l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



La détérioration de chaque gouvernement commence par la décadence des principes sur lesquels il a été fondé - Montesquieu

> police : enquête sur la formation alarmante aux tirs de lance-grenade Cougar

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          La cellule enquête vidéo du Monde a eu accès à des documents de formation internes de la police nationale. Ils dévoilent comment les policiers français sont formés à effectuer des tirs dangereux, non-respectueux des normes de conception, et dans un cadre légal problématique.

          Zineb Redouane dans son appartement en 2017, le Gilet jaune Manuel Coisne en 2018, Serge Duteuil-Graziani à Sainte-Soline en 2023. Tous ont été touché par un tir de lance-grenade Cougar. La première est morte, le second a perdu son œil et le dernier se trouvait toujours entre la vie et la mort deux mois après sa blessure.

          Arme centrale du maintien de l’ordre en France, le lance-grenade Cougar est pourtant conçu pour éviter des blessures par impact. Il faut pour cela respecter un certain angle de tir, prévu par son fabricant, le français Alsetex.

          L'analyse des documents, des images de 224 tirs réalisés par des policiers, et une modélisation 3D du comportement d’un tir révèle que ce n'est pas le cas de la police française.

 

En macronie, et ailleurs, "ON" estime parcequ'"ON" fait les lois qu'"ON" est au-dessus de celles-ci. Et pour le reste, si ça pose problème, "ON" se fait alors illico presto de belles petites lois rectificatives pour s'autoriser,...

 

> parcoursup : un algorithme élitiste pour éviter d’ouvrir des places à la fac

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          Parcoursup est un outil du maintien de l’ordre, protégeant la bourgeoisie d’une population qui risquerait de bousculer l’ordre inégalitaire que le capitalisme nous impose

L’accès à l’enseignement supérieur : le mythe de la méritocratie

          Inaugurée dans l’urgence en 2018, cette plateforme web où les lycéen-es inscrivent leurs choix d’études supérieures prétend remédier à l’afflux des candidatures à la fac, en procédant à une sélection entre les futurs étudiant-es. L’objectif affiché était de réduire les inégalités et supprimer l’injustice que représentait le tirage au sort des candidat-es pour l’accès à certaines filières en tension, notamment les STAPS.

          Plutôt que de réfléchir aux moyens de créer de nouvelles places à l’Université afin de donner la chance à toutes et tous d’accéder aux études supérieures à celles et ceux qui le souhaitent, la macronie impose donc un mode de sélection tout à fait opaque et élitiste. Selon les calculs du Monde, en 2022 «Parcoursup n’aura pas permis d’intégrer l’enseignement supérieur» pour 182.000 candidat-es. Cette sélection opère un tri social, comme le déplore Johan Faerber dans son ouvrage “Parlez-vous le Parcoursup ?” Ce choix politique de rendre les études inaccessibles à toutes et tous s’inscrit dans une vision sociétale méritocratique et inégalitaire. Il a aussi pour effet de transformer l’Université en “dernier choix” et valide l’idée d’une “fac poubelle” qui accueille les restes de Parcoursup.

          Car au même titre que l’ensemble des services publics français, l’Université manque cruellement de moyens. Aucun investissement, aucune création d’université n’a été mis en place ces dernières années pour faire face au nombre croissant d’étudiant-es. Une réalité qui profite aux écoles supérieures privées, souvent hors de prix, et accessibles à une petite élite bourgeoise, ou à des classes moyennes-supérieures qui vont parfois s’endetter pour investir dans l’éducation de leurs enfants, sans garantie de réussite.

          Refuser d’accorder des moyens à l’Université publique, c’est priver les classes populaires de l’accès à un enseignement supérieur de qualité (y compris dans les filières courtes, IUT ou BTS, désormais bouchées) et donc à des fonctions socialement valorisées. Autrement dit, c’est maintenir les classes populaires à leur condition de classes populaires, dominées socialement, professionnellement et économiquement. Parcoursup est un outil du maintien de l’ordre, protégeant la bourgeoisie d’une population qui risquerait de bousculer l’ordre inégalitaire que le capitalisme nous impose.

