l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Le journalisme français est l'art de faire croire au peuple ce que le gouvernement juge opportun de lui faire admettre - Heinrich Von Kleist

> bientôt un crédit d’impôt pour soutenir l’industrie verte financé, notamment, par le déplafonnement du malus automobile

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          Les entreprises qui investiront dans le photovoltaïque, l’éolien, les batteries électriques et les pompes à chaleur pourront bénéficier d’un crédit d’impôt.

          Il y a quelques semaines, le gouvernement a présenté son plan en faveur de l’industrie verte dont l’ambition est de placer la France en leader européen dans ce domaine. Parmi les mesures dévoilées, figure un crédit d’impôt « investissement industries vertes » (C3IV) à destination des entreprises qui s’engageront dans les secteurs contribuant à la décarbonation de l’économie.

          À noter : selon le gouvernement, d’ici 2030, le plan « industries vertes » devrait permettre de réduire l’empreinte carbone de la France de 41 millions de tonnes de CO2, de réaliser 23 Md€ d’investissements et de créer 40 000 emplois directs.

Pour quelles entreprises ?

          Les entreprises éligibles à ce futur avantage fiscal seront celles, établies en France, qui réaliseront des investissements corporels (terrains, bâtiments, installations, équipements, machines…) ou incorporels (brevets, licences, savoir-faire…) nécessaires à la production de batteries électriques nouvelle génération ou de composants clés de batterie, de panneaux solaires, d’éoliennes ou de pompes à chaleur.

Quel montant ?

          Le taux du crédit d’impôt investissement industries vertes pourra aller de 20 à 45 % du coût de ces investissements.

          Ce crédit d’impôt, dont le coût est évalué à 500 M€ par an, sera financé, notamment, par le déplafonnement du malus automobile (actuellement limité à 50 % du prix du véhicule) et la révision de ses critères (poids du véhicule, émission de CO2) ainsi que par le verdissement des flottes des entreprises, notamment par une hausse des taxes sur les émissions de CO2 et sur l’ancienneté des véhicules.

          Précision : la mesure instaurant ce crédit d’impôt sera inscrite dans le projet de loi de finances pour 2024. À suivre donc… - source -

23 milliards d'€ ! Les banques et fonds de pensions américains vont se goinfrer ! Quant aux emplois directs, combien d'emplois seront supprimés dans les garages automobiles ? 2, 3 fois plus ?

(...) Bruno le Maire s’est également exprimé sur une possible évolution du malus au poids. Actuellement, la TMOM (taxe sur la masse en ordre de marche), calculée d’après la masse du véhicule selon la norme CE, s’élève à 10 €/kg au-delà de 1 800 kg. Elle se cumule avec le malus sur le CO2, mais la somme des deux taxes ne peut excéder 50 000 € ou 50 % du prix du véhicule. Ce plafonnement pourrait être supprimé et le poids minimum d’application de la TMOM, abaissé. « Nous proposons d’abaisser le seuil à 1,7 ou 1,6 t. Nous proposons de mettre fin au plafonnement du malus automobile à 50 % de la valeur du véhicule, là aussi pour financer ce crédit d’impôt » (...) - source -

(...) Bercy ne lésine pas sur les efforts et compte jouer sur plusieurs leviers dont la majorité devraient se révéler peu populaires aux yeux des automobilistes français. Il faut dire que pour ces derniers, tout devient compliqué, entre les prix d’achat qui augmentent considérablement, les primes d’assurances en hausse, les coûts d’entretien, le prix des carburants toujours assez hauts ou encore les prix des péages, malgré un pseudo geste des concessions autoroutières. Peu importe, l’automobiliste doit payer, ou remplacer sa voiture par un vélo ou les transports en commun… nombreux à la campagne. (...) - source -

 

> 2,9 milliards pour la multinationale ST-Microelectronics

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          Les puces électroniques sont plus assoiffées que le Capitaine Haddock en pleine traversée du désert. C’est ce que semble avoir oublié Bruno Le Maire, qui a accordé une enveloppe de 2,9 milliards d’euros à ST-Microelectronics pour l’extension de ses usines à Crolles (Isère). Comme le rappelle « Libération » (6/6), le groupe ST a consommé l’an dernier « 4,5 millions de mètres cubes » d’eau, et son voisin Soitec, « 1 million de mètres cubes ». Certes, les nappes locales, « alimentées par les rivières du massif des Ecrins, fournissent une eau très pure, idéale pour la fabrication des puces », mais les capacités de pompage ont atteint leurs limites, alertent les élus locaux.
          Boire ou produire des semi-conducteurs, il va falloir choisir...

4,5 millions de m3 correspond environ à la consommation d'eau des ménages d'une ville comme Quimper, Bourges, Calais ou Troyes !

