit en provenance directe de la poche des autres sont donc prévues pour aider à l’acquisition rapide de voitures électriques afin d’inciter même les gueux pauvres à se tourner vers ces engins.

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> 14 euros par smartphone : un rapport pointe les zones d'ombre de la redevance copie privée

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          L’Inspection générale des finances et l’Inspection des affaires culturelles multiplient les critiques contre un système qui coûte 300 millions d'euros par an aux Français.

          Payer 14 euros pour avoir le droit de copier manuellement le contenu d'un CD sur son smartphone a-t-il encore un sens en 2022? Autour de cette épineuse question de la redevance pour copie privée, l’Inspection générale des finances (IGF) et l’Inspection des affaires culturelles (IGAC) voudraient davantage de transparence, expliquent-elles dans un rapport évoqué par le site l'Informé. Un document de plus de 300 pages, que Tech&Co a également pu consulter.

          Pour rappel, la redevance pour copie privée, instaurée en France en 1985, consiste à faire payer les acheteurs de supports de stockage (cassettes, CD, puis smartphones) pour avoir le droit de réaliser des copies à usage personnel, par exemple sur un lecteur MP3 pour écouter un morceau en déplacement. Mais la situation actuelle fait face à un paradoxe de taille : alors que les usages ont évolué, cette redevance n'a jamais autant rapporté aux ayants droit : environ 300 millions d'euros chaque année.

Des études biaisées

          Et pour cause, le principal appareil touché par cette redevance n'est autre que le smartphone. Pour les modèles dont la capacité de stockage est égale ou supérieure à 64 Go (la majorité des smartphones vendus en France), le client doit débourser la somme de 14 euros, comprise dans le prix affiché.

          Pour justifier cette redevance, la Commission pour la rémunération de la copie privée s'appuie sur des études d'usage, financées par les ayants droit eux-mêmes. Selon le rapport, ces études, qui visent à interroger un panel de Français pour comprendre leurs usages, souffrent de lacunes importantes, avec des questions trop complexes et des échantillons bien moins importants que chez nos voisins européens. Le tout avec une méthodologie qui n'a pas été mise à jour depuis 2012 et des données datées.

          "Les études d’usages qui fondent les barèmes des principaux supports reposent sur des données d’usages datant au mieux de 2017 ou 2018 et sont donc anciennes au regard de l’évolution rapide des pratiques de consommation", tacle ainsi le rapport, qui souligne que les recettes de cette redevance pourraient "atteindre 380 millions d'euros à court terme".

          Les deux inspections pointent également l'opacité autour de ces études censées justifier l'application de cette redevance, qui ne sont pourtant pas rendues publiques. A tel point que la publication systématique de telles études est la toute première proposition du rapport.

Les Français les plus "taxés"

          De façon générale, le rapport pointe les biais de ces études afin de les rendre artificiellement favorables aux ayants droits. Comme le rappelle l'Informé, les ayants droit veulent inclure les téléchargements des internautes utilisant des plateformes de streaming comme Deezer ou Spotify comme exemples de l'application du système de copie privée.

          Problème : ces téléchargements ne concernent pas la copie privée, dans la mesure où l'utilisateur paie déjà son abonnement pour obtenir ce service d'écoute hors-ligne, et ne peut donc être facturé deux fois, rappellent l’Inspection générale des finances (IGF) et l’Inspection des affaires culturelles (IGAC).

          Malgré l'évolution des usages, le gouvernement avait toutefois choisi de soumettre les smartphones reconditionnés à cette redevance pour copie privée en 2021, au grand dam du secrétaire d'Etat au Numérique de l'époque Cédric O.

          Si le sujet est aussi sensible, c'est que les ayants droits français sont les plus gourmands de l'Union Européenne. D'après les chiffres rappelés dans le rapport, un Français payait 4,1 euros par an pour la copie privée en 2018, contre 4 euros pour un Allemand, et 50 centimes pour un Suédois. (Raphaël Grably) - source -

Pourquoi se gêner ? Lorsque l' "on" a l'oreille des gouvernements successifs et surtout de leurs ministres de la culture... Cerise sur l'arnaque, c'est l'ayant-droit ( ou l'entreprise ) lui-même qui fait les études, c'est une ineptie très favorable à l'ultra-libéralisme au préjudice des populations.