Transformer des inégalités de naissance en inégalités de mérite

          La perversité de Parcoursup réside dans l’idée de “méritocratie” : il s’agit bien d’un maintien de l’ordre, mais qui paraît “juste” (on sait à quel point le gouvernement macroniste est attaché à la notion de justice). En effet, ses algorithmes automatisés font de Parcoursup un outil quasi-scientifique, mathématique, inattaquable. C’est en tout cas ce que le ministre Jean-Michel Blanquer répondait aux profs, lycéen-nes et parents en colère lors de sa mise en place. Et pourtant, quatre ans après, force est de constater que cette usine à gaz a renforcé les inégalités en plus d’être une débauche d’argent public, de temps de travail et d’angoisse pour les élèves de terminale.

          Car les algorithmes de Parcoursup sont bien façonnés par des humains, une entreprise privée proche du gouvernement ayant un but politique assumé : transformer l’héritage culturel, par définition injuste, en mérite résultant de l’effort. Faire de l’injustice une forme de justice. Une perversion des missions de l’école qui était déjà dénoncée par Pierre Bourdieu dans les années 1960 et qui atteint désormais son paroxysme. Pour obtenir une place dans l’enseignement supérieur il vous faudra soit témoigner de votre héritage culturel, soit de votre docilité envers les institutions.

- Vous vous organisez politiquement et participez à un blocus ? Des points en moins dans Parcoursup.
- Vous saluez le drapeau tous les matins durant votre SNU ? Des points en plus dans Parcoursup.

          Et dire qu’on se moquait du crédit social chinois, que dire de la sélection française de l’enseignement supérieur ?

Parcoursup accompagne la casse de l’Université

          Le manque de moyens de l’Université publique, c’est aussi la disparition des postes de professeur ou maître de conférence (MCF), des statuts d’enseignant-chercheur qui faisaient la renommée de l’Université française. Désormais, beaucoup des enseignant-es embauché-es ne le sont plus au sein d’un laboratoire de recherche : en signant un contrat “LRU” ces profs acceptent une charge de cours plus importante pour un salaire plus faible que sous le statut de MCF. Mais les cours à la fac, ce sont aussi près de 4 millions d’heures de cours annuelles qui sont dispensées par des enseignant-es précaires, aux statuts instables de “chargé-es de cours” ou de “vacataires”, payé-es largement en-dessous du SMIC horaire. Un statut toujours précaire et de plus en plus utilisé, qui nécessite soit d’être inscrit-e en doctorat, soit de fonder son auto-entreprise.

          Oui, vous avez bien lu : l’ubérisation n’échappe pas à l’Université, qui exploite de plus en plus d’indépendant-es pressurisé-es qui subissent le management toxique de leurs employeurs, devenus clients. Une enseignante vacataire de l’Université de Nantes nous indique que, les premières années (nécessitant plus de préparation), elle était rémunérée moins de trois euros brut de l’heure sous ce statut, sans possibilité de faire valoir ses droits sous peine d’être blacklistée. Le sentiment constant d’être sur la sellette, de ne pas voir son contrat renouvelé l’année suivante : rien de plus pratique pour instaurer la peur et faire taire toute contestation dans les services publics.

          Parcoursup représente donc un double symbole : celui de l’injustice pour les élèves qui passent le bac et voudraient rejoindre les bancs de la fac, celui de la misère pour les travailleurs et travailleuses de l’Université. Dans tous les cas, Parcoursup est à l’image du projet macroniste : un ordre social injuste maintenu par des dispositifs violents (physiquement ou symboliquement). Face à l’ordre bourgeois, à nous de nous organiser pour faire sauter les verrous qui ferment l’Université. - source -

il n'y a pas que Parcoursup, tout ce que détruit et fait la macronie sert exclusivement à la macronie et à ses très riches amis, le tout, bien évidemment au détriment des classes moyennes, populaires ou nécessiteuses...

