l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il est plus difficile de se défendre de l'amertume dans la pauvreté que de l'orgueil dans l'opulence - Confucius
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> la démocratie … en bande organisée

Classé dans : autres

          Imaginons qu’un jury de concours autorise certains candidats à passer les épreuves munis d’oreillettes et avec des antisèches.

          Que diraient les heureux lauréats ? Que le concours, puisqu’il est ouvert à tout le monde, est la meilleure des choses. Et que, puisqu’ils ont été reçus, ils sont les meilleurs. Comme ils sont les meilleurs, ils auront forcément raison. Et, par voie de conséquence, ils seront fondés à jouir à tous égards de leur réussite.

         C’est exactement ce qui se passe avec l’usage qui a été fait de l’élection. C’est exactement ce que disent ceux qui ont profité des élections ( osons le mot) … « truquées ».

           De tous temps les maîtres du jeu ( le jury dans notre histoire, les détenteurs du « pouvoir économique » dans la vie politique) ont fait en sorte que la multitude ( les gens appartenant à « la populace » ) ne puisse pas jouer de son nombre pour essayer de faire valoir pour eux, ce que les Américains appellent le droit au bonheur.

          Pour ce faire, l’usage du droit de vote a toujours été peu ou prou « truqué ».

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> le lobby européen des assureurs déplore de ne pas pouvoir accéder aux données de santé

Classé dans : santé

          Les assureurs, représentés par la fédération Insurance Europe, « regrettent que la proposition de règlement établissant un Espace européen de données de santé (European Health Data Space, EHDS) leur interdise d'accéder aux données de santé », relève L'Usine digitale : « ils appellent la Commission européenne à revoir sa copie ».

          Dans une lettre envoyée début octobre à Stélla Kyriakídou, la commissaire européenne à la santé et à la politique des consommateurs, elle souligne qu' « une grande disponibilité des données anonymes peut permettre aux assureurs de proposer des tarifs plus abordables, de nouveaux services innovants axés sur la prévention et l'atténuation des risques et d'offrir une assurance pour des risques qui n'étaient pas assurables auparavant ».

          Or, l'article 35 de la proposition de règlement du 3 mai 2022 relatif à l'espace européen des données de santé interdit de demander l'accès aux données de santé pour « la prise de décision à l'égard d'une personne physique ou d'un groupe de personnes physiques, les excluant du bénéfice d'un contrat d'assurance ou modifiant leurs cotisations et leurs primes d'assurance ».

          Une interdiction en contradiction avec l'objectif de l'EHDS qui « vise à libérer le potentiel des données de santé inutilisées afin d'ouvrir de nouvelles opportunités pour des services de santé et d'améliorer les résultats pour les patients », d'après le président d'Insurance Europe.

          Les personnes malades et âgées « payeraient ainsi plus chers voire ne pourraient pas souscrire à certaines garanties », déplore Insurance Europe, d'autant que les assureurs seraient dès lors perçus « uniquement comme un risque ».

          Le lobby appelle la Commission à établir « une politique [inclusive] dans la mesure où toutes les parties concernées ont une chance égale d'exprimer leurs préoccupations ». - source -

Bé bien sûr ! 1% des clients auront un tarif "modéré" et tout le reste verra ses tarifs augmenter de 20 à 50 % et les plus de 64 ans de 100 à 300%... Ne nous leurrons pas, c'est déjà le cas aux États-Unis et, à moyen terme, l'union européenne de merde les satisferont.

 

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> un futur proche

Classé dans : humour ?

 

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> raison d'être de " Scientifiques en rébellion "

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Constat

          Nous faisons face à une situation inédite. Notre modèle de société fondé sur la croissance économique infinie a failli. Le déni des limites planétaires a conduit à un effondrement généralisé des écosystèmes et au changement climatique qui menacent directement l’avenir de nos sociétés, voire de l’humanité et de l’ensemble du vivant. Les populations les plus vulnérables et directement affectées sont celles qui ont la plus faible responsabilité dans cette situation. Elles subissent le plus violemment l’exploitation par les pays riches et par les entreprises multinationales qui sont responsables de l’écrasante majorité des émissions de gaz à effet de serre et des atteintes à l’environnement.