          D'où viennent et où sont partis les 2,9 milliards d'euros donnés par Bruno Le Maire ? Le groupe ST-Microelectronics ( wikipedia ) est une multinationale franco-italienne de droit néerlandais qui conçoit, fabrique et commercialise des puces électroniques. Elle est l'un des tout premiers acteurs mondiaux du secteur économique de la production de semi-conducteurs. En septembre 2017, le groupe réintègre le CAC 40 après être sorti de l'indice quatre ans auparavant. Les deux premiers actionnaires de STMicroelectronics sont BPI France et l’État Italien (27,25%), suivis du fonds de pension américain Capital Group Companies (4,25%). Le groupe est coté en bourse en Europe et à New York. Son siège est situé à Plan-les-Ouates, près de Genève, en Suisse.

Bpifrance est une banque publique d'investissement française, directement supervisée par la Banque centrale européenne. Ses ressources proviennent en majorité des marchés financiers et d'investisseurs privés, même si son capital est détenu par la Caisse des dépôts et l'État.

> Et pendant ce temps-là, en Pologne, très très amie avec les américains, au détriment des autres pays de l'union européenne de merde : Semi-conducteurs : Intel réalise « le plus important investissement de l’histoire de la Pologne ». Les dirigeants du fabricant américain de semi-conducteurs Intel et du gouvernement polonais ont annoncé conjointement un investissement de 4,2 milliards d’euros dans la région de Basse-Silésie vendredi (16 juin), à la suite du lancement l’année dernière d’un plan d’investissement massif couvrant l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Espagne, l’Italie et l’Irlande. (...) - source -

 

> l'eau : droit, besoin ou marchandise ?

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          Considérer l’accès à l’eau comme un droit humain et social de base « aurait entraîné des obligations trop contraignantes pour la “liberté” des acteurs, notamment privés », expliquait en 2000 l’économiste et politiste Riccardo Petrella. C’est pourquoi, dans son « plan eau » présenté à Savines-le-Lac, le 30 mars dernier, cinq jours après le rassemblement de Sainte-Soline, le président Emmanuel Macron se garde bien d’évoquer un droit, mais se contente de parler d’un besoin dont nous nous serions habitués « à ne plus vraiment payer le vrai prix ».

          Cette conception a été rendue possible par la marchandisation croissante de l’eau et la privatisation des services publics. (...) - source -

article [ Dossier eau ] du Monde Diplomatique de juin 2023, malheureusement non public... A quand la privation de l'air ?

 

> Fac privée vendue comme une savonnette

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          " Tu es un peu déçu par tes résultats de Parcoursup ? Eh bien, sache-le, il existe une nouvelle institution d'enseignement supérieur, Atouts+, qui propose une formation en trois ans, niveau licence (...). J'ai consacré ma vie à l'enseignement supérieur : j'ai dirigé l'Ecole normale supérieure, j'ai présidé [l’université] Paris Sciences et Lettres (...). Atouts+, c'est précisément la formation qui répond [aux] nouveaux besoins, et qui te donnera pour toute la vie une confiance inébranlable. »

          C’est en ces termes que la philosophe Monique CantoSperber s’est exprimée, le 9 juin, dans une vidéo postée sur Twitter. Et cette spécialiste de Platon a fait preuve d’une insigne sagesse en s’abstenant de mentionner le montant des frais annuels de scolarité. Le site Internet de ce « premier “libéral arts collège” (université d’arts libéraux) à la française » n’a pas cette pudeur, lui, qui précise : « Au maximum 12 900 euros annuels. » Et, en moyenne, 10 000. C’est donné !

Diplôme en bois

          Pas de panique : à l’ouverture des portes (en septembre prochain) de cet établissement « d’excellence » privé, 40 % des élèves seront exemptés de frais de scolarité, et « l’idéal [serait d’atteindre] les 50 % », assure Monique Canto-Sperber au « Canard », même si « tout dépend des mécénats que nous obtiendrons ».

          Quelle structure chapeautera l’école ? Une association loi 1901 à but non lucratif, uniquement financée par des dons défiscalisés et les frais d’inscription, « les éventuels bénéfices servant à financer des bourses d’étudiant ».

          Sis à Paris, l’établissement proposera un « bachelor » biingue français-anglais en trois ans, au sein de trois filières distinctes : « Humanités du XXIe siècle », « Economie, data et sciences sociales », et « Mathématiques, informatique, sciences ». Précision anodine : le diplôme qu’il délivre n’est pas encore reconnu par l’Etat et n’offre donc pas d’équivalence universitaire. « Il faut que les enseignements puissent avoir lieu une année au moins pour être expertisés », précise Canto-Sperber.