 

> huiles d'olive appellation "vierge extra" bidons...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : santé Mots clés : aucun

: la moitié d'un panel de 24 échantillons, déclassée en "vierge" par "60 Millions de consommateurs"

          Les Français raffolent de l'huile d'olive : ils en consomment près de 110 000 tonnes chaque année, soit l'équivalent de deux litres par foyer. Mais les produits vendus ne correspondent pas suffisamment aux attentes des consommateurs.

          C'est vrai qu'elle a de multiples atouts, l'huile d'olive, notamment pour la santé ! Sa richesse en oméga-3 permettrait de réduire de manière significative les risques de maladie coronarienne. Reste à savoir si ses vertus sont bien réelles, et si les étiquettes sont toujours bien fidèles aux qualités du produit.

          Dans son numéro de juin, (en ligne et en kiosque) le magazine 60 Millions de consommateurs consacre une large enquête sur l'huile d'olive. Vingt-quatre produits ont été testés et une partie des références ne mérite pas la mention "vierge extra". Les précisions de Patricia Chairopoulos, journaliste consommation alimentation au magazine.

franceinfo : C'est quoi une huile d'olive "vierge extra " ? Quels sont les critères ?

          En fait, il y a plusieurs critères qui sont très stricts. Donc déjà, c'est une huile issue d'une première pression à froid, et elle ne doit présenter vraiment aucun défaut physico-chimique, comme une oxydation. Et ces critères sont vérifiés par des jury experts. C'est ce que nous avons fait d'ailleurs.

Et quels sont les résultats de votre enquête ? Vous aviez déjà fait un test similaire en 2020, est-ce que la qualité des huiles d'olive de votre panel s'est dégradée ?

          Sur le plan de l’appellation vierge extra, soit le "top" de l’huile d’olive, c’est une grande déception ; la moitié de notre panel de 24 échantillons, est déclassée en "vierge" seulement. Notre jury expert a en effet décelé divers défauts, par exemple le défaut moisi/humidité a été trouvé dans 6 références, aussi bien bio que conventionnel, et quel que soit leur prix. Peut-être à cause d’un lavage insuffisant des olives, d’un stockage dans de mauvaises conditions…

Il y a une chose que vous mettez en avant, c'est la présence de plastifiants dans plusieurs références. Qu'est-ce que vous entendez par plastifiant ?

          Ce sont les phtalates, des molécules chimiques ajoutées volontairement par les fabricants de plastique, pour les assouplir. Normalement, il est interdit d’utiliser des matériaux contenant des phtalates sur la chaîne de production et de stockage des corps gras, comme l’huile. Difficile de connaître l’origine de cette contamination, peut-être des cuves, des tuyaux, des bâches… Or certains phtalates, le DEHP et le DBP, sont reconnus perturbateurs endocriniens et ont été décelés tous les deux dans 4 huiles. Certes, à des teneurs très faibles, mais tout de même pénalisés.

Vous avez aussi découvert des traces d'hydrocarbures d'huiles minérales ? De quoi s'agit-il ?

          Ce sont des dérivés chimiques liés à l’activité humaine, ils sont un peu partout dans l’environnement, et on les retrouve aussi dans des colles, des encres d’impression, des lubrifiants de machines, des produits de nettoyage ou encore dans certains pesticides.

          Le problème de ces substances, c’est qu’elles migrent facilement et contaminent notamment notre alimentation. Leur présence dans les huiles d’olive peut provenir de la récolte, des moteurs des machines agricoles, etc. Nous en avons retrouvé dans 5 huiles, avec pour certaines, à des teneurs à la limite du seuil acceptable dans les corps gras.

Du coup, est-ce qu'il faut à tout prix privilégier les huiles d'olive bio ? Est-ce une réelle garantie de qualité ?

          Non, sur ces critères, il n’y pas plus de garantie avec les huiles d’olive bio ou pas bio.

Et le prix ? Est-ce un gage de qualité ? On peut citer l'huile "primadonna" de LIDL quand même à 6,99 euros le litre ?