Et, tant qu'à faire, ils ont réussi à taxer aussi les produits numériques reconditionnés : Les smartphones reconditionnés devront payer deux fois la taxe Copie Privée (...) À commencer par la taxe Copie Privée, qui sera désormais applicable à tous les appareils numériques, même en cas de reconditionnement. Jusqu’à présent, cette redevance imaginée en 1985 s’appliquait à tous les appareils numériques, smartphones, tablettes, ordinateurs, mais aussi disques durs et clés USB vendus à l’état neuf. Cette taxe, comprise entre 12 et 14€ (pour un smartphone) permettait aux ayants droit des œuvres musicales de toucher une compensation financière, en contrepartie de quoi les utilisateurs et utilisatrices privés étaient autorisés à réaliser des copies desdites œuvres à titre privé.

Sauf qu’en plus de coûter cher au contribuable (172 millions d’euros en 2019, soit 70% des recettes liées à cette redevance rapporte Copie France), cette taxe semble surtout complètement obsolète aujourd’hui, à l’heure où les services de streaming légaux représentent la plupart de nos habitudes d’écoute. Dans le cadre du texte de loi adopté cette semaine par le Sénat, les députés ont pourtant confirmé l’adoption de cette redevance pour les appareils reconditionnés. Concrètement, un smartphone devra s’acquitter deux fois de la taxe Copie privée : une première fois au moment de sa vente à neuf — 14€ pour un modèle 64 Go ou plus — et une seconde fois en cas de reconditionnement, cette fois à hauteur de 8,40€ (toujours pour 64 Go ou plus).

Les smartphones seront donc taxés deux fois (jusqu’à 22,40€) pour donner le droit aux utilisateurs d’écouter des MP3 téléchargés (ce que plus personne ne fait). (...) - source -

> le phénomène incel

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          La sous-culture incel (néologisme et mot-valise de langue anglaise pour involuntary celibate, célibataire involontaire en français) désigne la culture des communautés en ligne dont les membres se définissent comme étant incapables de trouver une partenaire amoureuse ou sexuelle, état qu'ils décrivent comme célibat involontaire ou inceldom. Ceux qui se déclarent incels sont en majorité des hommes cisgenres et hétérosexuels. Généralement, les femmes incels sont appelées femcels.

          Les discussions dans les forums incel sont caractérisées par le ressentiment, la volonté d'apitoyer, la misogynie, la misanthropie, la promotion de la violence contre les femmes et les hommes épanouis sur le plan sexuel, et le sentiment que le sexe devrait être un dû et que le refuser à certains hommes est injuste.

          Le Southern Poverty Law Center a décrit cette sous-culture comme « faisant partie de l'écosystème du suprémacisme masculin en ligne » et affirme que des personnes considérées comme incels ont commis plusieurs tueries de masse en Amérique du Nord et en Europe. Cette communauté a attiré l'attention sur elle après que plusieurs tueries (une douzaine de meurtres dont au moins six meurtres de masse) ont été commises entre 2014 et 2020 par des hommes qui se déclaraient incels et qui étaient marqués par une idéologie d'extrême droite. (...)

          Les personnes se déclarant incels sont majoritairement des hommes hétérosexuels. Ils sont décrits comme des personnes plutôt jeunes. Principalement implantés aux États-Unis, les incels se comptent par centaines de milliers selon certains auteurs. Certaines statistiques montrent que dans les pays marqués par un excédent d'hommes par rapport aux femmes, l'instabilité et la violence, en particulier contre les femmes sont plus élevées.

          Si la majorité des incels sont blancs d'après le Washington Post, les minorités ethniques sont aussi représentées. Le racisme influence souvent l'idéologie incel, de façon différente selon les individus. Certains incels estiment que leur appartenance ethnique, en particulier asiatique, est la cause de leur sort et qu'ils sont victimes de racisme. Le tueur d'Isla Vista Elliott Rodger, qui était métis eurasiatique, fantasmait sur la blancheur et jalousait les succès amoureux des « inférieurs » asiatiques, mexicains et noirs. Certains incels sont aussi des suprémacistes blancs et recherchent une alliance entre les deux groupes. (...)