           Président de l’université Bordeaux-Montaigne, Lionel Larré ne s’est pas privé de la pasticher dans une vidéo sur Twitter, le 10 juin : « Tu es un peu déçu par ton école privée super chère aux diplômes qui ne valent rien ? Eh bien, sache-le, il existe une très vieille institution d'enseignement supérieur : l'université publique (...). L'université (...), tu y développeras un esprit critique, une capacité à affronter les nouveaux défis sociétaux, et tout ça pour quasiment pas un rond. »

          Ça, c’est de la rhétorique à la Platon ! - Clara Bamberger -

Excellent article !

 

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> du blé plein les poches

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          Faire du blé en spéculant sur les matières premières agricoles n'a jamais été aussi profitable. L'américain Cargill, le plus grand négociant agricole du monde, a engrangé l'année dernière 6,6 milliards de dollars de bénéfice, du jamais-vu au cours de ses 157 ans d'existence. Les cargaisons de ses 700 navires de fret, qui sillonnent en permanence les mers du globe, peuvent changer plusieurs fois de propriétaire en fonction des fluctuations du prix du fioul, des taux de change et, surtout, des cours de Bourse.

          La flambée des prix provoquée par la guerre en Ukraine, à laquelle s'ajoute le réchauffement climatique, qui, en bouleversant la régularité des récoltes d'une année sur l'autre, favorise la spéculation, fait le bonheur des quatre plus gros tradeurs de céréales. Les « ABCD », comme on les nomme, contrôlent entre 70 et 90 % du commerce mondial du blé, du maïs et du soja.

          Derrière ces quatre lettres se cachent Cargill ( 165 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2022) ; Archer Daniels Midland (101 milliards de dollars), également américain, qui vient lui aussi d'empocher un bénéfice record (4,34 milliards de dollars) ; et les deux derniers de la bande, un américain et un français, qui ne rendent pas publics leurs bénéfices au prétexte qu'ils ne sont pas cotés. Tout ce que l'on connaît d'eux, c'est leur chiffre d'affaires : 67 milliards de dollars pour Bunge et 30 milliards pour Dreyfus Company.

          L'ONG Foodwatch vient de mettre les pieds dans le plat avec un rapport sur les dessous de la spéculation alimentaire. On y apprend, par exemple, qu'en juin 2022 près de 70 % des achats sur le marché du blé ont été effectués par des banques, des fonds d'investissement ou des assurances, essentiellement à des fins spéculatives.

          Et l'association de dénoncer l'extrême opacité de ces transactions. Les échanges de céréales sur le marché boursier européen, géré par Euronext, peuvent atteindre plusieurs dizaines de fois les volumes réels de marchandises existantes sans que l'on connaisse l'identité des intervenants. Afin d'y voir plus clair et de s'assurer que les mastodontes du négoce de matières premières agricoles ne profitent pas de leur position de quasi-monopole pour faire grimper artificiellement les coûts, le Parlement européen vient de commander une étude pour évaluer le poids réel des ABCD sur la fluctuation du prix des céréales en Europe. Voilà du grain à moudre...

Étonné ? Pas du tout ! La mondialisation, organisée par la finance et leurs amis, a pour seul but de financiariser absolument TOUT pour faire des profits de plus en plus gigantesques. Les États, entre leurs mains, pratiquent la politique du laisser-faire. Comme pour les banques et le crash des subprimes de 2008, un méga-crash céréalier est évidemment à prévoir...

 

💩 fin des tarifs réglementés du gaz : mode d’emploi pour les millions de consommateurs concernés

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          La mesure instaurée en 1946 disparaîtra le 1er juillet 2023, pour respecter la concurrence européenne. Un quart des consommateurs de gaz français devra changer de contrat en conséquence.

          A partir du 1er juillet, le tarif réglementé du gaz sera supprimé et ceux qui en bénéficient encore devront basculer sur une nouvelle offre. Un changement qui inquiète de nombreux ménages alors que leur facture énergétique a déjà considérablement augmenté depuis plus d’un an. Libé vous accompagne pour y voir plus clair.

Qu’est-ce que le tarif réglementé du gaz ?

          Instauré en 1946, le tarif réglementé du gaz (TRG) est déterminé par les autorités publiques, en prenant en compte les recommandations de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Il reflète les coûts d’approvisionnement supportés par les fournisseurs sur les marchés de gros, les frais de stockage, les dépenses de transport et les taxes. Ce mécanisme, réévalué chaque mois, vise à prévenir toute augmentation abusive des tarifs.

Pourquoi est-il supprimé ?