          Non également, même si les deux huiles les plus chères de notre essai sont parmi les premières du classement. Mais l’huile en tête du classement coûte moins de 7 euros/litre !

Ce qu'on remarque au fond en lisant votre enquête, c'est qu'il est difficile de trouver une huile de qualité "vierge extra", de bout en bout. La filière a encore des efforts à faire ?

          Oui, les Français sont adeptes d’huile d’olive vierge extra, ils y mettent le prix, et en retour, le produit doit évidemment correspondre à leur attente, et à ce qui est indiqué sur l’étiquette. Or nous constatons que ce n’est pas le cas et demandons à la filière, de la production à la distribution, de faire de sérieux efforts. - source -

Pas étonnant du tout, et malheureusement cela est certainement tout aussi valable pour tous les produits alimentaires, sans parler des fruits... Quant au bio, depuis les modifications légales des contraintes obtenus par les supermarchés, leurs qualités ont été beaucoup dégradées...

 

> en macronie, la montée du « national-libéralisme »

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          En utilisant tous les moyens à sa disposition pour passer en force ses politiques libérales, l’exécutif prend un tournant que les chercheurs n’hésitent plus à qualifier d’autoritaire.

          Le 26 septembre 2017, quatre mois après l’élection présidentielle qui l’avait propulsé au palais de l’Élysée, Emmanuel Macron tenait un discours remarqué sur la démocratie. Dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, pendant une heure et demie, il imaginait « l’Europe de 2024 ». Une Europe qui devait tenir sur le pilier des « valeurs de la démocratie et de l’État de droit ». Ces valeurs n’étaient, à l’époque, « pas négociables, pas ‘‘à la carte” », pour le chef de l’État.

          Six ans plus tard, l’autoritarisme dont fait preuve le garant de nos institutions pourrait le placer au rang de ceux auxquels il voulait précisément s’opposer : Viktor Orban en Hongrie, Andrzej Duda en Pologne. Les dérives illibérales de ces deux pays ont toujours été vues du coin de l’œil depuis l’Hexagone, comme si la France en était par nature préservée. Et pourtant. Manifestations interdites, surveillance des voix protestataires, déploiement d’outils technologiques, violences policières, contournement des corps intermédiaires, évitement des débats parlementaires, promulgation d’une réforme des retraites qu’une grande majorité de la population rejette.

          Les exemples étaient déjà nombreux, mais les voyants s’allument partout depuis cinq mois. Les institutions qui veillent au respect des libertés ne cessent de sonner l’alarme : commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, rapporteur spécial de l’ONU sur les libertés associatives, Ligue des droits de l’homme ou encore contrôleuse générale des lieux de privation de liberté. Les médias internationaux, eux aussi, décrivent la réalité brutale derrière le mythe du « pays des droits de l’homme ». Banales réactions par rapport à une crise passagère ? Pas si sûr, tant la violence autoritaire semble s’être installée au cœur de la pratique du pouvoir.

          « Il y a une intensification de la restriction des libertés comme élément systématique de la politique gouvernementale », alerte Stéphanie Hennette-Vauchez, professeure de droit public à l’université Paris-Nanterre. Une dynamique liberticide favorisée par les états d’urgence successifs que la France a connus depuis les attentats terroristes de 2015.

► pour lire la suite...

> 11e anniversaire du décès de Ray Bradbury

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          Raymond Douglas Bradbury dit Ray Bradbury, né le 22 août 1920 à Waukegan dans l’Illinois et mort le 5 juin 2012 (à 91 ans) à Los Angeles en Californie, est un écrivain américain, référence du genre de l’anticipation. Il est particulièrement connu pour ses Chroniques martiennes, écrites en 1950, L’Homme illustré, recueil de nouvelles publié en 1951, et surtout Fahrenheit 451, roman dystopique publié en 1953.