          Le célibat involontaire n'est pas en soi une pathologie médicale ni psychologique ; toutefois, ceux qui se désignent comme Incels comptent dans leurs rangs des individus atteints de handicap physique ou d'altérations psychologiques. Une étude menée par l'université de Géorgie en 2001 relève que les personnes se qualifiant d'incels tendent à éprouver frustration, dépression et colère, quels que soient les motifs de leur célibat involontaire. Les chercheurs estiment que le célibat involontaire est souvent associé à la dépression, au neuroticisme, à l'anxiété et à des troubles de l'autisme. (...)

          Les croyances qui sont courantes dans les communautés incel, comme le fatalisme et le défaitisme pour les personnes peu attirantes, sont collectivement appelées la « pilule noire » (« black pill »). Beaucoup d'incels de sexe masculin croient aussi que la société moderne est gynocentrique et que les femmes sont prédisposées à l'hypergamie.

          Le concept de la « pilule noire » distingue les incels du mouvement des droits des hommes et leur référence populaire à la pilule rouge, allusion au dilemme du film Matrix où le protagoniste doit choisir de rester dans un monde d'illusions (prendre la pilule bleue) ou de voir le monde tel qu'il est réellement (prendre la pilule rouge). Dans le contexte de l'activisme des droits des hommes, « prendre la pilule rouge » signifie voir un monde où les femmes détiennent le pouvoir sur les hommes. Par comparaison, le psychothérapeute Sam Louie interprète la « pilule noire » comme signifiant : « Je vais désormais embrasser la violence, la haine et la misogynie ». Le forum incel r/Braincel déclare qu'une « pilule noire » est : « Un terme subjectif utilisé pour décrire les compréhensions socialement tacites - qu'elles soient réelles ou perçues - qui découlent du fait d'être un incel depuis longtemps ». (...)

          Selon C. Emba, chroniqueuse du Washington Post, le phénomène incel est un symptôme sociétal, l'aboutissement d'« une culture qui utilise de plus en plus le sexe comme marqueur de succès, tout en perdant la connexion humaine et en lui substituant Internet ». Selon elle, il ne suffira pas d'enseigner à ces hommes comment se déconnecter et trouver des petites amies, ni de leur rappeler que la misogynie est une mauvaise voie, il faut en traiter les causes sociétales profondes.

          Une étude conclut que la violence incel devrait être considérée dans ses liens avec d'« autres attaques misogynes telles que les féminicides et la violence sexuelle ; et dans le cadre d'une vague plus large de violence d'extrême droite, représentant ensemble une menace actuelle digne de plus de recherches sur la paix ». - source -

 

J'ai rencontré pas mal d'incels au Maroc, en particulier des jeunes hommes de 25/30 ans qui estimaient qu'ils ne trouvaient pas de filles parce que celles-ci étaient accaparées par les européens riches...

> un pognon de dingue ?

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          Cette réflexion macroniste n’est pas près d’être oubliée, sauf que, par un effet boomerang, elle revient en force pour illustrer plusieurs cas de figure mettant en porte-à-faux la pensée présidentielle.

On se souvient que c’est au sujet des aides sociales que Macron s’était énervé lors d’une interview, et avait lâché cette phrase : « un pognon de dingue ».

Mais qu’en est-il réellement ?

          Certes, le chiffre est important, puisqu’il se monte à 33 milliards d’euros, partagés entre l’aide sociale à l’enfance (8 milliards), l’aide aux personnes âgées (7,4 milliards), aux personnes handicapées (8 milliards), et à l’insertion dont le fameux RSA. Celui ci coûte donc au pays environ 11 milliards, les 22 autres milliards allant donc aux autres aides (personnes âgées, handicapées, enfance), mais dans la pensée macroniste, c’est le RSA qui était principalement visé, car on voit mal un président de la république contester l’aide aux handicapés, à l’enfance, et aux personnes âgées.... Sauf que, si la dépense nette provoquée par cette aide à l’insertion, est en légère augmentation (+7%) l’état n’a pas pour autant augmenté sa participation, laissant la charge la plus lourde aux départements, provocant une augmentation bien plus importante pour ceux-ci (+15%)...

          Or le 20 octobre dernier, le journal « les échos », assurait que l’assurance chômage allait dégager, d’ici 2024, 13 milliards d’excédents... un autre pognon de dingue donc, gardé jalousement et discrètement par Bercy. Ce qui n’empêche pas le gouvernement de prendre des mesures qui vont faire baisser drastiquement le versement des allocations chômage... lesquelles, rappelons-le, sont payées par le patron et l’état (avec nos impôts) ce dernier ayant remplacé la part payée auparavant par le salarié.