          Depuis plusieurs décennies, les scientifiques lancent des alertes basées sur des résultats de recherche convergents et solidement documentés. Cependant, ces connaissances scientifiques ont été et sont encore minimisées, niées ou distordues afin de faire perdurer le modèle socio-économique dominant au détriment de l’intérêt général. La combustion massive des ressources fossiles, l’extraction effrénée des ressources, la pollution de l’air et de l’eau, la pollution et l’artificialisation des sols, l’utilisation à outrance des pesticides et des antibiotiques pour l’agriculture et l’élevage intensifs, l’incorporation de nombreux additifs toxiques dans les produits de consommation ont eu les effets mortifères redoutés en dégradant le climat, la biodiversité et la santé publique.

          En tant que scientifiques, nous avons conscience du rôle souvent néfaste que la science a joué dans l’histoire de cette catastrophe. Nous considérons aujourd’hui qu’il est illusoire et irresponsable de miser principalement sur un hypothétique déploiement de technologies pour apporter des solutions appropriées à la gravité et à la complexité des problèmes écologiques actuels dans les délais requis. En outre, ce fantasme techno-solutionniste est dangereux car il freine la nécessaire et urgente transformation de notre modèle socio-économique et de nos modes de vie. Les travaux scientifiques doivent en priorité contribuer à cette transformation, avant d’être mis au service d’innovations (géo-ingénierie, capture du carbone, agriculture high-tech, organismes génétiquement modifiés...) qui peuvent détourner les efforts des véritables priorités, ou aggraver la situation.

          Nous ne pouvons continuer à mener des recherches sans réagir alors que les politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre, de sauvegarde de la biodiversité et de protection de la santé publique sont loin d’être à la hauteur des engagements, pourtant insuffisants, affichés par les États et les entreprises. Cette inaction criminelle est démontrée par de multiples condamnations en justice.

 

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> logiciels espions : la Commission et le Conseil défaillants, selon Amnesty International

Classé dans : europe de merde

          L’Union européenne est un sanctuaire pour les fabricants de logiciels espions à cause la défaillance du Conseil de l’UE et de la Commission européenne en matière de lutte réglementaire contre les exportations de ces logiciels et de technologies de surveillance, indique Amnesty International dans un rapport publié lundi (9 octobre).

          Le rapport, intitulé « Dans les mailles de Predator » (« The Predator Files : Caught in the Net »), plonge dans les « Predator Files ». Il a été publié jeudi (5 octobre) par le réseau de médias European Investigative Collaborations (EIC) et Amnesty International, et révèle l’inefficacité de l’UE en matière de réglementation du secteur des logiciels espions, notamment en ce qui concerne l’alliance Intellexa.

          Intellexa est « impliquée dans le développement et la commercialisation d’une large gamme de produits de surveillance, y compris des logiciels espions avancés, des plateformes de surveillance généralisée et des systèmes tactiques de ciblage et d’interception d’appareils à proximité », selon Amnesty International.

          Le rapport révèle qu’en France, des logiciels espions ont été exportés depuis une succursale de l’alliance Intellexa située aux Émirats arabes unis qui lui permet de contourner les mécanismes de contrôle aux exportations de l’UE, et que « des licences d’exportation de technologies de surveillance ont été accordées à des entités commerciales de l’alliance Intellexa en France ».

          « Le rapport révèle une fois de plus l’ampleur du problème. Les logiciels espions sont devenus une hydre, et l’Europe est leur refuge », a déclaré à Euractiv Sophie in ‘t Veld, eurodéputée néerlandaise du groupe Renew Europe, qui a dirigé l’enquête Pegasus, désormais close, au Parlement européen.

          Les enquêtes du Parlement européen et de sa commission d’enquête chargée de l’affaire Pegasus et des logiciels espions de surveillance équivalents (PEGA) ont démontré qu’Intellexa avait reçu l’autorisation de vendre des logiciels espions à Madagascar et au Soudan par le biais des autorités grecques.

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