          En 2017, le Conseil d’État a conclu que le tarif réglementé était contraire au droit européen de la concurrence. La loi énergie-climat, adoptée en 2019, a ainsi officialisé sa suppression au 1er juillet 2023. Depuis la promulgation du texte, il n’est plus possible de souscrire à de nouveaux contrats au tarif réglementé. Toutefois, les clients ayant signé un contrat avant cette date ont la possibilité de le maintenir jusqu’au 30 juin.

Qui est concerné ?

          La fin de la mesure concerne plus de 2,6 millions de ménages, de petites copropriétés ou d’immeubles sociaux. Soit 25 % des consommateurs de gaz. Auxquels il faut ajouter 3 millions de Français qui détiennent un contrat indexé sur le tarif réglementé. Si son prix est déterminé par le fournisseur, il est ajusté en fonction des variations du tarif réglementé.

          Les titulaires d’un contrat réglementés ont reçu plusieurs courriers, de la part de leur fournisseur ou du gouvernement, les invitant à choisir une nouvelle offre. Pour ceux ayant souscrit à une offre de marché indexée sur le tarif réglementé, le ministère de la Transition énergétique assure que «de nouvelles clauses tarifaires» seront proposées prochainement.

Quelles sont les solutions proposées ?

          Actuellement, les 2,6 millions de clients concernés ont le choix entre quatre types de contrats :

- L’offre «passerelle» : s’ils n’entreprennent aucune démarche, les clients seront automatiquement transférés vers un nouveau contrat à prix de marché proposé par Engie ou un fournisseur local. Dans cette offre, «l’évolution du prix […] pourra varier chaque mois en suivant l’indice de référence» de la Commission de régulation de l’énergie. Le calcul de ce nouvel indice, publié chaque mois par la CRE, est déterminé en fonction des «variations à court terme des prix de gros» sur le marché du gaz. «Cette offre passerelle reprend globalement les caractéristiques du tarif réglementé, affirme François Carlier, directeur de CLCV, une association nationale de consommateurs et usagers. Pour le moment c’est ce qu’il y a de plus intéressant.»

- Les offres à prix fixe : les fournisseurs proposent un tarif du kilowattheure à prix fixe pour une durée déterminée. Les taxes et le prix de l’abonnement peuvent, eux, évoluer. «L’offre n’est pas forcément intéressante surtout lorsque les prix de gros sont assez bas, rappelle Lucile Buisson, chargée de mission énergie à l’UFC-Que Choisir. De plus, les termes et les prix du contrat peuvent être changés en cas de hausse des cours, en vertu de l’article L224.10 du code de la consommation. Il faut juste respecter quelques critères, comme le signalement de ce changement un mois à l’avance.»

- Les offres à prix variable : la facture fluctue tous les mois selon les cours du gaz, à la hausse comme à la baisse. Si les prix du kilowattheure sont au plus bas depuis mai 2021, ils pourraient très bien repartir à la hausse, en raison d’une forte demande durant l’hiver prochain.

- Les offres indexées sur le prix de référence : les tarifs évoluent en fonction du prix de référence à la même fréquence et dans le respect du niveau d’indexation défini dans le contrat.

Le conseil des associations

          Les associations de consommateurs contactées par Libération préconisent de passer à l’offre «passerelle» dans un premier temps. «Il n’y a aucune raison de se précipiter, le gaz ne sera pas coupé en cas de non-souscription à un contrat avant le 30 juin, rappelle François Carlier. Les consommateurs doivent prendre le temps de comparer les différentes offres avant de faire un choix.»

          Les clients peuvent également consulter le comparateur indépendant du Médiateur en ligne ou celui proposé pour l’UFC-Que choisir. En renseignant les informations sur le logement et la consommation de gaz, ceux-ci accèdent à des estimations basées sur les offres existantes. - source -

 

Encore et suite de la destruction de ce qui faisait la France et les protections de sa population par cette union européenne de merde. Les actionnaires des multinationales vont encore se goinfrer et les populations vont évidemment encore payer de plus en plus cher pour un produit qui sera, n'en doutons pas, de plus en plus merdique !

 

le comparateur de Que-Choisir ( en ligne sur leur site ) > iCi

 

🎨 Gary Tonge, vous connaissez ?

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          Gary Tonge, l'un des concepteurs graphiques les plus connus du Royaume-Uni, a des doigts magiques qui à partir d'une tablette graphique et du seul logiciel photoshop savent créer des paysages et des lieux d'une beauté inégalable : de grands espaces sereins posés sur des horizons aux tons doux et lumineux, des lieux déserts, endormis et offerts au visiteur impromptu. Une harmonie et un équilibre qui se retrouvent dans le site de l'artiste où il laisse découvrir ses œuvres et ses techniques sur un très beau fond spatial. Une invite à la contemplation ...

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