Le journal Capital a établi une liste de gaspillages d’état qui nous ont coûté des milliards d’euros... un pognon de dingue, donc.

On savait que McKinsey et Cie avait couté à l’état en 4 ans des sommes faramineuses (plus de 2,4 milliards d’euros), mais ce n’est hélas pas tout...

De l’Hôtel de Région de Clermont-Ferrand (14 millions d’euros), aux 201 millions d’euros du Louvre à Lens (lequel ne rapporte que 2,7 millions de recettes pour 16 millions de dépense), en passant par les 2,6 millions généreusement accordés pour fêter le bicentenaire de la Caisse des dépôts, ou les 346 millions gaspillés pour le logiciel ONP, lequel devait gérer la paie des fonctionnaires ministériels, projet abandonné.

On pourrait aussi évoquer la découverte faite par la Cour des Comptes pointant du doigt la perte d’1,2 milliard d’euros liés à trop de congés supplémentaires accordés au personnel des élus.

Et quid du projet Lyon-Turin, lequel engagerait plus de 30 milliards d’euros sans la moindre perspective de rentabilité, tout en mettant à mal l’environnement Rhonalpin et italien ?

          La liste du vrai « pognon de dingue », gaspillé par le gouvernement, ou les régions est si longue qu’elle donne régulièrement naissance à des ouvrages sur la question.

          En février dernier, l’association « Contribuable associés », a publié « le livre noir des gaspillages 2022 » : frais de bouche faramineux, constructions publiques avortées, installation sportives démesurées... On y apprend par exemple que les dépenses pour frais de bouche d’une quinzaine de conseillers du ministère des outre-mers ont dépassé, en 3 ans, les 700 000 euros, soit près de 16 000 euros par mois.

          Mais, au passage, il ne faudrait pas oublier le « pognon de dingue » que le chef de l’état distribue à gauche ou à droite (surtout à droite) aux uns et aux autres.

          Peu avant l’élection présidentielle récente, il n’y est pas allé avec le dos de la cuillère quitte à énerver Valérie Pécresse, qui l’a carrément accusé de « cramer la caisse ». Ces cadeaux mirifiques étaient évidemment liés à la campagne qui s’ouvraient, et ils ont été comptabilisés par Xavier Bertrand « entre 5 et 7 milliards d’euros », ajoutant « Emmanuel Macron fait campagne avec le chéquier de la France ».

          En effet, la distribution du « pognon de dingue » est parti de tous les côtés avant le 2ème mandat : de Véran qui octroie 21 millions d’euros par an pour toutes les contraceptions féminines pour les françaises de moins de 25 ans, aux 600 millions d’euros par an pour les agriculteurs dans le cadre d’une « assurance récolte », en passant par des cadeaux aux 3 millions de travailleurs indépendants, ou aux 2 milliards supplémentaires pour « ma prime rénov », au 1,4 milliard distribué aux « force de l’ordre », dans le cadre du « plan police 2022 », ou même au joli chèque d’1,5 milliard pour « Marseille en grand », les cadeaux se sont multipliés à cette époque.

Au moment où la macronie assure qu’il faut changer la donne sur les retraites, ça ne manque pas de piment.

          En attendant, le petit président qui se prend pour Jupiter, accumule les discours flagorneurs parsemés de promesses intenables, juste destinées à tenter de calmer la colère qui monte.

          Contre la crise énergétique qui perdure, ils ont la solution : « col roulé et boudin de porte », comme à l’époque ou face au virus, ils avaient la solution masque pour tous, alors que nous le savons aujourd’hui, si les masques arrêtent le virus, le caddy devrait être l’outil idéal pour transporter le sable.

          En tout cas, après 5 ans de verticalité du pouvoir, Macron avait promis de changer et d’aller vers la pratique de l’horizontalité et du dialogue...comme on a pu le constater avec l’utilisation du 49/3

         Comme dit mon vieil ami africain : « la connerie n’a pas de couleur, et ne connaît pas de frontières ». ( Olivier Cabanel - source - )

 

Le pognon de dingue versé aux entreprises en 2001 et 2002 - qui leur a permis, pour beaucoup, de goinfrer leurs actionnaires - a été emprunté auprès des banques ravies. Pour payer ces énormes nouvelles dettes, les aides sociales, retraites, services publics qui trinquent déjà vont encore être ponctionnés jusqu'à l'os... Tout cela relève bien entendu des directives connues ou cachées de cette union européenne de merde aux mains des marchands.