 

Séries de l'auteur
- Autobiographie romancée (3 livres)
- Skaith / les aventures d'Eric John Stark (4 livres)

Auteur
- …mais à part ça, tout va très bien (1997, recueil de nouvelles, imaginaire)
- À l'ouest d'octobre (1990, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Ahmed et les prisons du temps (1998, novella, fantasy)
- L'Arbre d'Halloween (1994, roman, fantastique)
- Aux portes de l'épouvante (En coll. avec Robert BLOCH) (1970, recueil de nouvelles, fantastique)
- La Baleine de Dublin (1993, roman, hors genre)
- Bien après minuit (1977, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Celui qui attend et autres nouvelles (1995, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Chroniques martiennes (1954, recueil de nouvelles, science-fiction)
- La Colonne de feu (1979, recueil de nouvelles, imaginaire)
- De la poussière à la chair - Souvenirs d'une famille d'immortels (2002, roman, fantastique)
- Fahrenheit 451 (1955, roman, science-fiction)
- Le Fantôme d'Hollywood (1992, roman, hors genre)
- La Foire des ténèbres (1964, roman, imaginaire)
- La Fusée et autres nouvelles (2020, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Les Garçons de l'été (2004, recueil de nouvelles, imaginaire)
- La Grande roue (1981, roman, fantastique)
- L'Heure H et autres nouvelles (1996, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Histoires de dinosaures (2004, recueil de nouvelles, science-fiction)
- L'Homme brûlant et autres nouvelles (2000, recueil de nouvelles, fantastique)
- L'Homme illustré (1954, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Il faut tuer Constance (2004, roman, hors genre)
- Je chante le corps électrique (1970, recueil de nouvelles, imaginaire)
--Léviathan 99 (2009, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Les Machines à bonheur (1965, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Le Meilleur des mondes possibles (2010, recueil de nouvelles, fantastique)
- Meurtres en douceur et autres nouvelles (2004, recueil de nouvelles, hors genre)
- Monstrueusement vôtre (1990, roman, hors genre)
- Le Pays d'octobre (1957, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Les Pommes d'or du soleil (1956, recueil de nouvelles, science-fiction)
- La Solitude est un cercueil de verre (1986, roman, hors genre)
- Stark et les Rois des étoiles (En coll. avec Leigh BRACKETT & Edmond HAMILTON) (2014, recueil de romans, science-fiction)
- Théâtre pour demain... et après (1973, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Train de nuit pour Babylone (1999, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Trois automnes fantastiques (2002, recueil de romans, fantastique)
- Un coup de tonnerre (1973, recueil de nouvelles, science-fiction)
- Un dimanche tant bien que mal (1979, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Un remède à la mélancolie (1961, recueil de nouvelles, imaginaire)
- Le Vin de l'été (1959, roman, hors genre)
- Le Zen dans l'Art de l'Écriture (2016, recueil d'articles, imaginaire)

- source -

🎨 Bruce Pennington, vous connaissez ?

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : arts Mots clés : aucun

          Bruce Pennington (né le 10 mai 1944 à Somerset, Angleterre) est un peintre britannique, surtout connu pour ses couvertures de romans de science-fiction et de fantasy. Les œuvres de Pennington ont largement figuré sur les couvertures de romans d'Isaac Asimov, de Clark Ashton Smith et de Robert A. Heinlein, adoptant à la fois des thèmes de science-fiction et de fantastique. Son passé de spéculation et d'émerveillement juvénile l'a conduit à la forme et au style farfelus qu'on lui connaît aujourd'hui.

► pour lire la suite...

🏛️danseuse - Nagada I ( Haute-Egypte, - 3500 à - 3400 )

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : curiosité Mots clés : aucun

 

          L'art de Nagada, du nom d'un site de Haute-Égypte, regroupe la production artistique qui a lieu entre 3800 et 3000 avant l'ère chrétienne. L'art de Nagada est principalement connu grâce aux rituels funéraires. À cette époque, la croyance en l'au-delà est importante : bien que les morts ne soient pas momifiés, mais simplement déposés dans des fosses, les tombes recèlent un important matériel funéraire.

          L'une des statuettes les plus célèbres est conservé au musée de Brooklyn. Avec des jambes à peine ébauchées, des hanches marquées et une taille fine, la Danseuse de Brooklyn a parfois été confondue avec une déesse-oiseau en raison de la stylisation de son visage. Cependant, actuellement, les spécialistes penchent plutôt pour un symbole de fécondité. - source -

 

> un foyer éligible sur trois ne recourt pas au RSA

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          Ce sont environ 3 milliards d’euros qui ne sont pas versés chaque année au titre du revenu de solidarité active.

          Dans une énième tentative de «en même temps», le président de la République, en campagne pour sa réélection, avait annoncé deux mesures s’adressant aux plus vulnérables, et en particulier à ceux susceptibles de recevoir le revenu de solidarité active, le RSA. L’une est un durcissement de la politique sociale. Elle prévoit de nouvelles conditionnalités au versement du RSA, soumis notamment au respect d’un nouveau contrat unique d’engagement, défini dans le projet de loi sur le plein-emploi, qui met France Travail sur les rails et sera présenté en juin en conseil des ministres. En parallèle commencent des expérimentations dans 18 départements, avec notamment les quinze à vingt heures d’accompagnement hebdomadaires pour les allocataires, dont les modalités sont encore floues.

Analyse

          L’autre mesure défendue pendant la campagne par Emmanuel Macron vise, elle, à lutter contre le non-recours aux prestations sociales. Moins mis en avant que le RSA sous conditions, ce vaste chantier du versement à la source démarre doucement. Quelques expérimentations commenceront en septembre, les collectivités candidates pour devenir un «territoire zéro non-recours» devant déposer leur candidature d’ici à la fin de cette semaine. Cette «solidarité à la source», qui ne se traduirait pas par un versement automatique, concernerait dans un premier temps le RSA, la prime d’activité et les aides au logement.

          Si le rapport Lenglart consacré au revenu universel d’activité, qui comprenait des éléments de chiffrage sur ce non-recours, n’a toujours pas été publié plus d’un an après avoir été remis à Matignon, quelques données publiques donnent un aperçu de l’ampleur du phénomène. Pour le RSA par exemple, c’est un foyer éligible sur trois (34%) qui ne le demande pas, selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques sur 2018. Cette dernière estime que, de ce fait, les sommes non versées «atteindraient 750 millions d’euros par trimestre», soit environ 3 milliards par an. Pour le minimum vieillesse, c’est la moitié des personnes seules qui peuvent y prétendre qui ne le demandent pas – ce qui représente 1 milliard d’euros non versé. Parmi les motifs de ce non-recours massif, la Drees interroge dans son baromètre une partie de la population, pas uniquement les allocataires, et constate que 37% des personnes sondées citent le manque d’information sur les aides ou les organismes, 22% des démarches administratives trop complexes, 17% la crainte des conséquences négatives, comme le contrôle et la perte de droits… - source -

Que font donc les assistantes sociales ?... Je suis très étonné de voir que presque la moitié des personnes éligibles au minimum vieillesse n'en font pas la demande ! D'un autre côté, chiffre récent, 80% de la fraude à la sécu est le fait des professionnels (source)... Et, vu les futures contraintes pour bénéficier du RSA, le nombre de bénéficiaires va s'en trouver certainement très réduit.

 

> pourquoi les absences non remplacées de professeurs ? facile...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          "La seule réponse qu'on a, c'est 'On n'a personne'" : face aux absences non-remplacées de professeurs, les parents d'élèves dénoncent une "situation jamais vue". Syndicats d'enseignants et fédérations de parents d'élèves affirment que les professeurs absents sont de plus en plus fréquemment non remplacés.

          Êtes-vous prêts à aller devant la justice, si les enseignants de vos enfants ne sont pas remplacés, quand ils sont absents ? Dans certaines classes, partout en France, les heures perdues se chiffrent en dizaines. Le collectif #OnVeutDesProfs, qui rassemble des parents d'élèves de toute la France mécontents des absences non-remplacées de professeurs, avec à la clef une perte d'heures de cours pour leurs enfants, va lancer ce lundi une deuxième action collective en justice contre l'État, a appris ce dimanche franceinfo auprès de leur avocate Joyce Pitcher.