> Quel est le meilleur bois de chauffage, celui qui dure le plus longtemps ?

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          Le chauffage au bois est encore le plus économique cette année, mais toutes les espèces de bois n'ont pas les mêmes pouvoirs !

          En cette fin du mois d’octobre, les températures sont encore très hautes et vous profitez encore de déjeuners en terrasse… C’est une mauvaise nouvelle pour l’environnement, mais plutôt une bonne pour votre porte-monnaie, car pendant ce temps, vous ne dépensez pas d’argent pour vous chauffer. En toute logique, cela ne devrait plus durer très longtemps, même si nous ignorons ce que nous réserve la météo. Le dicton Noël au balcon, Pâques aux tisons se vérifiera-t-il cette année ? Quoi qu’il en soit, si vous vous chauffez au bois, des espèces de bois sont plus efficaces et plus économes que d’autres. On vous explique quels bois choisir pour optimiser votre poêle à bois !

Comment optimiser le rendement du bois ?

          La première des choses à savoir concerne l’âge de votre bois. Si vous brûlez un bois de chauffage trop jeune, il sera donc trop vert et trop chargé en humidité. Le résultat sera qu’il chauffera beaucoup moins, et qu’il dégagera beaucoup de fumées. Un bois sec, de deux à trois ans d’âge, sera ainsi plus économe et plus efficace surtout. À l’inverse, un bois trop vieux, sera, lui, bien sec, mais justement trop sec et votre tas de bois risque de fondre rapidement… La seconde des choses à savoir concerne le stockage de votre tas de bois. Il faut l’entreposer à l’abri de la pluie, de préférence contre un mur, ou sous un abri à bois, conçu pour l’occasion. Pensez à laisser un espace entre le bois et le mur afin que le bois puisse être aéré… Si vous ne disposez pas d’abri à bois, recouvrez-le d’une bâche pour le protéger de la pluie. Enfin, il vous faudra choisir un bon « non traité », afin d’éviter les émanations de lors de la combustion.

Quel bois choisir ?

          Pour allumer votre feu, vous pouvez choisir des allume-feux en laine de bois, de petits morceaux de cagettes de légumes récupérées, du pin, du sapin, du douglas, donc des résineux qui brûlent rapidement. Une fois votre feu allumé, les meilleurs bois de chauffage sont le frêne, le hêtre, le chêne, l’érable ou le merisier, des bois durs qui « prendront le temps » de brûler et se consumeront lentement en dégageant une belle chaleur enveloppante. Le frêne est un bois qui crépite, quand le chêne produit de magnifiques braises, idéal pour garder un feu la nuit par exemple. Le bois comme moyen de chauffage est encore le combustible le moins cher en comparaison du gaz, du fioul ou de l’électricité. Mais, impossible de savoir si cette tendance se vérifiera dans les années à venir, car de plus en plus plébiscité, le bois augmente fortement.

          Le chauffage au bois en bûches représente 70 % des appareils de chauffage. Cependant, la tendance de ces dernières années est au poêle à pellets, qui connaît un succès fulgurant, même si, cette année, trouver du pellet de bois s’avère compliqué… Ce système de chauffage à granulés semble plus rentable que le poêle à bois, avec un rendement de 85 % pour les poêles normés Flamme Verte, contre 75 % pour les poêles à bois classiques. Quel que soit votre choix, veillez toujours à choisir des bois certifiés « NF Bois de chauffage » et des pellets « NF Granulés Biocombustibles ».

          Ensuite, gare aux arnaques sur internet, elles sont nombreuses en ce moment ! Quant au prix, la bûche revient un peu moins chère que le pellet de bois avec un prix moyen de 0,045 €/kWh contre 0,070 €/kWh pour les granulés de bois en vrac. Soit 48 à 78 € / MWh pour le bois, ou 73 à 103 € / MWh pour les granulés… Un système de chauffage au gaz ou électrique tourne autour de 84 à 154 €/MWh, en temps normal… Les hausses de prix attendues pourraient faire changer la donne d’ici peu ! - source -