"Il n'y avait personne pour le remplacer"

          Les associations de parents d'élèves débordent d'exemples de ces emplois du temps à trous : à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, la FCPE compte 190 heures d'enseignement perdues cumulées pour une classe de 4e, quatre mois d'absence dans un CE2, quasiment autant pour l'un des deux professeurs d'une classe de CP... Résultat : neuf élèves du groupe ne savent toujours pas lire, en ce mois de mai.

          C'est de pire en pire, témoigne Alexandra Barcon, co-présidente de la FCPE de Montreuil : "Même les absences pour retraite ou des mi-temps annualisés ne sont plus remplacés. Par exemple, un professeur de sport devait partir en janvier, il n'y avait personne pour le remplacer. Pareil pour un professeur de maths qui partait à la retraite en janvier : le collège s'est retrouvé sans professeur de maths. Et la seule réponse qu'on a, c'est 'On n'a personne'."

"Cette année, je pense qu'on est au summum de ce qu'on a pu vivre depuis que je suis parent. Jamais je n'ai constaté une situation comme ça, avec des absences aussi longues non remplacées." Alexandra Barcon, FCPE

          L'Éducation nationale est incapable, aujourd'hui, de compter précisément le nombre d'heures perdues à cause d'enseignants absents non remplacés. La Cour des comptes l'a évalué en 2018-2019 à deux millions, rien que dans les collèges et lycées. Les deux tiers de ces heures sont liées à des obligations de service, comme des formations, des réunions, ou liées à des examens.

"Un référent ou une référente dans un chaque académie"

          Malgré les discours rassurants d'Emmanuel Macron et de Pap Ndiaye à ce sujet ("Un prof devant chaque élève"), la FCPE assure que la situation ne s'est pas du tout améliorée. La fédération pointe du doigt, entre autres, des problèmes plus récurrents qu'avant pour remplacer des absences de longue durée.

          En janvier dernier, le ministre de l'Education nationale avait déclaré sur BFMTV que l'"on perd quinze millions d'heures de cours annuellement liées à des remplacements non assurés". Sur France Inter, en avril, il avait ajouté qu'"en matière de remplacement de courte durée, nous avons besoin d'un petit tiers de volontaires", évoquant notamment son "pacte" prévoyant jusqu'à 500 euros net par mois pour les professeurs qui acceptent de s'engager dans des missions complémentaires.

          En fin d'année 2022, le collectif #OnVeutDesProfs avait déjà déposé 127 requêtes en indemnisations relatives à des heures de cours non remplacées devant 17 tribunaux administratifs en France, en demandant cinquante euros par jour de cours perdu dans le premier degré et dix euros par heure de cours non dispensée dans le second degré. En plus de cette nouvelle action en justice, le collectif #OnVeutDesProfs veut désormais avoir "un référent ou une référente dans un chaque académie". - source -

La macronie, qui cherche partout de l'argent pour le donner aux entreprises afin qu'elles soient "compétitives",( le CAC 40 n'a jamais fait autant de bénéfices...) lorgne depuis longtemps sur le budget de l’Éducation Nationale qui est le 1er budget de la Nation :

(...) En 2021, hors crédits du plan de relance, le budget du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports demeure en 2021 le 1er budget de la Nation : 55,1 Mds € hors contributions aux pensions de l’État et 76 Mds € y compris contributions (...) - source -

et, comme d'hab., la macronie fait en sorte de la saborder, principalement en sous-payant les professeurs, ce qui entraine une désaffection pour cette profession, puis un manque de personnel, etc... etc..., et; évidemment tout va mal, donc "on" réforme en récupérant au passage le max de fric. Et, le second objectif est aussi atteint, un maximum de parents envoient leurs enfants dans le privé...